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Le président y a mis toute la solennité possible : une signature devant les caméras conviées au premier étage du palais de l’Élysée, en présence de la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, et du secrétaire d’Etat chargé des Relations avec le Parlement, Christophe Castaner… Les ordonnances réformant le Code du travail ont été adoptées hier au conseil des ministres. Après la loi de moralisation de la vie publique, qui avait bénéficié il y a une semaine du même protocole inédit en France (mais fréquent aux États-Unis), Emmanuel Macron a voulu souligner qu’il tenait sa promesse de faire voter ces deux lois importantes dans la foulée de son élection.
Dénonciation des « discours haineux »
C’est « une réforme en profondeur, inédite, du marché du travail, indispensable à notre économie et à notre société », a commenté le président, qui a insisté sur les « plus de 300 heures de concertation avec l’ensemble des partenaires sociaux ». Il a également dénoncé, devant les ministres, les « discours haineux » des « gens d’extrême gauche » présents dans les manifestations contre la réforme du travail, qui selon lui alimentent des comportements « radicaux », comme l’incendie jeudi des locaux d’une caserne de gendarmerie à Grenoble.
dna
Dénonciation des « discours haineux »
C’est « une réforme en profondeur, inédite, du marché du travail, indispensable à notre économie et à notre société », a commenté le président, qui a insisté sur les « plus de 300 heures de concertation avec l’ensemble des partenaires sociaux ». Il a également dénoncé, devant les ministres, les « discours haineux » des « gens d’extrême gauche » présents dans les manifestations contre la réforme du travail, qui selon lui alimentent des comportements « radicaux », comme l’incendie jeudi des locaux d’une caserne de gendarmerie à Grenoble.
dna
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