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Eviter la St-Valentin en se payant un alibi

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  • Eviter la St-Valentin en se payant un alibi

    Bonsoir

    La compagnie Alibi Network est spécialisée en la matière avec des scénarios pour tromper l'amant, la maîtresse ou le mari, allant de 35 à 1500 dollars.

    Cette année pour la Saint-Valentin, un client, peu désireux de passer la soirée avec sa maîtresse, a fait arranger un faux coup de fil de vétérinaire lui demandant de venir chercher son chien malade de façon urgente. Un autre va se faire appeler par un ouvrier prétextant une sérieuse réparation de plomberie dans sa maison.

    Certains clients se sont faits confectionner deux alibis pour la Saint-Valentin, un pour passer une partie de la journée avec leur amant ou leur maîtresse et un autre pour passer le reste du temps à la maison avec leur partenaire officiel.

    Mike DeMarco, fondateur d'Alibi Network, société basée dans l'Illinois (nord), se dit étonné de voir qu'un un grand nombre de ses clients, qu'ils soient homme ou femme, prévoient cette année de passer la Saint-Valentin avec un époux plutôt qu'avec un amant.

    Moins cher qu'un divorce

    Le jour de la Saint-Valentin, les affaires de M. DeMarco font traditionnellement un bond de 30 % et autant de femmes que d'hommes lui demandent de créer un alibi.

    Interrogé sur le fait de savoir pourquoi quelqu'un va payer plusieurs milliers de dollars pour s'embarquer dans des scénarios parfois très compliqués, Mike DeMarco répond: «Pour ne pas blesser son mari, sa femme ou sa maîtresse mais c'est peut-être tout simplement parce que ça coûte moins cher qu'un divorce».

    Source: SDA/ATS

  • #2
    on vit vraiment dans un monde de fou...
    c'est dingue comme on peux se faire de l'argent avec tout et n'importe quoi, enfin surtout avec n'importe quoi.
    ne dépense pas deux mots, si un seul te suffit.

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    • #3
      ... et autant de femmes que d'hommes lui demandent de créer un alibi.
      Et qui a dit que les hommes sont a 99% des menteurs et pas les femmes ...... encore une autre preuve, les masques finissent toujours par tomber

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      • #4
        offre promotionnelle

        je rappelle qu'il existe une offre unique en son genre sur le FA

        un détecteur de mensonge

        attention les stocks sont limités

        nous assurons l'installation et le service après vente pour 400 Euros




        Toujours selon le même principe la societe conceptrice a mis au point un téléphonique "détecteur de mensonge", qui analyse les fréquences de la voix et les émotions qu'elle révèle, mesure les blancs entre les réponses, et rend un verdict en quinze minutes. Grâce à ce logiciel, l'assureur automobile britannique Highway Insurance a débusqué 18 % de plaintes frauduleuses, contre 5 % auparavant.
        Elle aurait même mis au point un détecteur de mensonges intégré à une paire de lunettes.

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        • #5
          entre nous, ça me ferait ch... de dépenser mon argent pour ça
          pas vous ?

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          • #6
            vrement n'importe quoi
            ou vas le monde

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            • #7
              Certains ont l'air surpirs, alors que ce n'est qu'un business cree parceque il y a une demande

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              • #8
                La loi du marché, très pertinent Bee hive, l'offre et la demande.

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                • #9
                  Bonsoir
                  Vu sur la télévision Suisse romande temps présent.

                  Les pauvres, ça peut rapporter...

                  Aux Etats-Unis, les pauvres représentent un marché lucratif. Des entreprises ont fait de l'exploitation de la misère, leur fond de commerce. Les 40 millions d'américains qui vivent en dessous du seuil de pauvreté paient plus cher leurs assurances, leurs crédits auto, leurs emprunts immobiliers et même parfois leur électricité. Leur endettement profite à de grandes institutions de crédit dont les produits financiers font le bonheur de Wall Street. "Imaginez que vous emménagez dans cette superbe maison ! Imaginez que vous passez de superbes vacances en été comme en hiver ! Imaginez que vous n'avez aucun souci pour payer les études de vos enfants ! ". Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ces publicités ne s'adressent pas aux consommateurs riches, mais au plus pauvres. Ce marché est aujourd'hui en pleine expansion. Un marché très rentable, qui cible tous ceux qui, aux Etats-Unis, sont au bord de la misère.

                  Les banques traditionnelles ont déserté les ghettos américains. Résultat, un nouveau business, florissant, occupe la place. Les premiers à avoir exploité le filon, ce sont les prêteurs sur gage. Aujourd'hui ils sont plus de 15'000 aux Etas-Unis, deux fois plus qu'il y a dix ans. Dans ces boutiques, les clients peuvent emprunter un petit peu d'argent après avoir mis en caution un bien personnel. Avec des taux d'intérêts très élevés. Mais troquer de l'or contre quelques billets, ça commence à être dépassé. Aujourd'hui, pour exploiter la misère des pauvres, il y a beaucoup mieux : les marchands de prêts à très court terme qui s'adressent à ceux qui ont un travail mais un salaire de misère et qui n'ont pas assez d'argent pour tenir jusqu'au prochain jour de paie. Ces 5 dernières années, le nombre de prêteurs "jour de paie" a explosé et aujourd'hui, on compte 22 000 magasins aux Etats-Unis. Plus que des Mac Donald's. Dans les quartiers pauvres, la loi de l'argent, c'est la loi de la jungle. Le marché explose et aucune loi n'encadre les pratiques de ces banques alternatives.

                  Aujourd'hui, l'une des dérives du système financier américain, c'est la « note » de crédit. Elle est utilisée pour établir les taux d'intérêt des emprunts, mais également pour faire payer encore plus cher les produits et les services que consomment les pauvres des ghettos américains. Et avec l'offensive des « prêts de deuxième classe » aux taux démesurés pour la classe moyenne, le système économique et financier américain continue à fabriquer des pauvres, des surendettés, des expulsés. En un an, plus d'un million d'Américains sont passés sous le seuil de pauvreté.

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