Dix banques étrangères arrivent
Le Conseil de la monnaie et du crédit (CMC) a mis en place un nouveau dispositif afin de mieux contrôler les conditions d’installation des banques étrangères pour consolider la santé financière du système bancaire.Le paysage financier de l’Algérie connaîtra un vaste changement pour la nouvelle année 2007, avec l’arrivée d’une dizaine de banques étrangères arabes et européennes, il s’agit de deux banques marocaines du commerce extérieur ATTIJARI WAFA BANK et BMCE ( qui a bénéficié, d’un agrément délivré par la Banque d’Algérie, qui prévoit d’investir pas moins de 30 millions de dollars, pour lancer ses offres de services bancaires sur le marché algérien, la BMCE sera la première banque marocaine à activer en Algérie), de la banque française Calyon Corpored And investissement Bank (une banque de financement et d’investissement appartenant au groupe Crédit agricole), de la tunisienne Biat, des Libanais arrivent en Algérie avec la Byblos Bank et Fransabank El Djazaïr , celle-ci sera la première banque libanaise à s’installer en Algérie avec un capital social de 2 500 000 DA, Fransabank est considérée comme la cinquième banque au Liban, quant à sa consoeur, Byblos Bank, cet établissement privé de premier ordre active dans plusieurs pays européens et se propose d’agir en particulier en direction des PME et PMI, de la banque britannique HSBC, l’un des plus importants établissements bancaires au monde, de l’italienne Unicrédit Bonca, et enfin de la banque égyptienne du commerce extérieur (BECE) , qui a annoncé l’ouverture de sa filiale en Algérie sous l’appellation CIB Algérie, le capital de cette banque est constitué de fonds d’investissements égyp-tien et émirati. Toutes ces banques étrangères suivent de près l’évolution des réformes, engagées par l’Etat, notamment la sécurisation des systèmes de paiement après l’introduction des moyens de paiement électronique et interbancaire qui se précise dans le sens de la sécurisation des transactions, ces nouvelles données sont un facteur d’assurance et de motivation pour les banques étrangères et préfigurent donc des modifications importantes en matière de gestion et de développements des produits et services offerts à la clientèle, en attendant la mise en place d’autres instruments de paiement, ce qui constitue une véritable avancée indéniable dans la modernisation des outils de gestion des banques et, partant, de l’ensemble de l’économie nationale. Le paysage financier algérien compte actuellement 7 banques publiques, Cnep Banque , CNMA, BEA, BDL, Badr, BNA,et le CPA (cette dernière sera prochainement privatisée), et 10 banques privées, Citibank Algérie , BNP Parisbas Algérie , Natexis Algéria, ABC, Housing Bank For Trade And Finance Algéria et Arab Bank PLC Algéria, Société Générale Algérie, AL Baraka d’Algérie, Gulf Bank Algérie et enfin
Trust Bank Algéria. Pour rappel, le Conseil de la monnaie et du crédit (CMC), a mis en place un nouveau dispositif afin de mieux contrôler les conditions d’installation des banques étrangères pour consolider la santé financière du système bancaire et assurer sa sécurité à travers le renforcement des conditions d’accès à la profession bancaire
Le Conseil de la monnaie et du crédit (CMC) a mis en place un nouveau dispositif afin de mieux contrôler les conditions d’installation des banques étrangères pour consolider la santé financière du système bancaire.Le paysage financier de l’Algérie connaîtra un vaste changement pour la nouvelle année 2007, avec l’arrivée d’une dizaine de banques étrangères arabes et européennes, il s’agit de deux banques marocaines du commerce extérieur ATTIJARI WAFA BANK et BMCE ( qui a bénéficié, d’un agrément délivré par la Banque d’Algérie, qui prévoit d’investir pas moins de 30 millions de dollars, pour lancer ses offres de services bancaires sur le marché algérien, la BMCE sera la première banque marocaine à activer en Algérie), de la banque française Calyon Corpored And investissement Bank (une banque de financement et d’investissement appartenant au groupe Crédit agricole), de la tunisienne Biat, des Libanais arrivent en Algérie avec la Byblos Bank et Fransabank El Djazaïr , celle-ci sera la première banque libanaise à s’installer en Algérie avec un capital social de 2 500 000 DA, Fransabank est considérée comme la cinquième banque au Liban, quant à sa consoeur, Byblos Bank, cet établissement privé de premier ordre active dans plusieurs pays européens et se propose d’agir en particulier en direction des PME et PMI, de la banque britannique HSBC, l’un des plus importants établissements bancaires au monde, de l’italienne Unicrédit Bonca, et enfin de la banque égyptienne du commerce extérieur (BECE) , qui a annoncé l’ouverture de sa filiale en Algérie sous l’appellation CIB Algérie, le capital de cette banque est constitué de fonds d’investissements égyp-tien et émirati. Toutes ces banques étrangères suivent de près l’évolution des réformes, engagées par l’Etat, notamment la sécurisation des systèmes de paiement après l’introduction des moyens de paiement électronique et interbancaire qui se précise dans le sens de la sécurisation des transactions, ces nouvelles données sont un facteur d’assurance et de motivation pour les banques étrangères et préfigurent donc des modifications importantes en matière de gestion et de développements des produits et services offerts à la clientèle, en attendant la mise en place d’autres instruments de paiement, ce qui constitue une véritable avancée indéniable dans la modernisation des outils de gestion des banques et, partant, de l’ensemble de l’économie nationale. Le paysage financier algérien compte actuellement 7 banques publiques, Cnep Banque , CNMA, BEA, BDL, Badr, BNA,et le CPA (cette dernière sera prochainement privatisée), et 10 banques privées, Citibank Algérie , BNP Parisbas Algérie , Natexis Algéria, ABC, Housing Bank For Trade And Finance Algéria et Arab Bank PLC Algéria, Société Générale Algérie, AL Baraka d’Algérie, Gulf Bank Algérie et enfin
Trust Bank Algéria. Pour rappel, le Conseil de la monnaie et du crédit (CMC), a mis en place un nouveau dispositif afin de mieux contrôler les conditions d’installation des banques étrangères pour consolider la santé financière du système bancaire et assurer sa sécurité à travers le renforcement des conditions d’accès à la profession bancaire
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