La diplomatie algérienne est à l'œuvre à New York. La session annuelle des Nations-Unies offre à la délégation conduite par Messahel l'opportunité d'avoir d'importants échanges durant lesquels sont abordées des questions d'actualité brûlantes.
Abla Cherif - Alger (Le Soir) - New York a été ainsi l'occasion pour l'Algérie de prendre part à une réunion de tout importance sur la crise libyenne. Y ont pris part le chef de la diplomatie algérienne et ses homologues tunisien et égyptien lesquels ont passé en revue les derniers développements survenus dans ce pays «à la lumière de la réunion de haut niveau sur la Libye tenue mercredi à l'ONU», indiquent les agences de presse. Les trois pays se sont engagés à continuer à œuvrer pour la paix dans ce pays.
De son côté, le MAE algérien a rencontré son homologue libyen auquel il a réitéré «le soutien de l'Algérie à une solution libyenne dans le cadre d'un dialogue inclusif et d'une réconciliation nationale».
Sur un autre volet, Messahel a eu à coprésider avec son homologue malien la réunion ministérielle sur la mise en œuvre de l'accord pour la paix et la réconciliation au Mali.
Dans ce contexte, il a appelé à lancer «davantage d'actions pour la mise en œuvre effective de l'accord pour la paix et la réconciliation au Mali». Un processus issu du processus d'Alger. Il faut savoir d'autre part que les deux dossiers ont été évoqués lors d'une rencontre entre le MAE algérien et son homologue français.
Cet entretien, précise-t-on, s'inscrit dans «le cadre des consultations régulières entre les deux pays conformément aux instructions des deux chefs d'Etat».
Tous ces faits interviennent dans un cadre plus global d'échanges de haut niveau. En moins d'une semaine, Messahel a eu une quinzaine de rencontres dont le secrétaire général des Nations-Unies.
A. C.
Abla Cherif - Alger (Le Soir) - New York a été ainsi l'occasion pour l'Algérie de prendre part à une réunion de tout importance sur la crise libyenne. Y ont pris part le chef de la diplomatie algérienne et ses homologues tunisien et égyptien lesquels ont passé en revue les derniers développements survenus dans ce pays «à la lumière de la réunion de haut niveau sur la Libye tenue mercredi à l'ONU», indiquent les agences de presse. Les trois pays se sont engagés à continuer à œuvrer pour la paix dans ce pays.
De son côté, le MAE algérien a rencontré son homologue libyen auquel il a réitéré «le soutien de l'Algérie à une solution libyenne dans le cadre d'un dialogue inclusif et d'une réconciliation nationale».
Sur un autre volet, Messahel a eu à coprésider avec son homologue malien la réunion ministérielle sur la mise en œuvre de l'accord pour la paix et la réconciliation au Mali.
Dans ce contexte, il a appelé à lancer «davantage d'actions pour la mise en œuvre effective de l'accord pour la paix et la réconciliation au Mali». Un processus issu du processus d'Alger. Il faut savoir d'autre part que les deux dossiers ont été évoqués lors d'une rencontre entre le MAE algérien et son homologue français.
Cet entretien, précise-t-on, s'inscrit dans «le cadre des consultations régulières entre les deux pays conformément aux instructions des deux chefs d'Etat».
Tous ces faits interviennent dans un cadre plus global d'échanges de haut niveau. En moins d'une semaine, Messahel a eu une quinzaine de rencontres dont le secrétaire général des Nations-Unies.
A. C.
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