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L’enquête sur l’attentat kamikaze de Tiaret progresse Quatre individus arrêtés
Il était clair que la tentative d’attentat kamikaze, commise le 31 août dernier, déjouée grâce à la bravoure de policiers en faction au siège de la Sûreté de wilaya de Tiaret, allait faire l’objet d’une enquête exigeant très vite des résultats.
Ceci eu égard à la signature que cet acte portait et la confirmation venue vingt-quatre heures plus tard sous l’habituelle forme d’un communiqué de revendication de Daesh à travers son agence d’information et de propagande.
La réapparition de terroristes se réclamant de l’Etat islamique sur le territoire national est, en effet, une raison du genre à mobiliser tous les corps des services de sécurité aussi bien en moyens qu’en enquêteurs, tel que cela avait été le cas en Kabylie, où la branche algérienne de Daesh est née, puis à Constantine, lorsque des terroristes de katibat Al-Ghoraba avaient décidé de prendre la relève du groupe créé sur les hauteurs de la wilaya de Tizi-Ouzou avant d’être décimé par l’ANP. Ce qui a été apparemment le cas, puisqu’une dizaine de jours ont suffi à la gendarmerie et la police afin de défricher toutes les pistes possibles jusqu’à remonter à quatre individus en liaison avec l’attentat, a annoncé un communiqué du ministère de la Défense nationale, samedi en fin d’après-midi.
Quatre personnes arrêtées samedi donc, mais ni le lieu ni la qualité ou encore moins leur degré d’implication dans la tentative d’attentat n’ont, toutefois, été divulgués. Mais, tout semble indiquer qu’il s’agit d’éléments faisant partie d’un groupe de soutien sur lequel s’est appuyé le kamikaze dont l’identité, rappelons-le, a été établie deux jours après l’acte ayant coûté la vie à deux policiers, en plus du terroriste qui avait adopté comme pseudonyme Abou Djihad, selon les premiers éléments d’information révélés au sujet de ce terroriste, qui avaient établi qu’il s’agissait d’un Tiareti âgé d’une quarantaine d’années ayant rejoint entre 2010 et 2011 les quelques maquis islamistes encore en activité à l’ouest du pays. Tout indique que l’enquête est en bonne voie, ainsi que l’annonce du démantèlement total du réseau de soutien à l’origine de la tentative d’attentat kamikaze qui aurait pu coûter la vie à plusieurs dizaines de policiers de la Sûreté de wilaya de Tiaret.
M. Azedine
Ceci eu égard à la signature que cet acte portait et la confirmation venue vingt-quatre heures plus tard sous l’habituelle forme d’un communiqué de revendication de Daesh à travers son agence d’information et de propagande.
La réapparition de terroristes se réclamant de l’Etat islamique sur le territoire national est, en effet, une raison du genre à mobiliser tous les corps des services de sécurité aussi bien en moyens qu’en enquêteurs, tel que cela avait été le cas en Kabylie, où la branche algérienne de Daesh est née, puis à Constantine, lorsque des terroristes de katibat Al-Ghoraba avaient décidé de prendre la relève du groupe créé sur les hauteurs de la wilaya de Tizi-Ouzou avant d’être décimé par l’ANP. Ce qui a été apparemment le cas, puisqu’une dizaine de jours ont suffi à la gendarmerie et la police afin de défricher toutes les pistes possibles jusqu’à remonter à quatre individus en liaison avec l’attentat, a annoncé un communiqué du ministère de la Défense nationale, samedi en fin d’après-midi.
Quatre personnes arrêtées samedi donc, mais ni le lieu ni la qualité ou encore moins leur degré d’implication dans la tentative d’attentat n’ont, toutefois, été divulgués. Mais, tout semble indiquer qu’il s’agit d’éléments faisant partie d’un groupe de soutien sur lequel s’est appuyé le kamikaze dont l’identité, rappelons-le, a été établie deux jours après l’acte ayant coûté la vie à deux policiers, en plus du terroriste qui avait adopté comme pseudonyme Abou Djihad, selon les premiers éléments d’information révélés au sujet de ce terroriste, qui avaient établi qu’il s’agissait d’un Tiareti âgé d’une quarantaine d’années ayant rejoint entre 2010 et 2011 les quelques maquis islamistes encore en activité à l’ouest du pays. Tout indique que l’enquête est en bonne voie, ainsi que l’annonce du démantèlement total du réseau de soutien à l’origine de la tentative d’attentat kamikaze qui aurait pu coûter la vie à plusieurs dizaines de policiers de la Sûreté de wilaya de Tiaret.
M. Azedine
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