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Un Responsable de l'éducation national répond à propos de cette pseudo-affaire de BASMALAH montée de toutes pièce

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  • Un Responsable de l'éducation national répond à propos de cette pseudo-affaire de BASMALAH montée de toutes pièce

    Un inspecteur de l'éducation, ex-membre du ministère des affaires religieuses et responsable de l'édition du livre de l'éducation islamique répond à propos de cette pseudo affaire de Basmalah, montée de toute pièces.

    المسؤول علي تاليف كتاب التربية الاسلامية يصرح بتصريح مفاجئ عن قصة حذف البسملة

    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

  • #2
    responsable de l'édition du livre de l'éducation islamique répond à propos de cette pseudo affaire de Basmalah, montée de toute pièces.
    Une bonne mise au point qui devrait en faire réfléchir certains.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #3
      Ce qu'il propose n'est pas pratique parce que simplement la preparation des maquettes des livres ont été préparé dans l'opacité totale et dans un temps record. C'est la precipitation qui est deriere ces erreurs impardonnables.
      Comme je l'ai ecrit dans l'autre sujet, la ministre incompetente ne sait pas probablement ce qui ce passe dans son secteur et tous ces histoires en relation avec les constantes nationales sont à cause du bricole qui vient de leur panique. Ils savent qu'ils vont etre chassés bientot.

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      • #4
        Comme je l'ai ecrit dans l'autre sujet, la ministre incompetente ne sait pas probablement ce qui ce passe dans son secteur et tous ces histoires en relation avec les constantes nationales sont à cause du bricole qui vient de leur panique. Ils savent qu'ils vont etre chassés bientot.
        En dehors de la courte période ou Mostepha Lachref , l'Algérie n'a ps eu de responsables dans ce secteur de l'éducation, d'aussi compétant(e) que la ministre actuelle! ...

        Il est certain que les orientations courageuses qu'elles s'est atteler à engager porterons des fruits d'ici quelques années, dommage que les partisans du sinistre de l'école algérienne ne cessent de lui mettre les bâtons dans les roues ...

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        • #5
          Jamais ministre de l'éducation en Algérie, n'a eu la compétence de cette dame ni ses qualifications.

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          • #6
            Pour énième fois, quelles sont ses competences?
            Qualification?
            Rana goulna elle n' pas le bac.

            Normalement le poste de ministre est un poste politique la ou ont trace les traits larges du programes du gouvernement.

            Avec cette femme tout est louche et se fait dans l'opacité.

            En pratique, virer un ministre et laisser son poste vide ne va rien changer et tout marchera le plus normal dans ce ce pays.

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            • #7
              pour la dernière fois

              Elle obtient en 1973 une licence en sociologie, puis en 1977, soutient son diplôme d'études approfondies (DEA) en sociologie de l'éducation à l'université d'Oran
              En 1982, elle obtient son doctorat, à l'université Paris V .

              Elle enseignait à l'Université d'Oran, elle est nommée en 1976 chef du département de Sociologie à la même université.
              Chercheuse à l' URASC.

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              • #8
                Tu perds ton temps Bachi.

                Tu connais l'histoire du maître qui a voulu enlever les puces à son chien?
                La récompense était une morsure pour chaque puce enlevée. Est-ce que cela vaut vraiment la peine?

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                • #9
                  Pour énième fois, quelles sont ses competences?
                  Qualification?
                  Exiger de la DAME BENGHEBRIT d'étaler ses compétences, une foi celles de la composante de tout le gouvernement soit faite, à commencer par celles du président ...

                  Mais bien sure,il n'y a que la ministre qui dérange, parce quelle veux justement que l’Algérien(ne) de demain acquière ces connaissances ...alors qu’apparemment certains se complaisent dans la médiocrité ! ...

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                  • #10
                    C'est la premiere fois que je lis cette information.
                    Disons que c'est vrai malgré que c'est une information sans sources fiables.

                    Comment sias-tu qu'elle est compétente ? Est-ce que tu as bossé avec elle?

                    Pour etre équitable il faut évaluer ses resultats. Et tant que tu repetes a chaque reprise que c'est tres difficile de le faire dans ce secteur, alors ton jugement est subjectif. D'ailleur toi meme, Bachi, tu as confirmé que tu "lui fais confiance pour des raisons subjectifs"

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                    • #11
                      oui, bien sûr que je l'évalue avec toute ma subjectivité. C'est évident.
                      Mais y a des faits. Venir me dire qu'elle n'a pas de bac, quand je sais qu'elle a un doctorat. Elle a fait son lycée non loin du mien et à peu près aux mêmes années.

                      Je l'évalue avec mes principes et valeurs.
                      Une femme de principe, de rigueur, d'ouverture au monde et moderne.

                      L'Algérie n'a jamais eu de ministre d'éducation qui arrive aux chevilles de cette dame d'acier.

                      Y a qu'elle et Benaisssa dans le gvt qui ont de la classe, de la culture et de l'intelligence.

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                      • #12
                        Si tu l'as connu alors je te crois sur parole.

                        Sauf que ton jugement sur son competence n'est pas equilibré et basé uniquement sur tes preferences idéologiques.
                        D'aileur 3mit'ha avec benaissa. Je t'ai lu une fois l'avoir sévèrement critiqué pour sa chitta exceptionelle a bouteflika. Lui aussi n'a rien fait de concret.

                        Si quelqu'un peut nous citer les competences de cette makhlouqa, je suis preneur.

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                        • #13
                          Ali Ben Mohamed, a étudié au lycée français musulman de Constantine, Licence en littérature et langue arabe à l'université de Damas en Syrie, Doctorat et Doctorat d'état en littérature arabe andalouse à l'Université d'Alger.
                          1966-1970 Professeur au secondaire.
                          1970-1977 Directeur au ministère de l'éducation.
                          1977-1980 Secrétaire général FLN
                          1980-1990 Professeur à l'universite,
                          1990 ministre de l'éducation, démission immédiate après les fuites des sujets du Baccalauréat (coup monté )
                          1990-1994 ambassadeur en Égypte (il fallait l'envoyer loin loin loin, la francophonie des gininars c'est sacrée)

                          Il a de tout temps lutté contre le courant francophile occidentalisé ayant toujours œuvré pour la généralisation du français en Algérie.

                          En 2014 l’ancien ministre a été victime d'une censure quand on lui refusa une salle de conférence d'un lycée à Mascara, il accusa la nouvelle ministre et la qualifie de « paranoïaque » et de « folle » ! Ali Ben Mohamed a estimé qu’un directeur de l’éducation ne peut prendre une telle décision de censure, à savoir annuler un événement programmé depuis plusieurs mois, si l’ordre ne lui a pas été signifié d’en haut.

                          Il y a eu Boudiaf éliminé par balles, Tebboune qui voulait séparer la politique de la chkara et le ministre Ben Mohamed par coup fourré.

                          Les baathistes français veillent au grain.
                          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                          • #14
                            L'article au complet, dans Algérie-Focus, permet de comprendre tout le contexte. On comprend que ce monsieur est l'un des responsables du sinistre de l'école algérienne, la madame essaie d'y remettre de l'ordre, c'est normal qu'il lui cherche des noises.

                            L’ancien ministre de l’éducation, Ali Ben Mohamed, mène une véritable «guerre» contre Nouria Benghebrit. Le quotidien arabophone «El Bilad» a rendu public mardi une lettre de cet ancien ministre à propos de la conférence qu’il devait animer dans un lycée à Mascara, le 17 mai dernier, et qui a finalement été annulée par la direction de l’éducation wilayale.

                            Dans cette lettre, Ali Ben Mohamed, ancien ministre de l’Education, s’en est pris violemment à Nouria Benghebrit Remaoun, fraîchement nommée à ce poste. Pour l’ancien ministre, la censure dont il a été victime ne peut venir que de la nouvelle ministre qui la qualifie de « paranoïaque » et de « folle » ! Ali Ben Mohamed justifie ses attaques en estimant qu’un directeur de l’éducation ne peut prendre une telle décision de censure, à savoir annuler un événement programmé depuis plusieurs mois, si l’ordre ne lui a pas été signifié d’en haut.

                            L’ancien Ministre était, rappelons-le, dans le gouvernement de Sid Ahmed Ghouzali, au début des années 1990 et qui a démissionné en 1992 suite à un énorme scandale relatif à la fuite des sujets de baccalauréat.

                            Il est utile de savoir que ce n’est pas la première fois que celui-ci s’en prend à Nouria Benghebrit. Lundi, dans les colonnes d’un autre quotidien arabophone, Ali Ben Mohamed s’est dit «outré» par le fait qu’ «une personne ne maîtrisant pas la langue arabe soit nommée ministre de l’éducation en Algérie». « Personne n’a pu comprendre ce qu’elle a déclaré lors de la cérémonie de passation de consignes », a-t-il accusé encore lorsqu’il est intervenu sur la chaîne de télévision privée Echorouk TV. Soulignons enfin que cet ancien ministre n’est pas le seul à s’en prendre à la nouvelle Ministre de l’Éducation. Plusieurs autres personnalités ont commencé aussi à tirer à boulets rouges sur Nouria Benghebrit Remaoun. Ces détracteurs se comptent principalement parmi les islamistes et les défenseurs de la prédominance de la langue arabe. Benghebrit est présentée comme une ministre qui veut «franciser» l’école algérienne.
                            Dernière modification par UnAlgerien, 19 septembre 2017, 01h06.

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                            • #15
                              je ne crois plus du tout a ce qu'il raconte ce barbu islamisé dans la video
                              ce ne sont pas des gens digne de confiance ils peuvent mentir et rabacher n'importe quoi pourvu que le message d'etat passe et qu'il soit mâcher par une bonne tranche de téléspectateurs

                              reprenant l'essentiel de l'affaire,il ne s'agit pas d'une protestation contre l'acte de supprimé une formule qui ne fait ni nourrir ni abreuver de soif mais ce sont les intentions et surtout les acteurs francophilies qui ce cachent derrière les maximes qui nous intriguent,il ne faut surtout pas leurs laissé le champs libre pour qu'ils jonglent de nos institutions selon les commandement des
                              Champs-Élysées sinon il faut s'attendre qu'un jour ils vont faire entendre la marseillaise au écoliers avant d'entrer a leurs classe a la place de l’hymne national algérien.
                              L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
                              Albert Einstein

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