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Les partisans de Bouteflika passent à l’offensive

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    Les partisans de Bouteflika passent à l’offensive

    L'Actualité en temps réel Par: Fayçal Métaoui 12 Sept. 2017 à 13:45
    [IMG]https://www.tsa-************/wp-content/uploads/fly-images/7600/boutef9-9999x9999-c.jpg[/IMG] Billel Zehani / NEWPRESS
    Les partisans du président Abdelaziz Bouteflika passent à l’offensive après une période de silence. Le FLN, le RND, le MPA et TAJ se retrouvent aujourd’hui à Alger autour du Premier ministre Ahmed Ouyahia. Officiellement, c’est pour débattre de la manière de « défendre » le Plan d’action du gouvernement, qui sera présenté dimanche 17 septembre à l’Assemblée populaire nationale (APN).
    Une réunion politique

    La réunion est une initiative d’Ahmed Ouyahia, Premier ministre et secrétaire général du RND. « Nous devons accorder nos violons sur plusieurs questions », nous apprend un responsable du RND. Les quatre partis sont représentés par 296 députés à l’APN sur 462 que compte la chambre basse du Parlement. Ils représentent 65% de l’Assemblée. Il n’y a donc aucun risque pour que le Plan d’action d’Ahmed Ouyahia ne passe pas.


    En réalité, le but de la réunion de ce mardi 12 septembre est plus politique. Il s’agit de construire « un front » pour défendre le chef de l’État contre les appels de l’opposition et de la société civile à l’organisation d’élection présidentielle anticipée en raison de l’absence prolongée de Bouteflika.


    Plusieurs voix, dont celles d’un groupe d’intellectuels, ont demandé l’application de l’article 102 de la Constitution qui porte sur « l’impossibilité totale » pour le président de la République d’exercer ses fonctions « pour cause de maladie grave et durable ».


    Le politologue Mohamed Hennad a soutenu, dans une interview publiée par l’hebdomadaire français Le Point sur son site internet, que les signataires de l’appel des intellectuels sur l’organisation d’élection présidentielle anticipée ne veulent pas, « pour des considérations autant humaines que pratiques », que Bouteflika subisse « l’affront de la constatation de la vacance du pouvoir ni, à fortiori, connaisse le même sort que le président Bourguiba (en Tunisie) qui fut destitué par un simple certificat médical ».


    L’émergence d’un fort courant d’opinion favorable au départ du président Bouteflika est une perspective qui fait peur aux soutiens du locataire du Palais d’El Mouradia. Ahmed Ouyahia, qui a toujours défendu les choix du président Bouteflika, a critiqué les « partisans de l’article 102 » qualifiant leurs appel de « Rih fel berima » (le vent dans le moulin), inspirée d’une ancienne chanson tunisienne.
    « L’Alliance présidentielle » de retour ?

    Ouyahia veut donc « recréer » l’ancienne « Alliance présidentielle » sous une autre forme pour mener le bateau du gouvernement en évitant autant que faire se peut les vents hostiles. Ouyahia a probablement constaté que le FLN ne montre plus la même fougue dans la défense du président Bouteflika que par le passé.
    Djamel Ould Abbes, secrétaire général du FLN, qui a « interdit » le débat sur le cinquième mandat pour Bouteflika au sein de son parti, a estimé que certains veulent créer « le climat délétère » de l’été 1998, période marquée par une campagne médiatique contre Mohamed Betchine, conseiller du président Liamine Zeroual. Zeroual a démissionné après cette campagne en septembre 1998.
    Ces derniers jours, l’armée s’est mêlée au débat politique pour refuser l’option du coup d’État militaire contre le président en exercice et rappeler ses « missions constitutionnelles ».
    L’offensive du FLN, du RND, du MPA et de TAJ va-t-elle être suffisante pour clore le débat sur l’état de santé du président de la République ? Ou va-t-elle, au contraire, le relancer de plus belle ? Il n’y a pas que les quatre partis qui montent « au front ». Le 21 septembre prochain, la Coordination nationale des associations qui soutiennent le programme du président de la République envisage d’organiser une rencontre nationale sur « la réconciliation nationale » et « la concorde civile ».
    La Coordination entend célébrer le double anniversaire du référendum sur la Concorde civile (septembre 1999) et celui sur la Charte pour la paix et la réconciliation nationale (septembre 2005).
    L’information a été rapportée par l’agence officielle APS citant une source du cabinet du wali de Ghardaïa. La rencontre a donc un caractère officiel surtout que la Coordination, qui « organise » l’événement, a disparu de la scène publique depuis 2014.
    Il faut s’attendre à d’autres initiatives similaires dans les prochaines semaines. On va donc « parler » à la place du président de la République qui, lui, garde le silence…
    tsa

  • #2
    ... Partisans, pas partisans .... et ce n'est jamais fini, ces gens ne se soucient

    nullement du pays ..... ils ne savent que ça : "viens avec nous"" .... ""on va

    leur faire voir"" .... ""ce sont des incapables"" .... ""ou llah qu'ils ...., ou llah

    qu'ils ...."" ..... l'Algérie et le peuple sont le dernier de leur soucis .... ne vous

    fiez pas à blablabla .....

    Commentaire

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