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Rabat, 11/02/07 - Le Conseil des ministres des Affaires étrangères de l'Union du Maghreb Arabe (UMA) a fait état de sa "préoccupation face à la campagne menée par des médias et associations européens" contre la justice libyenne, suite à la condamnation à la peine capitale de quatre infirmières bulgares et d'un médecin palestinien pour inoculation du virus du sida à des enfants libyens.
Dans un communiqué rendu public, samedi soir à Rabat, au terme de sa 26-ème session, le Conseil souligne que cette campagne "ne repose sur aucun fondement juridique ni moral".
Le Conseil appelle "toutes les parties, particulièrement européennes", à "adopter une attitude positive vis-à-vis de cette affaire dans sa dimension humaine et celle relative aux droits de l'Homme, loin de toute politisation".
Il les appelle également à "fournir tout ce qui est de nature à atténuer l'impact de ce drame à travers la mise à disposition de médicaments et de soins en faveur des enfants qui sont toujours en vie", ainsi qu'à "contribuer à l'indemnisation des familles des victimes, au lieu de mettre en cause la justice libyenne".
Les infirmières bulgares et le médecin palestinien ont été condamnés à la peine capitale le 19 décembre dernier pour avoir délibérément inoculé le virus du sida à plus de 400 enfants de l'hôpital de Benghazi.
Dans un communiqué rendu public, samedi soir à Rabat, au terme de sa 26-ème session, le Conseil souligne que cette campagne "ne repose sur aucun fondement juridique ni moral".
Le Conseil appelle "toutes les parties, particulièrement européennes", à "adopter une attitude positive vis-à-vis de cette affaire dans sa dimension humaine et celle relative aux droits de l'Homme, loin de toute politisation".
Il les appelle également à "fournir tout ce qui est de nature à atténuer l'impact de ce drame à travers la mise à disposition de médicaments et de soins en faveur des enfants qui sont toujours en vie", ainsi qu'à "contribuer à l'indemnisation des familles des victimes, au lieu de mettre en cause la justice libyenne".
Les infirmières bulgares et le médecin palestinien ont été condamnés à la peine capitale le 19 décembre dernier pour avoir délibérément inoculé le virus du sida à plus de 400 enfants de l'hôpital de Benghazi.