prétendus engagements du Maroc en faveur de l’Afrique : «contraires à ses pratiques d’occupation illégale d’un État africain»
Le gouvernement sahraoui a réagi, hier, au discours du roi du Maroc prononcé à l’occasion du 64e anniversaire de la révolution du roi et du peuple qui n’a tenu que 16 minutes.
Le gouvernement sahraoui a réagi, hier, au discours du roi du Maroc prononcé à l’occasion du 64e anniversaire de la révolution du roi et du peuple qui n’a tenu que 16 minutes.
Selon un communiqué publié par l’agence Sahara Press Service, le gouvernement sahraoui considère le discours de Mohammed VI comme de la poudre aux yeux pour « ne pas parler des droits de l’homme bafoués au Sahara occidental et sa colonisation de la majorité de ce territoire depuis 1975. Cela démontre de la sous-estimation et de la négligence et la tentation de faire désintéresser à la situation actuelle des Marocains qui sont dans une crise politique, économique et sociale ».
Dans ce cadre, le gouvernement sahraoui a précisé, selon la même source, qu’il existe un « contraste flagrant » dans le discours du roi « qui parle des intérêts de l’Afrique, ses peuples, ses valeurs et ses principes », en revanche « la pratique de l’occupation militaire illégale d’une partie du sol d’un pays africain qui est la République sahraouie, est donc une violation flagrante des piliers fondamentaux de l’Acte constitutif de l’Union africaine, en particulier les frontières héritées de l’indépendance ».
C’est pourquoi, le gouvernement de la République sahraouie dénonce avec force ce qui a été dit dans le discours de Mohamed VI confortant sa politique d’agression.
En revanche, « nous demandons à l’Union africaine de prendre les mesures nécessaires pour prendre des sanctions contre le royaume marocain, afin de se retirer immédiatement des parties qu’il occupe de la République sahraouie, membre fondateur de l’Union ».
En outre, le gouvernement a réitéré la détermination du peuple sahraoui, sous la présidence du Front Polisario, à continuer sa lutte juste pour protéger les zones libérées et affronter tous les plans qui visent le territoire sahraoui.
Le communiqué rappelle que le gouvernement sahraoui a également renouvelé son appel pour que les Nations-Unies agissent en vue de mettre fin aux violations graves des droits de l’homme et pour empêcher la spoliation des ressources naturelles des Sahraouis, lever le siège imposé sur les territoires sahraouis occupés et accélérer la libération des détenus de Gdim Izik et de tous les prisonniers politiques dans les prisons marocaines.
H. Hamza et Agences
Le gouvernement sahraoui a réagi, hier, au discours du roi du Maroc prononcé à l’occasion du 64e anniversaire de la révolution du roi et du peuple qui n’a tenu que 16 minutes.
Le gouvernement sahraoui a réagi, hier, au discours du roi du Maroc prononcé à l’occasion du 64e anniversaire de la révolution du roi et du peuple qui n’a tenu que 16 minutes.
Selon un communiqué publié par l’agence Sahara Press Service, le gouvernement sahraoui considère le discours de Mohammed VI comme de la poudre aux yeux pour « ne pas parler des droits de l’homme bafoués au Sahara occidental et sa colonisation de la majorité de ce territoire depuis 1975. Cela démontre de la sous-estimation et de la négligence et la tentation de faire désintéresser à la situation actuelle des Marocains qui sont dans une crise politique, économique et sociale ».
Dans ce cadre, le gouvernement sahraoui a précisé, selon la même source, qu’il existe un « contraste flagrant » dans le discours du roi « qui parle des intérêts de l’Afrique, ses peuples, ses valeurs et ses principes », en revanche « la pratique de l’occupation militaire illégale d’une partie du sol d’un pays africain qui est la République sahraouie, est donc une violation flagrante des piliers fondamentaux de l’Acte constitutif de l’Union africaine, en particulier les frontières héritées de l’indépendance ».
C’est pourquoi, le gouvernement de la République sahraouie dénonce avec force ce qui a été dit dans le discours de Mohamed VI confortant sa politique d’agression.
En revanche, « nous demandons à l’Union africaine de prendre les mesures nécessaires pour prendre des sanctions contre le royaume marocain, afin de se retirer immédiatement des parties qu’il occupe de la République sahraouie, membre fondateur de l’Union ».
En outre, le gouvernement a réitéré la détermination du peuple sahraoui, sous la présidence du Front Polisario, à continuer sa lutte juste pour protéger les zones libérées et affronter tous les plans qui visent le territoire sahraoui.
Le communiqué rappelle que le gouvernement sahraoui a également renouvelé son appel pour que les Nations-Unies agissent en vue de mettre fin aux violations graves des droits de l’homme et pour empêcher la spoliation des ressources naturelles des Sahraouis, lever le siège imposé sur les territoires sahraouis occupés et accélérer la libération des détenus de Gdim Izik et de tous les prisonniers politiques dans les prisons marocaines.
H. Hamza et Agences
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