Bonjour,
De plus en plus, les tensions entre les laïcs et les islamistes se font ressentir en Algérie. Ces tensions ont atteint même le secteur de l'éducation ou deux courants s'affrontent et s'opposent quotidiennement. Certains voient en la laïcité en laissant la religion en dehors du système comme la solution ultime pour sauver l'école algérienne de la médiocrité dans laquelle elle baigne depuis des décennies. Les autres voient en la religion et l'arabisation à outrance comme le salut (sans jeu de mots). Ainsi, je me pose la question sur la pertinence d'instaurer un système éducatif avec deux approches parallèles:
Le choix sera accordé aux familles de choisir l'approche qui leur convient le mieux et l'Etat prendra l'engagement de mettre les moyens (disponibilités des profs, des écoles) en fonction du nombre des inscrits.
C'est ainsi que les deux approches s'affronteront dans un environnement de concurrence sain.
Qu'est ce que vous en pensez?
De plus en plus, les tensions entre les laïcs et les islamistes se font ressentir en Algérie. Ces tensions ont atteint même le secteur de l'éducation ou deux courants s'affrontent et s'opposent quotidiennement. Certains voient en la laïcité en laissant la religion en dehors du système comme la solution ultime pour sauver l'école algérienne de la médiocrité dans laquelle elle baigne depuis des décennies. Les autres voient en la religion et l'arabisation à outrance comme le salut (sans jeu de mots). Ainsi, je me pose la question sur la pertinence d'instaurer un système éducatif avec deux approches parallèles:
- Une approche basée sur un enseignement universel où l'enseignement de la religion sera quasi absente et les langues étrangères (Français, Anglais, Espagnol...etc.) et les sciences fondamentales seraient prépondérantes. Cette approche suppose que l'éducation religieuse relèverait de l'éducation familiale ou des madrassa ouvertes dans des mosquées.
- L'autre approche sera axée sur un enseignement prodigué en arabe où l’enseignement de la religion prendra une part importante.
Le choix sera accordé aux familles de choisir l'approche qui leur convient le mieux et l'Etat prendra l'engagement de mettre les moyens (disponibilités des profs, des écoles) en fonction du nombre des inscrits.
C'est ainsi que les deux approches s'affronteront dans un environnement de concurrence sain.
Qu'est ce que vous en pensez?
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