L'armée syrienne a gagné beaucoup de batailles et a récupérer 85% du territoire syrien mais la vigilance et le control des infiltrations des rats doit-être neutralisés sans merci. Quand tout sera rentré dans l'ordre alors la le Qatar et l'Arabie saoudite rendra des comptes et ca sera pas agréable pour eux.
Alors que les forces gouvernementales syriennes continuent leur percée dans la région de l’Euphrate, l’expert militaire Viktor Baranets affirme au micro de Sputnik que des objectifs importants devront encore être atteints par l’armée syrienne, tandis que les terroristes de Daech fuient dans les pays voisins qui les accueillent «à bras ouverts».
Même si Daech a déjà été évincé de la majeure partie du territoire syrien, le combat n'est pas encore gagné une fois pour toutes, explique à Sputnik l'expert militaire et colonel en retraite Viktor Baranets.
«Les 15% restants [du territoire syrien, ndlr] peuvent s'avérer être incroyablement difficiles. Oui, les djihadistes quittent Deir ez-Zor, une partie se dirige vers Raqqa où ils s'apprêtent à donner leur dernier combat. C'est leur dernier bastion, sur lequel ils plaçaient de grands espoirs mais apparemment, à Washington et à Londres, cette position a été revue et on leur a ordonné de "foutre le camp". Quelques groupes de terroristes ont déjà traversé la frontière avec la Jordanie où ils se sont installés. Il semblerait que le Qatar et l'Arabie saoudite les accueille également "à bras ouverts". On peut tirer la conclusion stratégique qu'une partie des troupes terroristes se disperse dans les pays voisins mais ils ne resteront pas là-bas les bras croisés, ils vont préparer la contre-attaque», a-t-il déclaré.
Tout ceci laisse penser que de grandes batailles attendent encore les militaires syriens.
«Pendant que l'armée syrienne évince Daech, des espaces gigantesques s'étalent derrière eux, restant pratiquement sans aucun contrôle ce qui donne aux djihadistes une chance d'y pénétrer. C'est pourquoi se pose la question du renforcement de la surveillance policière ainsi que celle de la nécessité du contrôler les territoires libérés. En outre, même si l'est et le nord-est de la Syrie n'est pas un territoire de grandes batailles comme Deir ez-Zor, l'armée syrienne et nos aviateurs et marins auront encore du pain sur la planche là-bas», a-t-il conclu.
Au cours des dernières semaines, les troupes gouvernementales syriennes, appuyées par l'aviation russe, ont considérablement progressé face à Daech, qui a perdu des positions. Ainsi, jeudi, le ministère russe de la Défense a annoncé que l'armée syrienne avait repris 85% du territoire de Deir ez-Zor et que la ville serait complètement libérée la semaine prochaine.
Encore plus tôt, le 5 septembre, les forces syriennes ont brisé le siège de Deir ez-Zor et sont entrées dans sa partie nord. Le blocus de la base aérienne de Deir ez-Zor a été brisé quatre jours plus tard par des unités syriennes placées sous le commandement des généraux Issam Zahreddine et Souheil al-Hassan.
Grâce au soutien de l'aviation et de l'artillerie, l'armée est parvenue à reprendre plusieurs hauteurs, mettre hors d'usage des équipements des terroristes de Daech et détruire certaines de leurs positions fortifiées.
Source: Sputnik
Alors que les forces gouvernementales syriennes continuent leur percée dans la région de l’Euphrate, l’expert militaire Viktor Baranets affirme au micro de Sputnik que des objectifs importants devront encore être atteints par l’armée syrienne, tandis que les terroristes de Daech fuient dans les pays voisins qui les accueillent «à bras ouverts».
Même si Daech a déjà été évincé de la majeure partie du territoire syrien, le combat n'est pas encore gagné une fois pour toutes, explique à Sputnik l'expert militaire et colonel en retraite Viktor Baranets.
«Les 15% restants [du territoire syrien, ndlr] peuvent s'avérer être incroyablement difficiles. Oui, les djihadistes quittent Deir ez-Zor, une partie se dirige vers Raqqa où ils s'apprêtent à donner leur dernier combat. C'est leur dernier bastion, sur lequel ils plaçaient de grands espoirs mais apparemment, à Washington et à Londres, cette position a été revue et on leur a ordonné de "foutre le camp". Quelques groupes de terroristes ont déjà traversé la frontière avec la Jordanie où ils se sont installés. Il semblerait que le Qatar et l'Arabie saoudite les accueille également "à bras ouverts". On peut tirer la conclusion stratégique qu'une partie des troupes terroristes se disperse dans les pays voisins mais ils ne resteront pas là-bas les bras croisés, ils vont préparer la contre-attaque», a-t-il déclaré.
Tout ceci laisse penser que de grandes batailles attendent encore les militaires syriens.
«Pendant que l'armée syrienne évince Daech, des espaces gigantesques s'étalent derrière eux, restant pratiquement sans aucun contrôle ce qui donne aux djihadistes une chance d'y pénétrer. C'est pourquoi se pose la question du renforcement de la surveillance policière ainsi que celle de la nécessité du contrôler les territoires libérés. En outre, même si l'est et le nord-est de la Syrie n'est pas un territoire de grandes batailles comme Deir ez-Zor, l'armée syrienne et nos aviateurs et marins auront encore du pain sur la planche là-bas», a-t-il conclu.
Au cours des dernières semaines, les troupes gouvernementales syriennes, appuyées par l'aviation russe, ont considérablement progressé face à Daech, qui a perdu des positions. Ainsi, jeudi, le ministère russe de la Défense a annoncé que l'armée syrienne avait repris 85% du territoire de Deir ez-Zor et que la ville serait complètement libérée la semaine prochaine.
Encore plus tôt, le 5 septembre, les forces syriennes ont brisé le siège de Deir ez-Zor et sont entrées dans sa partie nord. Le blocus de la base aérienne de Deir ez-Zor a été brisé quatre jours plus tard par des unités syriennes placées sous le commandement des généraux Issam Zahreddine et Souheil al-Hassan.
Grâce au soutien de l'aviation et de l'artillerie, l'armée est parvenue à reprendre plusieurs hauteurs, mettre hors d'usage des équipements des terroristes de Daech et détruire certaines de leurs positions fortifiées.
Source: Sputnik
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