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ALGER: L’effroyable histoire d’une femme enceinte MORTE à l’hôpital Parnet à Alger

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  • ALGER: L’effroyable histoire d’une femme enceinte MORTE à l’hôpital Parnet à Alger

    ALGER: L’effroyable histoire d’une femme enceinte MORTE à l’hôpital Parnet

    Hanane Messani avait tout d’une femme comblée. À 33 ans, elle était mère de deux garçons, Abdelmalek, sept ans et Abderraoud, quinze mois. Elle préparait l’anniversaire de l’aîné et attendait un troisième enfant, qu’elle ne verra jamais. Victime d’une négligence médicale, Hanane a perdu la vie à la fleur de l’âge. Le récit de son frère est glaçant.

    Jeudi 10 août, la jeune femme, alors enceinte de six mois et demi se rend normalement, comme chaque matin, à son travail, à la CNAS. Vers 13 heures, elle commence à avoir des saignements.

    Ses collègues l’accompagnent au CHU Mustapha Bacha. « Aux urgences, on leur a dit qu’elle ne pouvait pas être prise en charge immédiatement et que tous les médecins étaient au bloc », raconte Mohamed Lamine Messani, son frère.

    Hanane continue de saigner. Son mari, qui l’a rejoint, l’emmène à une clinique privée à Kouba. Sur place, aucune spécialiste pour la prendre en charge. Le couple se dirige ensuite à une autre clinique à Aïn Naâdja où elle est enfin examinée par un gynécologue. « Ce médecin constate alors la gravité de son cas. Elle allait accoucher. Il l’oriente vers l’hôpital Parnet (CHU Nefissa Hamoud à Hussein Dey) et signale l’urgence dans une lettre qu’il remet à ma sœur », poursuit notre interlocuteur.

    Hanane arrive à l’établissement hospitalier situé dans la banlieue d’Alger vers 16h30, accompagnée de son mari et de sa mère. Fin du calvaire de la parturiente ? Pas du tout.

    « Ce sont d’abord les agents de sécurité qui empêchent ma sœur et mes proches qui l’accompagnent dont ma mère de rentrer », dénonce le frère de la victime. Après l’insistance de ses proches, Hanane arrive à accéder à l’établissement avec sa mère. Sa situation continue de se détériorer. Elle continue à perdre du sang. À l’intérieur, la mère tente de trouver quelqu’un pour prendre en charge sa fille. Une sage-femme se présente. Hanane lui remet la lettre du gynécologue. « Gardez-la à votre niveau, je ne sais pas lire », répond sèchement la sage-femme, raconte notre interlocuteur.

    Sa mère tente d’expliquer que sa fille saigne et qu’elle souffre. La sage-femme reste de marbre. « Vous êtes sérieuse ou vous faites semblant ? », demande-t-elle. Hanane ne baisse pas les bras et tente sa chance avec la sage-femme, en lui expliquant qu’elle avait déjà accouché deux fois dans cet établissement. La dame lui répond avec dédain : « Vous voulez qu’on vous fasse un abonnement ? ».
    « Pour nous, c’est un monstre », lâche le frère.


    Le gynécologue se présente près de trois heures après l’arrivée de Hanane. «Elle s’était vidée de son sang », assure Mohamed Lamine. Sa mère ne peut pas l’accompagner vers la salle d’accouchement. Les proches de Hanane attendent donc à l’extérieur. Des bruits courent sur une femme qui accouche dans le couloir de l’hôpital. « On ne sait pas alors si c’est elle ou pas », relate le frère, les larmes aux yeux. « Avant l’accouchement, on lui fait signer un document disant qu’on va la sauver elle mais pas de bébé puisqu’il n’y avait pas de couveuse », s’indigne-t-il. Après quelques interventions, ses proches lui trouvent la couveuse.

    À 21 heures, la mauvaise nouvelle tombe. Le mari est informé du décès de sa femme, qui sera enterrée le lendemain. C’était le jour du septième anniversaire de son aîné. Petite consolation pour sa famille : le nourrisson a été sauvé.
    Dans le certificat de décès, on mentionne une embolie amniotique qui provoque un arrêt cardiaque. « On note également que le décès a eu lieu à 20h30 alors que nous avons eu ma sœur au téléphone vers 20h45 », s’étonne le frère.

    Aujourd’hui, ses proches peinent à faire le deuil de Hanane. « Ma mère est détruite. Ils sont tous complices », accuse le frère. En colère, son père réclame justice. Il a saisi par courrier le directeur général de l’hôpital et le ministre de la Santé. « Notre fille a connu les pires moments de sa vie durant plus de trois heures avant sa prise en charge médicale (…) pour nous permettre de faire notre deuil, je vous prie de bien vouloir user de votre autorité pour diligenter une enquête », écrit Lounès Messani.

    Hier lundi, le directeur général de l’établissement a rencontré les parents. Un autre responsable à l’hôpital est revenu sur ce cas dans une déclaration à nos confrères de Liberté en livrant des chiffres et en évoquant la saturation du service. « Pour eux, Hanane est une statistique. Mais pour moi, c’est une sœur. Comment expliquez l’attitude de la sage-femme ? La souffrance de ma sœur ? Tôt ou tard, il faut que quelqu’un paie », réclame le frère.

    TSA
    Dernière modification par Pomaria, 23 août 2017, 16h12.
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

  • #2
    Paix à son âme et pensée émue à sa famille!
    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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    • #3
      Allah yerahamha inchallah

      Vraiment, il y a trop d'inconscience professionnelle dans nos hopitaux, et de très grave dysfonctionnement du management qui a fait qu'il n'y a pas de gényco pendant plus 3 heures dans un grand hopital de la capital !

      de plus, je peux concevoir qu'il y ait manque de matériel, manque de médecins, mais une gestion rigoureuse du personnel, des astreintes, et la mutualisation et l'affectation des ressources, de système de transfert centralisé efficace des malades vers d'autres hopitaux, qui doivent être mis en place pour éviter de se rejeter les malades comme des patates chaudes en les faisant triimbaler entre cliniques et hopitaux, et de mettre en danger ainsi les patients.

      De même que je suis sidérée par ce mépris totale par cette sage femme vis-a-vis d’une patiente en danger, qui plus est dans un hopital. c’est un acte criminel pour non assistance à personne en danger qui est passible de prison
      Dernière modification par Pomaria, 23 août 2017, 16h28.
      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

      Commentaire


      • #4
        Paix à son âme !!

        Les médecin du forum nous éclaireront :
        « Ce médecin constate alors la gravité de son cas. Elle allait accoucher. Il l’oriente vers l’hôpital Parnet (CHU Nefissa Hamoud à Hussein Dey) et signale l’urgence dans une lettre qu’il remet à ma sœur », poursuit notre interlocuteur.
        Lorsqu'on oriente, cela suppose t-il que le médecin "orientateur" a contacté l'hopital en question et s'est assuré de sa capacité à accueillir la malade, ou est-ce une manière de se débarasser du problème ?

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        • #5
          allah yarhamha.

          jawzia
          jeme suis pose la meme question ,pourquoi l'urgence n'a pas ete traitee directement a ain naadja.?
          ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
          On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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          • #6
            Allah yerahamha

            Commentaire


            • #7
              Au Canada c'est 132 médecins pour 100 000 personnes, pour comparaison en Algérie c'est 10 pour 100 000 personnes.
              Le personnel est exténué, les moyens réels mis à disposition laissent à désirer, découragements et laisser-aller flagrants, les poursuites n'aboutissent pas ... comme tout bon service publique c'est la jungle.

              Beaucoup de choses à revoir, à commencer par le sommet. Il est temps d'en finir avec des ministres khodra fouq 3cha avec des champs d'action limités.

              Aussi, une loi devrait encadrer la pratique des sage-femmes, les soins qu’elles peuvent dispenser ainsi que les tests et les médicaments qu’elles peuvent prescrire. On se demande si elles reçoivent toutes une formation universitaire dans le domaine de l’obstétrique et des stages en milieu hospitalier.

              Allah yarhamha ! et yarham les prochaines ...
              وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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              • #8
                C'est exactement dans cet hopital qu'une proche a moi à peu de même âge avait trouvé la mort il ya quelques temps déjà, elle et son bébé, laissant des orphelins derrière elle.
                Leurs histoires se ressemblent d'un façon douloureusement troublante pour moi.
                Combien d'autres femmes anonymes ont trouvé la mort.
                Combien d'enfants, combiens de pères, de maris, de soeurs...
                Combien de famille endeuillées par autant de négligence et d'absence d'humanité...

                C'est triste de savoir que dans ce pays on tue les patients dans les hôpitaux au lieu de les soigner, dans l'indifférence générale, on les tue après les avoir maltraité et méprisés, eux et leurs proches.
                Aucun être humain ne mérite ca.

                Je vais encore me répéter, même si ca déplait aux medecins ta3 el festi, l'attitude des médecins et des personnels soignant dans les hôpitaux algériens est honteuse.

                Un jour on parlera d'eux partout et tout le monde les montrera du doigts et ils auront honte de dire je suis médecin, infirmière ou sage femme dans un hôpital algérien, moi j'ai déjà j'ai honte à leur place.

                Ca m'attriste de savoir que quelques années plus tard une autre maman décède de négligence elle et son bébé laissant derrière elle des orphelins...
                les mêmes drames se répètent fi blad miki et tout est NORMAL

                Paix à son âme et bien du courage à ses enfants...
                Allah yerhem toutes les victimes de ces soignants sans coeurs et puisse Dieu faire à ce qu'il paient, puisque la justice des hommes n'existe pas, celle de Dieu finira peut être par se faire...
                Dernière modification par Megane, 23 août 2017, 19h40.
                Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

                Commentaire


                • #9
                  pour la question de Jawzia, la réponse est non, je ne suis pas médecin mais j'ai été "orienté" à maintes reprises.

                  l'orientation est en réalité un moyen pour t'envoyer ailleurs, parfois, elle est exigée pour te faire admettre, dans d'autre cas, elle ne sert absolument à rien.
                  La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

                  Commentaire


                  • #10
                    ce qu'il faut savoir, c'est que la réalité est complexe et dépasse de loin le pire de ce qu'on peut imaginer.

                    les dysfonctionnements ne peuvent être imputés à un infirmier, médecin ou même chef de service, c'est le Tout qui est défaillant, aucune structure, aucun organisme au sein des établissements publics ne rempli sa fonction, souvent, le personnel fraude, détourne, ou dilapide les moyens materiels mis à la disposition de ce même personnel.

                    les approvisionnements sont surfacturés et le contrôle interne quasi inexistant, tout le monde est pistonné et il y a souvent des intouchables qui ne font rien mais ont tout les avantages, ce qui sape l'autorité des responsable et détruit toute notion de justice et de motivation au sein d'un organisme.

                    les inégalité causeront une frustration grandissantes et décourageront les plus compétents qui se verront récompensés par des sanctions indirectes (affectation), des exclusion (exclus des formation par exemple) et dans le meilleurs des cas, ils se retrouvent écartés et poussés à la démission.
                    La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

                    Commentaire


                    • #11
                      RISK
                      l'orientation est en réalité un moyen pour t'envoyer ailleurs, parfois, elle est exigée pour te faire admettre, dans d'autre cas, elle ne sert absolument à rien.
                      tu as tout à fait raison RISK !

                      tout le monde sait qu'avec les moyens technologiques actuels (internet, 3G, liaisons Satellite), on peut très très facilement de mettre en place un tableau de bord NATIONAL centralisé de gestion des ressources humaines (médecins, spécialistes, sages femmes...) et de toutes ressources par clinique/hopital (lits, salles, dispositifs médicaux, ambulances ...etc), avec un système temps réel d'escalade et de remontée d'alertes et d'incidents, et de suivi du parcours médical de patients en urgence, d'affectation de ressources ..

                      Un accès à ce tableau de bord à distance, permettra ainsi à tout practicien de santé (médecin urgentiste, médecin interniste):
                      - de créer ou de suivre le parcours médical et d'avoir accès à tout le dossier médical d'un patient admis dans une strcuture de santé,
                      - de pouvoir prendre des décisions qui s'imposent dans l'urgence (demande transfert de patient, demande urgent d'appui en ressources, ...etc),
                      - et surtout de pouvoir fluidifier les échanges entre hopitaux, cliniques et praticiens/spécialistes de la santé.

                      Avec ce Tableau de Bord accessible partout dans les structures de santé, tout citoyen n'aura ainsi qu'a s'adresser à n'importe qu'elle structure de santé, pour qu'il soit orienté vers "LA" bonne structure qui sera apte à le prendre en charge. Et pourquoi pas lui prendre un RDV à distance pour une consultation, ou pour tel ou tel autre acte médical.

                      Et même en cas d'extrême urgence, c'est cette structure de santé qui doit directement le prendre en charge pour qu'elle le transfert elle-même par ambulance vers l'établissement adéquat qui aura les ressources huamaines et matériels disponibles et les compétences nécessaires pour son cas clinique.

                      Ainsi, les moyens de gestion efficace sont à portée de main. Mais c'est la volonté qui est totalement absente !!!

                      malheuresment, les algériens ont horreur de collaborer, de travailler en équipe et en toute transparence. Alors tous ces outils informatiques qui risquent d'enregistrer leurs actions, tracer, divulguer et rendre visible le résultat de leur travail, et mettre à nue les responsabilités de chacun, ne sont pas faite pour nous, les algériens !

                      Ainsi en continuant dans cette gabegie dans la gestion des ressources humaines et matériels dans nos hopitaux, cliniques et centres de santé:
                      - tous les algériens en patissent,
                      - l'état de nos hopitaux se dégradent ou sont sciemment dégradés, malgrè les milliards investis,
                      - beaucoup de praticiens de santé jetent l"éponge et quitte les milieux hospitaliers pour travailler à leur compte,
                      - d'autres rejettent leurs responsabilités aux autres, pour se couler douce ...
                      - d'autres jouent le rôle de rabatteur pour les bénéfices de cliniques, de cabinets médicaux...
                      - d'autres s'enrichicssent illégalement ...

                      alors que des vrais gestionnaires ou sages-femmes compétentes, médecins bosseurs sont la plus part du temps punis pour avoir bien voulu se donner au maximum..., ou encore, ils sont mis à carreaux ! car dangeureux pour les incompétents et les bras cassés.

                      en effet, tout le monde sait que lorsqu'on agit et on travaille, on risque de faire des erreurs. Normal dirais-je !
                      Malhereusement, en Algérie, c'est seuls ces derniers, les vrais travailleurs qui font avancer les choses, sont punit. Rarement ceux qui ne font rien, ou ceux qui fuient leur propre responsabilité.

                      ainsi va l'algérie ... :22:
                      Dernière modification par Pomaria, 23 août 2017, 20h20.
                      Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                      Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                      Commentaire


                      • #12
                        tout le monde sait qu'avec les moyens technologiques actuels (internet, 3G, liaisons Satellite), on peut très très facilement de mettre en place un tableau de bord NATIONAL centralisé de gestion des ressources humaines (médecins, spécialistes, sages femmes...) et de toutes ressources par clinique/hopital (lits, salles, dispositifs médicaux, ambulances ...etc), avec un système temps réel d'escalade et de remontée d'alertes et d'incidents, et de suivi du parcours médical de patients en urgence, d'affectation de ressources ..

                        Un accès à ce tableau de bord à distance, permettra ainsi à tout practicien de santé (médecin urgentiste, médecin interniste):
                        - de créer ou de suivre le parcours médical et d'avoir accès à tout le dossier médical d'un patient admis dans une strcuture de santé,
                        - de pouvoir prendre des décisions qui s'imposent dans l'urgence (demande transfert de patient, demande urgent d'appui en ressources, ...etc),
                        - et surtout de pouvoir fluidifier les échanges entre hopitaux, cliniques et praticiens/spécialistes de la santé.
                        Même en france, cela n'existe pas.

                        Peut être dans le feuilleton de fiction "Urgence" !!

                        Commentaire


                        • #13
                          Pomaria,

                          Je suis tout à fait d'accord, manque de professionnalisme, je m'enfoutisme généralisé.

                          Même quand les moyens sont là, ils sont gaspillés, vandalisés et sabotés, tout le monde a sa part de responsabilité. Même le peuple qui se laisse assassiner sans bouger le petit doigts, alors qu'ils s'indignent quand le prix de la baguette de pain augmente.
                          La saleté devenue la norme, qui ne choque plus personne...

                          Et surtout ce qui me glace le sang c'est le manque d'humanité chez ces praticiens, ils traitent les malades comme des objets usagés à jeter, aucun respect ni pour eux ni pour leurs familles.

                          C'est un sentiment terrible de voir un être cher subir les pires maltraitances à ses derniers instants de vie, avant de mourir dans l'indifférence comme si c'était une mouche.
                          Mon Dieu que ca fait mal....

                          De voir la froideur et l'indifférence vraiment inhumaines de ces gens, je ne le dirai jamais assez, c'est pire qu'un film d'horreur que vous vous rejouez dans votre tête en boucle pendant des mois, voire des années.

                          Je ne souhaite ça à personne, sauf peut être à ceux qui font subir de telles horreurs aux patients pour les laisser mourir comme des choses insignifiantes.

                          Tout le monde est complice, le peuple, le personnel soignant (qui a une responsabilité qu'il n'assume pas et un devoir de soin dans des contitions dignes d'un humain) et bien sûr les autorités.

                          Mais soyons honnêtes sur ce coup là, on ne peut pas tout imputer aux autorités chacun doit assumer ses propres responsabilités et la justice doit condamner tous les fautifs, sans exception.
                          Dernière modification par Megane, 23 août 2017, 21h01.
                          Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

                          Commentaire


                          • #14
                            ..... tyrannie ....

                            .... Qui n'a pas eu à se battre dans nos hôpitaux pour un parent, pour un

                            malade quelconque contre la tyrannie de certains ou certaines employées ....

                            Combien de fois cela s'est passé .... des milliers de fois sans peur d'avoir

                            exagéré ...... Combien de morts y a t il eu par ces cas .... des centaines

                            également .... a t on trouvé .... plutôt a t on cherché sérieusement à trouver

                            une solution .... non! .... pourquoi? .....Là, on ne plus rien dire .... puisque

                            si on devait condamner quelqu'un ..... nous devons condamner tout le

                            monde .... les politiques, les magistrats ..... mais surtout le peuple qui

                            accepte cet état de choses et se contente de marmonner tout seul ....

                            Commentaire


                            • #15
                              c'est terrible...mourir alors qu'elle devait donner la vie...je suis consternée par cet enchaînement d'éléments dramatiques qui a conduit cette maman à la mort...
                              Arrivée à bon port !

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