Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Espagne : manifestation après l'arrestation de 13 membres de l'exécutif de Catalogne

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Espagne : manifestation après l'arrestation de 13 membres de l'exécutif de Catalogne

    Espagne : manifestation après l'arrestation de 13 membres de l'exécutif de Catalogne

    Les treize interpellations interviennent à l'approche du référendum d'indépendance de la Catalogne, jugé illégal par le gouvernement de Madrid.

    La garde civile espagnole a confirmé mercredi avoir arrêté treize hauts responsables de l'exécutif séparatiste de la région de Catalogne et procédé à 22 perquisitions. Le gouvernement catalan avait auparavant confirmé l'arrestation du bras droit du vice-président catalan Oriol Junqueras, le secrétaire général de la vice-présidence Josep Maria Jove. Un porte-parole de l'exécutif catalan a précisé que les arrestations avaient un lien avec «les sites internet du référendum.»

    Dans la soirée de mercredi, le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy s'est adressé aux dirigeants indépendantistes de Catalogne. Renoncez une fois pour toute à cette escalade de radicalisme et de désobéissance», a-t-il lancé lors d'une intervention télévisée. «Il est encore temps d'éviter de plus grands maux», a-t-il averti.

    Des opérations de police se multiplient actuellement pour empêcher l'organisation le 1er octobre d'un référendum d'autodétermination interdit par la justice avec la saisie du matériel électoral. La garde civile a saisi, ce mercredi, plusieurs millions de bulletins de vote qui devaient être utilisés pour le référendum. Cette saisie a été effectuée dans la localité de Bigues, à 45 km au nord de Barcelone.

    Les motifs des arrestations de mercredi n'ont cependant pas été annoncés par la garde civile ni le ministère de l'Intérieur. On ignorait mercredi matin si elles intervenaient uniquement pendant les perquisitions ou seraient suivies de placements en garde à vue pour interrogatoire.


    L'annonce des arrestations a immédiatement entraîné une manifestation de plusieurs centaines, puis plusieurs milliers d'indépendantistes, devant le siège du département d'Economie de l'exécutif catalan à Barcelone, premier bâtiment visé par les perquisitions. Même le club de football du Barça a condamné l'action de la police et a apporté son soutien aux institutions de la Catalogne.

    «Résistons pacifiquement. Sortons pour défendre nos institutions de manière non violente», a tweeté Jordi Sanchez, président d'un des principaux mouvements indépendantistes issus de la société civile, l'Assemblée nationale catalane (ANC). «Ils ont commis une grande erreur. Nous voulions voter et ils ont déclaré la guerre», a-t-il aussi écrit.

    Mais pour Carles Puigdemont, le président catalan, le gouvernement espagnol «a suspendu de facto l'autonomie de la Catalogne et appliqué de facto un état d'urgence» en accusant le gouvernement de Mariano Rajoy d'être «totalitaire» et de «violer les droits fondamentaux.»

    Selon des témoins sur place, les premiers affrontements entre des nationalistes catalans et la police ont éclaté sur les Ramblas.

    Mariano Rajoy veut un retour à la normalité

    De son côté, Mariano Rajoy, le chef du gouvernement espagnol, a demandé «que l'on revienne à la normalité.» Il avait auparavant défendu devant les députés les mesures prises par son gouvernement et les agissements de la justice «pour faire respecter la loi» en Catalogne.

    La Cour constitutionnelle avait prévenu directement, par le biais de courriers adressés personnellement, les dirigeants et les fonctionnaires catalans qu'ils ne pouvaient pas coopérer à l'organisation du «scrutin illégal» du 1er octobre. Après avoir adopté le 6 septembre une loi organisant le référendum, en annonçant qu'aucune autre norme ne pouvait entrer en conflit avec elle, les indépendantistes ont ignoré l'avertissement et continué à organiser la consultation.

    leparisien.fr
    Droite des Valeurs
    Gauche du Travail
    Centre "Intérêt de Mon Pays"

  • #2
    L'Espagne montre combien elle n'est pas encore tout à fait sortie du francisme.
    Je trouve que l'Europe s'est montrée elle aussi bien pleutre.

    Commentaire


    • #3
      Droite des Valeurs
      Gauche du Travail
      Centre "Intérêt de Mon Pays"

      Commentaire


      • #4
        Droite des Valeurs
        Gauche du Travail
        Centre "Intérêt de Mon Pays"

        Commentaire


        • #5




          Droite des Valeurs
          Gauche du Travail
          Centre "Intérêt de Mon Pays"

          Commentaire


          • #6
            L'etat de droit est protégé par la constitution espagnole et la Cour constitutionnelle dont les le gouvernement catalans est soumis a respecter.
            Nou savons tous que le franquisme a disparue depuis longtemps.

            Le Premier ministre Carles Puigdemont ment:

            1- «Le gouvernement de la Generalitat (la province) a été aujourd'hui la cible d'une agression coordonnée par les forces de police du ministère de l'Intérieur. FAUX

            2- Le but de l'opération était de «suspendre les activités du gouvernement (catalan)», un gouvernement qui détient une «légitimité démocratique».FAUX

            3. "Cette agression manque de soutien juridique", "viole la règle de droit" et la Charte européenne des droits, et est "une suspension de facto de l'autonomie gouvernementale et une application de fait d'un état d'exception".FAUX

            4. Des actes variés, y compris des raids aveugles, même dans des maisons privées, et d'autres mesures telles que «la fermeture et le blocage de sites Web» représentent «une agression contre la démocratie».FAUX

            5. "Nous condamnons et rejetons l'attitude totalitaire et anti démocratique de l'Etat espagnol" et après ses actions "nous considérons que le gouvernement (central) a franchi la ligne rouge en le séparant des régimes autoritaires et répressifs" et que "il ne fonctionne pas respecter les principaux éléments de la démocratie ".FAUX

            6. «Nous, les citoyens, avons été appelés aux urnes le 1er octobre pour défendre la démocratie face à un régime répressif et intimidant».FAUX

            7. "Nous défendons le droit des Catalans de décider librement de leur avenir" L'hypothèse selon laquelle les Catalans ne peuvent actuellement pas décider leur avenir dans les élections libres est fausse:FAUX

            8- «Ce qui se passe en Catalogne ne se produit nulle part ailleurs dans l'Union européenne» vraie. Malheureusement, dans l'Union européenne, nous avons des leaders nationalistes en Hongrie et en Pologne qui veulent mettre un terme à la séparation des pouvoirs et révoquer les systèmes de lois et de libertés actuellement en vigueur. Heureusement, comme c'est le cas avec la Catalogne, ce type de comportement n'a pas sa place dans l'EUfalse:


            Enfin un grand homme de la littérature Vargas Llosa le prix Nobel, dit que le référendum est «un anachronisme qui n'a rien à voir avec la réalité de notre temps et qui n'est pas pour la construction des nationalités, mais au contraire pour la disparition des nationalités au sein de grandes organisations communes comme l'Europe , "Qu'il considère" l'une des grandes créations démocratiques ".

            Source El pais The lies of the Catalan regional premier
            In a democracy, leaders cannot tell untruths with impunity
            Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

            Commentaire


            • #7
              el Hour

              disparition des nationalités au sein de grandes organisations communes comme l'Europe , "Qu'il considère" l'une des grandes créations démocratiques

              la plus grande escroquerie du siècle ...

              démocratie de façade lifté par les médias mensonge au service de ceux qui sont derrière cette construction .
              Droite des Valeurs
              Gauche du Travail
              Centre "Intérêt de Mon Pays"

              Commentaire


              • #8
                Même si la Catalogne et le rif sont très différents ,autant que le Maroc et l'Espagne.....il y a de très étranges similitudes entre les deux " problèmes"

                Commentaire


                • #9
                  @Hand
                  [QUOTE]disparition des nationalités au sein de grandes organisations communes comme l'Europe , "Qu'il considère" l'une des grandes créations démocratiques

                  la plus grande escroquerie du siècle ...

                  démocratie de façade lifté par les médias mensonge au service de ceux qui sont derrière cette construction ./QUOTE]

                  Effectivement l'union Européenne est une pure création des mondialistes. L'Allemagne est le pays qui dirige le reste suivent au pas.
                  Je vous conseille la vidéo suivante:Nouvel Ordre Mondial Et Leur Géostratégie Par Dr Pierre Hillard.
                  Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

                  Commentaire


                  • #10
                    Envoyé par TIZ
                    Même si la Catalogne et le rif sont très différents ,autant que le Maroc et l'Espagne.....il y a de très étranges similitudes entre les deux " problèmes"
                    Du 16e siècle au 18e siècle, l’Espagne vit sous le règne des souverains issus de la Maison d’Autriche, Charles Quint et ses successeurs. Dans cette monarchie devenue indépendante de l’Autriche, la Catalogne constitue un État autonome et conserve ses institutions traditionnelles. Du fait de la prépondérance de la Castille, elle reste à l’écart des affaires du pays, notamment des échanges avec le Nouveau Monde – l’Amérique -, dont l’essentiel passe par Séville.

                    Cela n’empêche pas ses activités économiques de prendre un nouveau départ, sa population de s’accroître, si bien que les souverains font appel à elle pour participer au financement de leur politique impériale et lui donne obligation d’héberger les soldats en lutte contre la France pendant la Guerre de Trente Ans: En 1640, les Catalans finissent par se soulever et mènent leur guerre de sécession – La Guerra dels Segadors -.pendant laquelle ils sont appuyés par la France. Ils se proclament République Indépendante sous protectorat français et la monarchie espagnole reconnaît alors la Constitution catalane. Cependant, en 1659, la Paix des Pyrénées et le tracé de la frontière dans les Pyrénées Orientales qui en est issu enlèvent le Roussillon et la Cerdagne à la Catalogne. Au cours de cette période troublée, la région subit une dépression économique, de nouvelles épidémies de peste et des inondations.

                    Avec Philippe V – 1700-1746 -, petit-fils de Louis XIV et vainqueur de la Guerre de Succession , les Bourbons accèdent au trône d’Espagne qu’ils revendiquaient par le biais des alliances matrimoniales. Ce roi abolit tous les privilèges de la Catalogne qui doit alors se résoudre à n’être qu’une province espagnole mais vit un renouveau économique, notamment au cours de la deuxième moitié du XVIIIème siècle ainsi qu’en témoignent l’essor démographique et la création d’une fabrique de papier et d’une manufacture textile à Girona.

                    Tous les privilèges de la Catalogne sont alors abolis par les Bourbons. Au début du XIXème siècle, l’essor entamé quelques décennies plutôt contraste fortement avec les structures économiques et sociales du reste de la Péninsule. Il provoque une prise de conscience des Catalans et la naissance du mouvement qui revendique pour la Catalogne un rôle dans la direction de la politique au plan national.

                    Cette revendication est renforcée par l’invasion et l’occupation des armées napoléoniennes – en 1809, le siège de Girona dure 7 longs mois au bout desquels la ville doit capituler, vaincue par la famine, le manque de munitions et la maladie. La Catalogne, transformée en département français en 1812, défend le principe du fédéralisme.

                    En 1814, l’Espagne recouvre son indépendance et Ferdinand VII règne en monarque absolu. La province se modernise au rythme de la Révolution industrielle, notamment dans la deuxième moitié du siècle, comme le reste de l’Europe du Nord-Ouest. La bourgeoisie urbaine s’oppose alors à la société paysanne traditionnelle et surtout, il naît un mouvement ouvrier qui, pendant longtemps dans une Espagne déchirée par les conflits de succession au trône, se limitera au pays catalan.

                    Dès le début du XXème siècle, La Lliga Regionalista entend arriver à l’autodétermination de la Catalogne. La région est agitée du fait du mouvement catalaniste et de celui du mécontentement des masses populaires urbaines qui veulent améliorer leurs conditions de vie particulièrement misérables à l’époque. En 1931, un nouveau Parti, La Esquerra Republicana de Catalunya, remporte les élections municipales.

                    La République est proclamée à Barcelone, de même que dans les grandes villes d’Espagne, du fait que les Républicains alliés aux socialistes ont gagné ces élections. Le roi Alphonse XIII quitte le pays. Un gouvernement régional autonome, La Generalitat de Catalunya, est constitué. Il est chargé d’élaborer un statut d’autonomie qui devra être approuvé par le peuple catalan puis par les Certes, le Parlement siégeant à Madrid. Le statut est adopté en 1932. En février 1936, Le Front Populaire, El Frente Popular, gagne les élections législatives. Le “Soulèvement National” décide de mettre fin aux tentatives “révolutionnaires”, la Guerre Civile débute le 18 juillet 1936 et ne s’achèvera que le 29 mars 1939….

                    Entre février et juin 1936, on recense 161 incendies d’églises, 213 attentats, 113 grèves partielles, etc… L’économie est paralysée, les assassinats politiques se multiplient. Désormais, on est pour ou contre la République avec une égale passion, les deux camps s’opposant de manière irrémédiable, les monarchistes cristallisant tous les courants antirépublicains. Le gouvernement observe l’armée avec inquiétude et cela, ajuste titre, car l’assassinat du député monarchiste José Calvo Sotelo est le prétexte pour déclencher le coup d’état militaire, préparé depuis des mois, et la guerre civile.

                    Le 17 juillet 1936, le généralissime Francisco Franco y Bahamonde, lance un appel : “L’armée a décidé de rétablir l’ordre en Espagne (…)” Il prend la tête du Movimiento avec le titre de Caudillo par analogie au Duce italien. Il dispose d’un avantage militaire considérable face à l’armée républicaine essentiellement composée de guérilleros sommairement armés et formés en toute hâte. A la fin de 1937, le gouvernement espagnol s’installe à Barcelone.

                    Après la Bataille de l’Ebre qui dura 4 mois, la route de la Catalogne est ouverte aux franquistes qui entrent à Barcelone le 26 janvier 1939. Lluis Companys, Président de la Generalitat de Catalunya, des troupes républicaines et des réfugiés traversent les Pyrénées. Le 1er avril 1939, toute l’Espagne est aux mains de Franco.”Un millon de muertos”, titre d’un roman de José Maria Gironella, symbolise l’horreur de la guerre civile espagnole. Il s’établit el Estado nuevo, l’Etat nouveau, dans lequel n’importe quelle forme d’opposition est interdite.

                    Tout ce qui pourrait s’apparenter aux républiques libérales que Franco qualifie de “Démocraties pétrifiées” est rejette. L’Armée est la grande favorite du régime. Commencent alors los anos del hambre, les années de faim, qui dureront jusqu’à la fin des années cinquante. Pendant cette période, l’autonomie catalane disparaît d’une façon brutale. La Catalogne n’est qu’une province semblable aux autres. Il est même interdit de parler en catalan… Vers la fin des années cinquante, des intellectuels et artistes catalans commencent à réactiver le mouvement catalaniste. Peu à peu, l’interdiction de la langue catalane se relâche.

                    Finalement, le mouvement de protestation catalan devient le fondement de la critique du régime franquiste bien qu’il n’ait pas engendré d’organisations secrètes, se contentant d’une forme de protestation souple et quotidienne : on remplit les formulaires officiels en catalan, on siffle des chansons catalanes en présence des députés madrilènes… Face au succès du mouvement musical “Nova Cançó”, le régime réagit en interdisant les concerts ou en censurant les textes. Ceci favorise la vente sous le manteau des disques de Maria del Mar, Pi de la Serra et Lluis Llach.

                    En 1968, ce dernier compare le régime à un poteau pourri dans la chanson “L’estaca” dont le refrain est : “II tombera, tombera, tombera…” Cette chanson devient l’hymne de la résistance à Madrid. Le mécontentement de l’opposition et de la jeunesse étudiante affecte vite d’autres cercles, le ferment en étant la répression du catalanisme. Certains milieux économistes considèrent même que Madrid est incapable de gérer les intérêts nationaux.

                    Franco meurt le 20 novembre 1975. La voie de la démocratisation est alors ouverte par le Prince Juan Carlos de Bourbon qui devient roi d’Espagne. En peu de temps, il écarte les franquistes conservateurs de la scène politique et transforme le pays en démocratie moderne. En 1979, la Catalogne et le Pays basque recouvrent leur statut d’autonomie. Le Catalan devient langue officielle dans les Mairies et écoles et la Generalitat se charge des intérêts des citoyens.

                    Ainsi, l’Histoire de la Catalogne est marquée par la lutte contre le pouvoir centralisateur de Madrid, surtout depuis le XVlIème siècle. La volonté autonomiste des Catalans a été soutenue par leur essor économique et leur avance par rapport au reste de la Péninsule et vivement encouragée par la répression de la période franquiste, ce qui peut expliquer la violence du ton de certains slogans qui revendiquent tout simplement l’indépendance de la Catalogne.

                    Commentaire


                    • #11
                      C est quoi la position du régime algérien, n est il pas le pays qui ne dort pas tant qu un peuple ne peut s autodeterminer. VOILÀ un peuple qui clame fort son droit à l organisation d un referundum d autodetermination

                      Commentaire


                      • #12
                        Envoyé par upup
                        C est quoi la position du régime algérien, n est il pas le pays qui ne dort pas tant qu un peuple ne peut s autodeterminer. VOILÀ un peuple qui clame fort son droit à l organisation d un referundum d autodetermination
                        La position de l'Algerie s'aligne sur l'ONU

                        La catalogne affaire interne qui ne concerne que l'Espagne et la souveraineté de l'Espagne sur la catalogne est reconnu par l'ONU

                        Le Sahara occidental est une affaire de décolonisation qui relève de l'application de la résolution 1514 (XV) de l'assemblée générale des nations unis
                        Dernière modification par MEC213, 23 septembre 2017, 00h15.

                        Commentaire


                        • #13
                          La catalogne affaire interne qui ne concerne que l'Espagne et la souveraineté de l'Espagne sur la catalogne est reconnu par l'ONU
                          tu lui clouer le bec a ce makhzani
                          Dernière modification par magh91, 23 septembre 2017, 01h36.

                          Commentaire


                          • #14
                            La souveraineté de Khartoum sur le sud Soudan était reconnu par l'onu.
                            La souveraineté de l'Indonésie sur ache était reconnu par l'onu....et..

                            Comme on dit :"il y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis".

                            Commentaire

                            Chargement...
                            X