Quand c'est un enfant, il va de soi qu'on ne va pas lui dire la vérité, mais lorqu'il s'agit d'un adulte quelle est l'attitue à adopter?
Je pense que lorque la personne est trop âgée ou fragile, il vaut mieux lui dissimuler la vérité. On lui évite ainsi la souffrance psychologique, celle physique étant déjà très pénible à supporter.
Mais quand elle a des doutes sur la teneur réelle de son mal et qu'elle pose des questions, qu'est-il préconisé de faire?
Les médecins d'aujourd'hui manquent d'humanisme, aucun accompagnement, aucun soutien n'est offert aux familles des malades!
Je pense que lorque la personne est trop âgée ou fragile, il vaut mieux lui dissimuler la vérité. On lui évite ainsi la souffrance psychologique, celle physique étant déjà très pénible à supporter.
Mais quand elle a des doutes sur la teneur réelle de son mal et qu'elle pose des questions, qu'est-il préconisé de faire?
Les médecins d'aujourd'hui manquent d'humanisme, aucun accompagnement, aucun soutien n'est offert aux familles des malades!
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