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WASHINGTON, 20 septembre (Xinhua) -- Le président américain Donald Trump et l'émir du Qatar, Tamim ben Hamad al-Thani, ont discuté mardi de l'importance de résoudre le conflit diplomatique opposant l'émirat à plusieurs de ses voisins arabes et de rétablir l'unité dans la région du Golfe, a annoncé la Maison Blanche.
Lors de cet entretien à New York en marge du débat annuel de l'Assemblée générale des Nations Unies, M. Trump a dit avoir "le très fort sentiment" que ce conflit "va se résoudre très rapidement", alors que cheikh Tamim a estimé pour sa part que la médiation américaine "aidera beaucoup".
Le président américain a aussi salué l'engagement du Qatar envers le protocole d'accord américano-qatari sur la coopération antiterroriste, tout en soulignant que des efforts supplémentaires devaient être faits en matière de blocage des flux de financement des terroristes.
Le 5 juin, l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, Bahreïn et l'Egypte ont coupé leurs relations diplomatiques avec le Qatar et lui ont imposé un blocus, accusant notamment ce petit pays riche en gaz naturel de soutenir le terrorisme et d'être trop proche de l'Iran, bête noire de l'Arabie saoudite. Des accusations rejetées par Doha.
Malgré une série d'initiatives diplomatiques entreprises par les Etats-Unis, l'Union européenne et le Koweït, la situation reste toujours dans l'impasse.
Lors de cet entretien à New York en marge du débat annuel de l'Assemblée générale des Nations Unies, M. Trump a dit avoir "le très fort sentiment" que ce conflit "va se résoudre très rapidement", alors que cheikh Tamim a estimé pour sa part que la médiation américaine "aidera beaucoup".
Le président américain a aussi salué l'engagement du Qatar envers le protocole d'accord américano-qatari sur la coopération antiterroriste, tout en soulignant que des efforts supplémentaires devaient être faits en matière de blocage des flux de financement des terroristes.
Le 5 juin, l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, Bahreïn et l'Egypte ont coupé leurs relations diplomatiques avec le Qatar et lui ont imposé un blocus, accusant notamment ce petit pays riche en gaz naturel de soutenir le terrorisme et d'être trop proche de l'Iran, bête noire de l'Arabie saoudite. Des accusations rejetées par Doha.
Malgré une série d'initiatives diplomatiques entreprises par les Etats-Unis, l'Union européenne et le Koweït, la situation reste toujours dans l'impasse.