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Des parents américains ont perdu la garde de leur fils à cause d'un QI trop faible

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  • Des parents américains ont perdu la garde de leur fils à cause d'un QI trop faible

    Un QI de 70, est-ce trop faible pour pouvoir élever un enfant? C'est en tout cas l'avis de la Direction de la protection de la jeunesse de l'Oregon, qui a décidé de retirer la garde de son enfant à un couple en raison de son faible QI.
    Un couple de l’Oregon (États-Unis) s’est vu retirer la garde de son fils il y a quatre ans en raison de son quotient intellectuel -QI- trop faible : 70, alors que la moyenne se situe entre 90 et 110.

    C'est la Direction de la protection de la jeunesse qui a pris cette décision, seulement quatre jours après sa naissance. Depuis, les parents n'arrivent pas à revoir leur enfant.

    Les parents, Eric et Amy, ont témoigné de leur incompréhension sur la chaîne de télévision locale KTVZ.

    "Notre QI ne devrait rien avoir à faire avec tout cela"
    "Ils pensent que parce que nous avons ce handicap, nous ne pouvons pas être de bons parents pour nos enfants" a témoigné la mère. "Notre QI ne devrait rien avoir à faire avec tout cela, tant que vous êtes capables d’aider votre enfant et d’en prendre soin" a-t-elle ajouté.

    Le couple bénéficie du soutien de l'assistante sociale qui les suit dans leurs démarches pour récupérer la garde de l'enfant.

    source: ledauphine.com

  • #2
    Leur QI faible ne serait pas le seul motif du placement de leur enfant. Leur fils aîné à déjà été placé.

    "Les services sociaux ont fait valoir qu'il ne s'agissait pas du seul facteur ayant conduit à retirer la garde de leurs enfants à ces parents. Il y a quatre ans, leur premier enfant Christopher leur avait été retiré quatre jours après sa naissance. En février dernier, son cadet Hunter a été placé dès la sortie de l'hôpital."

    De manière générale, les services sociaux retirent les enfants à leurs parents pour de bonnes raisons, et suite à des enquêtes faites par des professionnels de l'enfance.

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    • #3
      salam sevcan
      Je te cite" De manière générale, les services sociaux retirent les enfants à leurs parents pour de bonnes raisons, et suite à des enquêtes faites par des professionnels de l'enfance"

      Pas toujours aussi évident, les travailleurs sociaux ont bien des travers, j'ai fais ma thèse sur le droit et les écrits dans le travail social et je peux te dire que j'en ai vus des aberrations; je te donne un seul exemple parmi d'autres.
      Un travailleur social qui écrit dans son rapport au juge pour enfants: "je suis arrivé comme prévu à 14H00 dans la famille...lors des entretiens l'haleine du père sentait l'alcool, je suppose qu'il a quelques problèmes d'addiction...."
      1- comme ça peut arriver il aurait pu avoir bue un apéritif avant de manger, ou bien un verre ou deux de vin comme beaucoup de Français lors du repas.
      2- Est-il habilité de poser un diagnostique sur une pathologie, une addiction alors que ce n'est du ressort que d'un spécialiste.
      3- C'est grave de poser des confirmations sachant qu'un magistrat statut en fonction des rapports qu'ils lui sont transmis, que ce soit en matière pénal pour adultes et enfants (police gendarmerie), en matière civil travailleurs sociaux enquêtes et rapports.
      In fine, les gamins peuvent être retiré et placé à cause de l'incompétence, l'excès et la toute puissance d'un travailleur social.
      Dernièrement des parents ont pu récupérer leur enfant après une procédure de plus de trois ans, l'enfant avait souvent des ecchymoses et les parents ont été accusé de maltraitance, sauf qu'après plusieurs recherches de cliniciens on lui a diagnostiqué une maladie rare et les parents ont été innocenté, ici c'est vrai que la prudence était de mise et tant mieux, malgré l'engrenage des parents.
      Pour finir, sache que même si ce n'est pas inscrit dans le droit, le but de l'éducation ou la rééducation a pour but de réintégrer l'enfant dans son milieu naturel en l'occurrence sa famille sauf pour l'inceste aucun droit de visite et encore moins d'hébergement, enfance maltraité des droits mais avec un contrôle stricte........

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      • #4
        Ca ma parait très cruel comme approche. On dirait un film de science fiction! :22:

        ∑ (1/i²) = π²/6
        i=1

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        • #5
          Hello Azed,

          Les TS ne sont pas infaillibles. A leur décharge, ils ont beaucoup de situations à gérer et pas toujours les moyens en adéquation.
          Pour qu'un enfant soit placé, il faut un dossier solide et pas juste le rapport du TS. C'est un ensemble d'éléments qui font que le placement est pris en dernier recours après que les services sociaux aient fait leur enquête.

          De plus en plus, au nom du sacro saint droit des parents, on laisse les enfants dans leur famille et les résultats sont dramatiques. On se retrouve avec de plus en plus d'enfants avec de gros troubles du comportement. Des bébés qui n'ont passé que quelques mois avec leurs parents carencés présentent des problématiques lourdes.

          Dernièrement des parents ont pu récupérer leur enfant après une procédure de plus de trois ans, l'enfant avait souvent des ecchymoses et les parents ont été accusé de maltraitance, sauf qu'après plusieurs recherches de cliniciens on lui a diagnostiqué une maladie rare et les parents ont été innocenté, ici c'est vrai que la prudence était de mise et tant mieux, malgré l'engrenage des parents.
          L'enfant avait la maladie des os de verre. Ce type d'erreur est à la marge. Dans la grande majorité des cas, les enfants sont placés à juste titre. Je pense meme qu'il faudrait intervenir pour ces enfants en danger beaucoup plus tôt en leur offrant un cadre de Vie plus secure.

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          • #6
            Re sevcan
            Tout à fait d'accord avec toi que les TS font un travail formidable avec de moins en moins de moyen, quand le TS réfléchit en matière éducative les responsables réfléchissent en matière budgétaire ce qui ne facilite pas la tâche et de même pour les TS du SPIP (service pénitencier de probation et d'insertion) pour les majeurs en matière pénal jusqu'à 150 dossiers par travailleur.
            Rajouter à cela la problématique de plus en plus complexe des troubles du comportements et de la conduite des jeunes placés, de plus en plus le travail éducatif ne trouve plus sa place, les jeunes sont mis dans des foyers où les jeunes asociaux sont mélangé avec d'autres qui ont des déficiences mental plus au moins léger, voire des enfants qui ont des troubles du comportements associé à la déficience.
            Certes comme tu le dis le placement n'est pas du ressort du travailleur social, il faut un signalement au procureur, ASE (aide social à l'enfance...); mais s'en suit une enquête social; et là le TS (PJJ, AS, ES...) a un rôle a jouer en faisant sont rapport à un magistrat pour enfant.
            En revanche là où je ne suis pas d'accord avec toi, c'est les droits des parents, nous sommes et nous avons été dans le système "enfant roi" ce qui fait qu'on se retrouve avec des mineurs avec des délits long comme un bras (s'ils avait un casier); sans réponse adéquate pour mettre fin à une spirale, sachant qu'a cette âge, l'enfant, l'ado est toujours à la recherche de limites et qui doivent être poser par l'adulte, père, mère ou TS dans nos cas.
            Bien évidement, je suis d'accord avec toi sur le fait que les parents d'enfants placés sont majoritairement très carencé, ou dépassé par le comportement ou maltraitants de leurs enfants, d'ou la prise en charge des deux, on ne peut pas travailler avec un enfant sans ses parents si on veut créer le lien, même si ce n'est pas toujours facile. Il m'arrive des fois de dire dans mes cours que c'est les parents qu'on devrait placer:22: ce n'est pas bien, mais bon quand tu as des gens qui touchent les minima sociaux et sont des piliers de bar (je ne généralise pas, mais souvent un facteur, alcoolisme... ), ils attendent la rentré scolaire pour toucher les allocs....la problématique devient assez complexe.
            Oui sevcan, il faut prendre le problème avant que ce soit trop tard quand on est sûr que le bébé, l'enfant est en danger.
            Dans notre cas c'est une histoire de QI, si les parents sont carencés mais aimant et qui prennent soin de leurs enfants rien n'empêche de les aider dans un cadre intra-familial ce qui se fait ailleurs, bref on ne connait pas les tenants et les aboutissants de cette affaire, l'article n'est pas complet.
            Dernière modification par azed164, 04 août 2017, 23h01.

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            • #7
              Bonjour Azed,

              En revanche là où je ne suis pas d'accord avec toi, c'est les droits des parents, nous sommes et nous avons été dans le système "enfant roi" ce qui fait qu'on se retrouve avec des mineurs avec des délits long comme un bras (s'ils avait un casier); sans réponse adéquate pour mettre fin à une spirale, sachant qu'a cette âge, l'enfant, l'ado est toujours à la recherche de limites et qui doivent être poser par l'adulte, père, mère ou TS dans nos cas.
              Tu sais bien que les parents d'enfants placés, gardent dans la grande majorité des cas l'autorité parentale. Rien ne peut être fait pour leurs enfants, sans obtenir leur aval. Ces derniers sont souvent dans l'opposition. Ils abusent de leurs droits pour s'opposer systématiquement à toute initiative du TS en faveur de l'enfant.

              Ce qui doit primer, c'est l'intérêt de l'enfant, pas l'égo du parent. Heureusement, malgré tout, la loi est bien faite et le législateur a prévu les DAP totales ou partielles qui permettent à l'équipe éducative de travailler pour faire en sorte que l'enfant puisse bénéficier d'une vie normale, tout en étant placé.

              Dans notre cas c'est une histoire de QI, si les parents sont carencés mais aimant et qui prennent soin de leurs enfants rien n'empêche de les aider dans un cadre intra-familial ce qui se fait ailleurs, bref on ne connait pas les tenants et les aboutissants de cette affaire, l'article n'est pas complet.
              Justement, on ne connaît pas le fond de l'histoire. On s'émeut parce qu'on a enlevé un bébé à ses parents "déficients". Naturellement, on a de l'empathie pour eux, et on s'indigne contre les "méchants" services sociaux.
              Certains parents aiment "mal" leurs enfants et n'en prennent pas soin.
              Si ces parents n'ont pas récupéré leur aîné de 4 ans, on peut en déduire que leur situation ne permettait pas un retour en famille et que la sécurité de leur deuxième enfant impliquait un placement en urgence.
              Dernière modification par sevcan, 05 août 2017, 09h35.

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              • #8
                Si vous ne suivez pas les modes d'éducation que le
                système vous impose on vous retire vos enfants , j'en ai vu et côtoyé des enlèvements abusives .
                Par contre je n'ai jamais vue de placements d'enfants des mères toxico , elles ressortent de la maternité sans aucun suivie de la part des services sociaux .

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                • #9
                  L'article ne précise que la version du couple et il n'est pas certain que le couple dit toute la vérité au sujet de la perte de la garde de leur fils.

                  D'après la plainte du couple, le couple a perdu la garde après qu'un ami qui habitait chez eux les avait signalé aux services sociaux pour négligeance envers leur fils.

                  Dans la vidéo ci-dessous, les parents semblent tout à fait OK et en mesure d'être de bons parents.

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                  • #10
                    Ça serait aussi intéressant de savoir quel genre de test ils ont passé pour définir si la sécurité des enfants est mis en jeu ou pas auprès de leurs parents .

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                    • #11
                      les pauvres , vraiment ça déchire le cœur , ils peuvent être encadré ou recevoir de la visite pour voir si tout est ok pour les kids, mais delà à les empêcher de garder leurs enfants sans aucune preuve de maltraitance ou abondant , c'est grave, notre société marche comme un model zombi

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                      • #12
                        salam
                        sevcan
                        En effet, la majorité des parents ne perdent pas leurs autorité, oui certain parents en abusent, mais il y'a tout un arsenal juridique qui est là pour permettre au TS de travailler.
                        Oui le bien être et l'éducation de l'enfant prime et comme tu l'as souligné il y'a les DAP.
                        Mais j'attire ton attention sur le fait que dans notre cas l'AS qui les suit dans leurs démarche les soutient d'ou mon interrogation sur le retrait, est-il motivé par la maltraitance ou simplement par un QI qui n'est pas dans la norme?
                        Je ne mets en aucun cas les travailleurs sociaux en cause, je pointe quelques travers au delà c'est un métier noble ou l'empathie, le don de soi sont de mise, ce qui me dérange ici c'est le retrait suite à une idée farfelue le QI, encore faut-il que ce soit une science exacte.
                        nassim
                        Merci pour la vidéo qui au demeurant montre un intérieur propre et des enfants qui semblent être content avec leurs parents.
                        norsud
                        Les enfants de toxicos sont souvent placés, d'ailleurs l'alcoolisme chronique est un élément de retrait des enfants alors la toxicomanie est une raison plutôt plus grave.
                        Dernière modification par azed164, 06 août 2017, 22h06.

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                        • #13
                          Azed
                          Je peux t'affirmer que non , les mères toxico sortent de la maternité sans aucun suivie et rare contrôle de la pmi .
                          Oui cette idée de qi pour déterminer la capacité être bon parent ou pas est assez glauque , je ne connais pas ce test , existe t-il vraiment ? C'est très curieux
                          Dernière modification par nordsud, 06 août 2017, 23h23.

                          Commentaire


                          • #14
                            norsud
                            Le QI c'est le quotient intellectuel tu peux te renseigner sur le net car c'est long à expliquer, il est souvent passer par des psychologues pour évaluer le plus souvent dans le cadre de carence de déficience intellectuelle, ou surdoués, autiste....cela ne détermine pas l'intelligence je crois.
                            Il me semble qu'en dessous de 70 pas bon, la moyenne est de 100 en France, même si Einstein n'a pas passer le teste des estimations (farfelue) l'on situé entre 160 et 180. Tu peux même le faire sur le net toute seul mais je trouve qu'il est très douteux je l'ai fais tiens toi 105, 100, 75 j'en ai déduit qu'avec la fatigue je n'arrivais plus à me concentré d'où la baisse des résultats.

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                            • #15
                              Il y a forcément d'autres éléments que le QI de ces parents à avoir été pris en compte, sinon on imagine que beaucoup seraient concernés ...

                              Dans cette affaire, il semblerait que les juges de l'Oregon ne se soient pas uniquement basés sur le niveau intellectuel du couple :

                              "Selon les services de la petite enfance américains, le père de l’enfant aurait dormi sur le sol à ses côtés et aurait presque roulé dessus. De plus certains rapports feraient état d’un énervement facile du père.
                              Concernant la mère, selon son propre père, elle n’est pas dotée de bonnes qualités pour être une mère."

                              S'agissant de la vidéo postée par Nassim, rien ne permet dans cette dernière d'affirmer que ce sont "de bons parents". Le couple répète ce qu'on lui a appris, mécaniquement.
                              On voit le père, et pas la mère, jouer quelques minutes avec l'enfant dans le cadre d'une visite médiatisée, donc sous surveillance.
                              Être un bon parent, c'est sur la durée que ça se vérifie ...

                              Cette médiatisation va certainement obliger la juridiction de l'Oregon à lever la mesure de placement.
                              J'espère sincèrement que ces enfants n'auront pas à le regretter.

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