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Le Cluster Energie Solaire, un groupement de personnes morales vient d’être crée. Il est composé de douze entreprises (ALPV, AMIMER ENERGIE, AURES SOLAIRE, BERGAN ENERGY, CONDOR ELECTRONICS, ENIE, ER2, IRIS JC, INNOVA CONTRACTING, INNOVA SOLAR, MEKENERGIE, SUNGY) et de 3 entités dont deux de la Recherche & Développement (CDER, CRTSE) et une entité d’un département ministériel (DGMPE –MIM) du Ministère de l’Industrie et des Mines. Présidé par Boukhalfa YAICI, spécialiste du solaire, ce dernier, explique que « le rôle de ce Cluster s’articule autour des points suivants:
Création, renforcement et animation d’un réseau d’entreprises et d’acteurs nationaux exerçant dans la chaîne de valeur (les bureaux d’études, les développeurs, les fournisseurs de matières premières, les fabricants, les fournisseurs, les installateurs, les acteurs de la formation professionnelle, les acteurs de la recherche et des universités, etc.) qui souhaitent contribuer au développement de la filière énergies renouvelables ;
Suggérer et faire des propositions aux Pouvoirs Publics en vue de mettre en place des mécanismes opérationnels pour assurer un soutien et une protection nécessaires à tous les acteurs nationaux engagés dans des programmes nationaux des énergies renouvelables ; Renforcement des capacités et de développer des compétences industrielles dans les domaines des EnRs ; Promotion des activités de formation et de recherche dans le secteur des EnRs ; Facilitation pour l’émergence des compétences nationales et recherche des synergies entre ses membres ;
Sensibilisation et encouragement à l’utilisation des énergies renouvelables en général et du solaire PV en particulier ; Diffusion d’informations approfondies sur le solaire PV ; Mise en œuvre de règles de déontologie et de bonnes pratiques vis-à-vis de tout le corps de la société ; Contribution à la transition énergétique de notre pays ; Création d’un réseau national en innovation ouvert « open innovation » et enfin stimuler l’inter connexion aux clusters internationaux. Une bonne initiative qui devra permettre l’organisation des entreprises qui activent dans le secteur pour travailler de concert afin de booster cette filière prometteuse sur laquelle mise l’Algérie pour diversifier ses sources énergétiques et freiner la surconsommation de gaz et d’électricité.
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Ouverture d'une filière en énergies renouvelables à l'université de Ghardaïa
L'introduction de cette filière qui vient étoffer les programmes déjà dispensés, traduit la volonté de l'université d'assurer l'employabilité de ses étudiants diplômés et de former des étudiants aux métiers d'avenir, qui permettent de mieux répondre aux enjeux du marché de l'emploi, a indiqué, le Pr Belkheir Dada Moussa. L'obtention d'une licence en énergie renouvelable et environnement à l'université de Ghardaïa est dicté par l'existence d'une véritable plateforme de formation et de recherche dans la région à travers l'unité de recherche Appliquée en Energies Renouvelables (URAER) , et la mini-centrale solaire pilote à cycle combiné (électricité+solaire) véritable laboratoire naturel pour les études, les tests et recherches en matière d'énergie solaire", a-t-il expliqué.
le soir d'algerie
Création, renforcement et animation d’un réseau d’entreprises et d’acteurs nationaux exerçant dans la chaîne de valeur (les bureaux d’études, les développeurs, les fournisseurs de matières premières, les fabricants, les fournisseurs, les installateurs, les acteurs de la formation professionnelle, les acteurs de la recherche et des universités, etc.) qui souhaitent contribuer au développement de la filière énergies renouvelables ;
Suggérer et faire des propositions aux Pouvoirs Publics en vue de mettre en place des mécanismes opérationnels pour assurer un soutien et une protection nécessaires à tous les acteurs nationaux engagés dans des programmes nationaux des énergies renouvelables ; Renforcement des capacités et de développer des compétences industrielles dans les domaines des EnRs ; Promotion des activités de formation et de recherche dans le secteur des EnRs ; Facilitation pour l’émergence des compétences nationales et recherche des synergies entre ses membres ;
Sensibilisation et encouragement à l’utilisation des énergies renouvelables en général et du solaire PV en particulier ; Diffusion d’informations approfondies sur le solaire PV ; Mise en œuvre de règles de déontologie et de bonnes pratiques vis-à-vis de tout le corps de la société ; Contribution à la transition énergétique de notre pays ; Création d’un réseau national en innovation ouvert « open innovation » et enfin stimuler l’inter connexion aux clusters internationaux. Une bonne initiative qui devra permettre l’organisation des entreprises qui activent dans le secteur pour travailler de concert afin de booster cette filière prometteuse sur laquelle mise l’Algérie pour diversifier ses sources énergétiques et freiner la surconsommation de gaz et d’électricité.
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Ouverture d'une filière en énergies renouvelables à l'université de Ghardaïa
L'introduction de cette filière qui vient étoffer les programmes déjà dispensés, traduit la volonté de l'université d'assurer l'employabilité de ses étudiants diplômés et de former des étudiants aux métiers d'avenir, qui permettent de mieux répondre aux enjeux du marché de l'emploi, a indiqué, le Pr Belkheir Dada Moussa. L'obtention d'une licence en énergie renouvelable et environnement à l'université de Ghardaïa est dicté par l'existence d'une véritable plateforme de formation et de recherche dans la région à travers l'unité de recherche Appliquée en Energies Renouvelables (URAER) , et la mini-centrale solaire pilote à cycle combiné (électricité+solaire) véritable laboratoire naturel pour les études, les tests et recherches en matière d'énergie solaire", a-t-il expliqué.
le soir d'algerie
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