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Un quart des salariés se lève avec la boule au ventre pour aller au travail,

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  • Un quart des salariés se lève avec la boule au ventre pour aller au travail,

    révèle une enquête de Cash Investigation

    Vous avez le sentiment de souffrir au travail ? Si c'est le cas, sachez que vous n'êtes pas anormal(e), et que malheureusement, vous n'êtes pas tout(e) seul(e). Chaque jour, un quart des salariés part travailler avec la boule au ventre, presque un salarié sur deux dit ressentir des douleurs à cause de son métier, et plus d'un tiers avoue même avoir déjà fait un burn-out au cours de sa vie professionnelle. C'est en tout cas ce que rapporte une récente enquête de Cash Investigation, diffusée ce 26 septembre sur France 2.

    Non, il faut bien reconnaître que tout n'est pas tout rose dans le monde du travail, n'en déplaise à ceux qui déclarent « ne rien céder aux fainéants et aux pessimistes ». Pression physique, pression mentale, il ne faut pas se leurrer : le travail, ce n'est pas toujours la santé. Plongée dans « le monde merveilleux du travail ».

    Ah, le travail... en ce moment, tout le monde ne parle que de ça. Avec la réforme du code du travail et les manifestations syndicales de ces derniers jours, les droits des salariés sont au cœur des débats.

    Sur France 2, un reportage édifiant signé Cash Investigation et présenté par Elise Lucet révèle les coulisses du monde du travail. On voit ainsi comment certaines entreprises rentabilisent le temps de travail de leurs employés... parfois au mépris du bien-être humain le plus élémentaire.

    Un quotidien fait de pression et d'humiliations, des conditions de travail dégradées, des salariés déshumanisés qui reçoivent toute la journée des ordres d'une machine, d'autres qui sont obligés de se gaver d'anxiolytiques et d'antidépresseurs pour tenir... Si Charlie Chaplin avait filmé « Les temps Modernes » en 2017, il se serait certainement bien amusé.

    Sièges éjectables, emplois précaires ou encore chantage, l'enquête révèle de nombreux dysfonctionnements et des témoignages plutôt alarmants.

    Par exemple, l'enregistrement en micro caché de ce directeur régional qui menace un chef de magasin de mettre le magasin « à feu et à sang », lui souhaite de « mourir », le menace qu'il va « le cartoucher » ... Avant de le menacer d'enchaîner les mises à pied abusives pour le faire craquer : « Je vais te convoquer à longueur de semaine, tu vas perdre 1 à 2 semaines de salaire par mois, parce que je te mettrai 6 jours de mise à pied à longueur de temps ! » Et que l'homme ne s'amuse même pas à porter plainte pour abus de pouvoir : « Après, tu voudras aller au Prud'Hommes, mais les Prud'Hommes, ça va durer 5 ans ! Les tribunaux je connais, j'ai plus d'avocats que toi ! »

    Si cet enregistrement peut sembler complètement surréaliste pour certains, il semblera, au contraire, bien trop familier pour d'autres...

    En voyant ce reportage, on se rend compte que, finalement, rien n'a changé — et qu'il y a encore de grands progrès à faire en matière de droit du travail. De quoi faire réfléchir, à l'heure où certains jugent le code du travail « obsolète » ou « trop compliqué ».


    demotivateur
    ❤️ ❤️ Two souls with but a single thought ❤️ Two hearts that beat as one❤️ ❤️

  • #2
    C'est le signe du début de la fin.
    Autant changer ou se mettre à son propre compte.

    Tiens, il y a mon rêve d'enfant qui commence à refaire surface ces jours-ci: Créer un élevage de chats de race (Chats persan, Bengal, Siamois, Abyssin, Sacré de Birmanie, Highland Fold etc.). C'est devenu aussi le rêve de ma petite.

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    • #3
      Un quart des salariés se lève avec la boule au ventre pour aller au travail,
      De nos jours personne ne veut aller travailler, tous preferent rester chez eux et etre payés.

      Aigle

      Bonne journée

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      • #4
        Il faut que les chefs d'entreprises et les patrons en général instaurent une politique qui consiste à faire sentir aux travailleurs leurs rendements et leur efficacité à la collectivité , car quand un travailleur sent son rendement quotidien , à ce moment-là son travail devient comme une partie de plaisir et l’emmène à l'aimer tout en se sentant indispensable sur ce qu'il produit ou ce qu'il réalise administrativement, de ce fait, il n'aura plus cette boule lorsqu'il se rend le matin à son travail.
        Dernière modification par ACAPULCO, 28 septembre 2017, 11h32.
        Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
        (Paul Eluard)

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        • #5
          C'est sur que faire un travail qui ne nous plais pas c'est une des pire chose dans la vie, je l'ai fait pendant 3 ans et je ne le souhaite a personne
          Les mains qui aident sont plus sacrées que les lèvres qui prient. - Sai Baba -

          La libertè, c'est le droit de pouvoir dire aux autres ce qu'ils n'ont pas envie d'entendre -George Orwell-

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