Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Pour la premiere fois depuis avril le prix du baril de Brent dépasse la barre de 55 dollars

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Pour la premiere fois depuis avril le prix du baril de Brent dépasse la barre de 55 dollars

    en ce moment même :
    Le Cours du baril de pétrole en dollars: 49.38 $ (+1.15 2.38% )
    Le Cours du pétrole Brent en dollars: 55.19 $ (+0.92 1.70% )

    Le pétrole aidé à New York par un regain d'optimisme sur la demande de brut
    «Les marchés ont poussé un soupir de soulagement en voyant l'OPEP enfin ralentir sa production, qui augmentait depuis mars», ont indiqué les analystes de PVM.
    Les prix du pétrole coté à New York ont terminé en nette hausse mercredi, portés par un regain d'optimisme sur la demande mondiale d'or noir en 2017, de la part de l'Agence internationale de l'Énergie (AIE) notamment.

    Le baril de «light sweet crude» (WTI) pour livraison en octobre, référence américaine du brut, a gagné 1,07 dollar pour clôturer à 49,30 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

    Sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre a terminé à 55,16 dollars, en hausse de 89 cents par rapport à la clôture de mardi.

    «Le rapport mensuel de l'AIE a servi de catalyseur pour la progression des cours» ce mercredi «car il dépeint une situation qui s'améliore pour le marché pétrolier», avance Andrew Lebow de Commodity Research Group.

    Dans son rapport mensuel diffusé mercredi, l'AIE estime que la demande mondiale de pétrole devrait augmenter de 1,6 million de barils par jour (mbj) en 2017. C'est 100 000 barils par jour de plus que ses estimations d'août.
    Accueil > Affaires > Économie > Énergie et ressources > Le pétrole aidé à New York par un regain d'optimisme sur la demande de brut
    Publié le 13 septembre 2017 à 07h16 | Mis à jour à 15h32
    Le pétrole aidé à New York par un regain d'optimisme sur la demande de brut
    «Les marchés ont poussé un soupir de soulagement... (PHOTO ERIC GAY, ARCHIVES AP)
    Agrandir
    «Les marchés ont poussé un soupir de soulagement en voyant l'OPEP enfin ralentir sa production, qui augmentait depuis mars», ont indiqué les analystes de PVM.

    Les prix du pétrole coté à New York ont terminé en nette hausse mercredi, portés par un regain d'optimisme sur la demande mondiale d'or noir en 2017, de la part de l'Agence internationale de l'Énergie (AIE) notamment.

    Le baril de «light sweet crude» (WTI) pour livraison en octobre, référence américaine du brut, a gagné 1,07 dollar pour clôturer à 49,30 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

    Sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre a terminé à 55,16 dollars, en hausse de 89 cents par rapport à la clôture de mardi.

    «Le rapport mensuel de l'AIE a servi de catalyseur pour la progression des cours» ce mercredi «car il dépeint une situation qui s'améliore pour le marché pétrolier», avance Andrew Lebow de Commodity Research Group.

    Dans son rapport mensuel diffusé mercredi, l'AIE estime que la demande mondiale de pétrole devrait augmenter de 1,6 million de barils par jour (mbj) en 2017. C'est 100 000 barils par jour de plus que ses estimations d'août.


    Quant aux stocks commerciaux, qui augmentent habituellement à ce moment de l'année, ils sont restés stables dans les pays développés.

    Dans son propre rapport mensuel, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) avait fait état mardi d'une baisse de la production de ses pays membres en août et avait aussi revu à la hausse la demande pour 2017.

    «Les marchés ont poussé un soupir de soulagement en voyant l'OPEP enfin ralentir sa production, qui augmentait depuis mars», ont indiqué les analystes de PVM.

    Le cartel est engagé depuis fin 2016, avec d'autres producteurs dont la Russie, dans un accord de limitation des extractions. Mais après avoir à peu près respecté ses objectifs en début d'année, l'OPEP amplifiait depuis plusieurs mois sa production.

    Au final, l'écart entre l'offre et la demande semble se resserrer, ce qui devrait soutenir les cours.

    Dans ce contexte, le rapport hebdomadaire sur le niveau des réserves de pétrole aux États-Unis «a été accueilli avec des pincettes, car il reflète les conséquences de l'ouragan Harvey, qui est un phénomène temporaire», selon M. Lebow.

    Harvey a provoqué d'importantes inondations en frappant les côtes du Golfe du Mexique le 25 août et les jours suivants. Au pic des perturbations, près d'un quart des capacités de raffinage américaines ont été mises hors service.

    Conséquence: les stocks de brut ont reculé de 5,9 millions de barils lors de la semaine achevée le 8 septembre tandis que ceux d'essence ont plongé de 8,4 millions de barils.

    Les stocks de produits distillés ont aussi reculé, de 3,2 millions de barils.

    L'ouragan avait aussi conduit à la fermeture préventive d'une partie des plateformes pétrolières dans le Golfe du Mexique et dans le bassin d'Eagle Ford au Texas, mais ces dernières semblent avoir rapidement repris leurs activités: la production américaine a progressé de 572 000 barils par jour à 9,35 millions de barils par jour (mbj).
    affaires.lapresse.ca

  • #2
    John Baffes, économiste à la Banque mondiale n'est pas du même avis et il est même trop pessimiste quand à une hausse significative des prix du pétrole :

    John Baffes, économiste à la Banque mondiale, a estimé mercredi qu'il était peu probable que les prix du pétrole brut dépassent le seuil des 60 dollars le baril dans les trois années à venir, invoquant la production massive de pétrole de schiste aux Etats-Unis et les technologies révolutionnaires.
    Lors de la Conférence mondiale sur le caoutchouc, qui se tient actuellement à Kuala Lumpur, M. Baffes a déclaré à la presse avoir remarqué des facteurs positifs pour la production pétrolière, mais négatifs pour les prix du brut.
    La Banque mondiale estime que les prix du brut annuels s'établiront respectivement à 52, 54 et 57 dollars de 2017 à 2019.
    Les prix de l'or noir ont clôturé en hausse mardi après que l'OPEP a annoncé une augmentation de la demande, dans un contexte de réduction de la production parmi ses membres. Le cours du pétrole est toutefois retombé mercredi avec l'augmentation des stocks domestiques américains de brut.
    maghrebemergent

    Commentaire


    • #3
      le dollar a touché le fond, c'est normal
      إِن تَنصُرُوا الله ينصُركُم الله، الوطن، الملك

      Commentaire

      Chargement...
      X