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Avec les Berbères du Haut Atlas marocain

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  • Avec les Berbères du Haut Atlas marocain

    Avec son travail sur les Amazighs du Maroc, exposé au festival de photo Visa pour l’image à Perpignan, Ferhat Bouda cherche à lutter contre l’oubli d’une minorité indépendante souvent opprimée, voire persécutée par les pays nord-africains.



    "Notre montre, c’est le soleil, le beau et le mauvais temps", dit cette jeune femme qui récolte du maïs pour ses animaux à Tinfgam, village situé à près de 2.000 mètres d'altitude dans le Haut Atlas marocain. (Ferhat Bouda / Agence Vu')



    Le village n'est accessible qu'après trois heures de marche sur un sentier escarpé. (Ferhat Bouda / Agence Vu')



    À Tinfgam, les maisons sont aménagées directement dans les grottes. Elles sont aussi parfois faites de pierre et de terre cuite.



    Retour du marché d'Alemdoun. Même si leurs conditions de vie sont difficiles, les Berbères luttent au quotidien pour préserver leur identité, leur culture, leur langue.



    Aucune infrastructure n’est mise en place pour assurer la santé ou l’éducation des villageois. Il n’y a ni dispensaire, ni école, ni électricité



    Oubliés des autorités mais attachés à leur indépendance, les Berbères vivent du travail des champs et de l’élevage des chèvres



    Pour cette jeune fille, c'est l'heure de la corvée d'eau



    Pendant la saison des moissons à Timetda, les femmes travaillent dans les champs, les hommes étant souvent partis cultiver d’autres terres



    Mohamed est semi-nomade. Grâce à sa connaissance profonde de l’environnement et son savoir-faire, sa famille vit de manière autosuffisante

    l'OBS
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