En ces temps de grisaill politique tous les superlatifs ne manquent pas pour dénoncer la supercherie boulitique, naturellement le peuple se dédouane de toutes interférences malencontreuses ; pis , il commente ces grands mécanismes diplomatiques tel un fumeur de Haschich qui commente la fumée de son délire, car Abou Houdaifa et Abou X et Abou Y vont nous démonétiser, oui on ne l'est pas assez …
Bref ! Après réflexion et moult questionnements, il apparaît clairement que nous devenons un peuple moutonnier (oui, je lis déjà vos commentaires…)
Suivez-moi.
Et voilà que maintenant :
Nous admirons Tebboune, un héros, un brave, qui titille à même courage de Ben M’Hedi et l’intégrité de Da L’Hocine, mais nous avons oublié que M. Tebboune à une carrière politique plus vieille que la Casbah, oui oui , ce monsieur est devenu Monsieur Propre en paraphrasant une rhétorique de Ammi X ou d’un parkingueur lambda en Algérie ; lisez bien il dit « J’AIME MON PAYS... Je suis patriote, etc. »
Tebboune ce « Héros » au service d’une oligarchie haineuse, politiquement faible ,intellectuellement indigente ou les valeurs morales côtoient les instincts les plus vils de l’espèce animale.
Décidément nous sommes uniques, spéciaux nous autres les Algériens.
Nous détestons l’Amérique , mais nous admirons leur puissance
Nous détestons les occidentaux , mais nous admirons leur justice.
Nous crions haut et fort notre islamité, mais nous omettons d’être spirituels.
Nous étalons notre piteuse fierté sur nos voisins, mais nous passons nos vacances chez eux.
Nous insultons nos gouvernants pour leur immoralité, mais nous halalisons la tchipa (kahwa).
Nous bombons le torse (ce réflexe pavlovien à s’énerver pour des broutilles), mais nous admirons les pays nordiques... pour leur calme et leur sagesse.
Nous sommes Musulmans, mais pas L’islam.
Nous honnissons nos frères et sœurs africains, mais nous oublions que nos compatriotes se perdent dans les creux des vagues de la méditerranée.
Nous dénonçons et révélons l’insalubrité (la misère) des (nos) enfants africains, mais nous oublions que nos quartiers pestent la pourriture de nos déchets.
Nous critiquons le tiers monde, mais nous omettons que nous produisons que des paroles, des rhétoriques, en somme nous produisons le néant.
Nous nous nous…
Et pour paraphraser un grand penseur Algérien : "Nous présentons tous les critères de colonisabillté."
Fateh Kassa
20/08/2017
Bref ! Après réflexion et moult questionnements, il apparaît clairement que nous devenons un peuple moutonnier (oui, je lis déjà vos commentaires…)
Suivez-moi.
Et voilà que maintenant :
Nous admirons Tebboune, un héros, un brave, qui titille à même courage de Ben M’Hedi et l’intégrité de Da L’Hocine, mais nous avons oublié que M. Tebboune à une carrière politique plus vieille que la Casbah, oui oui , ce monsieur est devenu Monsieur Propre en paraphrasant une rhétorique de Ammi X ou d’un parkingueur lambda en Algérie ; lisez bien il dit « J’AIME MON PAYS... Je suis patriote, etc. »
Tebboune ce « Héros » au service d’une oligarchie haineuse, politiquement faible ,intellectuellement indigente ou les valeurs morales côtoient les instincts les plus vils de l’espèce animale.
Décidément nous sommes uniques, spéciaux nous autres les Algériens.
Nous détestons l’Amérique , mais nous admirons leur puissance
Nous détestons les occidentaux , mais nous admirons leur justice.
Nous crions haut et fort notre islamité, mais nous omettons d’être spirituels.
Nous étalons notre piteuse fierté sur nos voisins, mais nous passons nos vacances chez eux.
Nous insultons nos gouvernants pour leur immoralité, mais nous halalisons la tchipa (kahwa).
Nous bombons le torse (ce réflexe pavlovien à s’énerver pour des broutilles), mais nous admirons les pays nordiques... pour leur calme et leur sagesse.
Nous sommes Musulmans, mais pas L’islam.
Nous honnissons nos frères et sœurs africains, mais nous oublions que nos compatriotes se perdent dans les creux des vagues de la méditerranée.
Nous dénonçons et révélons l’insalubrité (la misère) des (nos) enfants africains, mais nous oublions que nos quartiers pestent la pourriture de nos déchets.
Nous critiquons le tiers monde, mais nous omettons que nous produisons que des paroles, des rhétoriques, en somme nous produisons le néant.
Nous nous nous…
Et pour paraphraser un grand penseur Algérien : "Nous présentons tous les critères de colonisabillté."
Fateh Kassa
20/08/2017
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