Bonjour
VIENNE – Une mère autrichienne est accusée d’avoir enfermé pendant sept ans ses trois filles dans l’obscurité de son pavillon.
Une femme âgée de 53 ans est accusée d'avoir séquestré ses enfants. Ses filles n'ont, en effet, pu sortir du pavillon familial qu'à de rares occasions depuis le divorce des parents en 1998. Leur calvaire n'a pris fin qu'en 2005. Le procès devrait avoir lieu sous peu selon le quotidien Österreich. Ces enfants auraient été maintenus dans l’obscurité parmi les rats et les ordures. Suite au divorce, la mère, une juriste habitant un quartier résidentiel huppé de Linz, avait retiré ses filles de l’école. Elle interdisait à leur père, un juge, de leur rendre visite. Les autorités n'ont pas réagi. Selon la mère, leur père avait une mauvaise influence sur leurs filles: elles tomberaient malade après chaque rencontre avec lui.
Suite aux plaintes des voisins, les fillettes ont été libérées en octobre 2005. Au début de leur enfermement, elles étaient âgées de 6, 10 et 13 ans. Elles sont aujourd'hui traitées depuis pour de graves problèmes psychologiques. A leur libération, elle étaient sous-alimentées et parlaient un dialecte qu’elles avaient développé entre elles et ne supportaient pas la lumière.
«Visiblement, les services sociaux ont mal évalué la situation», a reconnu le ministre provincial des Affaires sociales.
(job)
VIENNE – Une mère autrichienne est accusée d’avoir enfermé pendant sept ans ses trois filles dans l’obscurité de son pavillon.
Une femme âgée de 53 ans est accusée d'avoir séquestré ses enfants. Ses filles n'ont, en effet, pu sortir du pavillon familial qu'à de rares occasions depuis le divorce des parents en 1998. Leur calvaire n'a pris fin qu'en 2005. Le procès devrait avoir lieu sous peu selon le quotidien Österreich. Ces enfants auraient été maintenus dans l’obscurité parmi les rats et les ordures. Suite au divorce, la mère, une juriste habitant un quartier résidentiel huppé de Linz, avait retiré ses filles de l’école. Elle interdisait à leur père, un juge, de leur rendre visite. Les autorités n'ont pas réagi. Selon la mère, leur père avait une mauvaise influence sur leurs filles: elles tomberaient malade après chaque rencontre avec lui.
Suite aux plaintes des voisins, les fillettes ont été libérées en octobre 2005. Au début de leur enfermement, elles étaient âgées de 6, 10 et 13 ans. Elles sont aujourd'hui traitées depuis pour de graves problèmes psychologiques. A leur libération, elle étaient sous-alimentées et parlaient un dialecte qu’elles avaient développé entre elles et ne supportaient pas la lumière.
«Visiblement, les services sociaux ont mal évalué la situation», a reconnu le ministre provincial des Affaires sociales.
(job)
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