Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Octobre rose, lutter contre le cancer du sein

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Octobre rose, lutter contre le cancer du sein

    Le mois de sensibilisation et de prévention pour lutter contre le cancer du sein a débuté

    Un peu partout en France et ailleurs, Tous ensemble contre le cancer du sein

    ..

    En France par exemple, le début a sonné avec l illumination de la Tour Eiffel




    Mesdames, n oubliez pas de passer une mammographie, régulièrement après vos 50 ans, avant dans le cadre d un bilan gynécologique.

    Des marathons et d autres actions sont organisés partout durant tout le mois d octobre ...Les fonds iront dans les associations de lutte contre le cancer pour la recherche

    ensemble, luttons!
    Dernière modification par illumination, 28 septembre 2017, 13h11.

  • #2
    Illumition
    J'ai posté un sujet sur les dangers des mammographies abusives .

    Commentaire


    • #3
      Mesdames, n oubliez pas de passer une mammographie, régulièrement après vos 50 ans,
      la plupart des cas que je connais et qui on eu a en souffrir n'on pas atteint cette age , dont le dernier cas qui remonte a peine a deux trois semaine et qui gualere ( epoux ) maintenant pour trouver des medocs necessaire apres la chirurgie et debut de chimio de son epouse . un de ces jrs va falloir que tout les medecins et chercheurs s'entendent entre eux sur le pourquoi et le comment !

      Commentaire


      • #4
        Pour connaître ce sujet, j ai envie de dire mesdames et messieurs Palpez/roulez
        Et si vous sentez ne serait ce qu un truc bizarre anormal : consultez et si necessaire mammographie.
        La mammo reste le seul moyen de vérifier si c est une tumeur ou pas.

        Discuss, je plussoie.
        Dou ca vient ? On aimerait bien le savoir, il y a bcp de suppositions: le plastique, le paraben, l aluminium ect...

        Consultez un gyneco 2 fois par an n est pas un luxe !!
        Always on the sunny side.....

        Commentaire


        • #5
          Illumination Bonjour,

          Merci pour ce post.
          Mesdames, n oubliez pas de passer une mammographie, régulièrement après vos 50 ans, avant dans le cadre d un bilan gynécologique.
          Plus que la mammographie, l'autopalpation des seins et la palpation à chaque visite chez le gynéco est très très importante.

          C'est ce qui a sauvé la vie à une proche à moi en Algérie. Cancer débutant mais très agressif, mastectomie +chimiothérapie, mais elle est sauvée et a passé le cap des 5 ans de rémission alhamdoullah.

          Prenez bien soin de vous!
          Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

          Commentaire


          • #6
            en effet il est important de palper ses deux seins, et la région des deux aisselles à la recherche de ganglions, mais la palpation n est pas le seul examen clinique, il est impératif de se rendre chez le gigi une fois par an afin de se faire dépister...
            Si une mamo n est pas possible l échographie peut déceler une anomalie.

            Malheureusement , encore une fois, beaucoup de femmes n ont pas accès, ou n ont pas le droit de se rendre chez le gynéco en dehors d une grossesse.:22:

            Discus, c est aberrant oui de ne pas trouver les médicaments nécessaire, que fait votre ministère de la santé??

            Commentaire


            • #7
              ahla illumination

              que fait votre ministère de la santé??
              il est malade lui aussi :22:

              Commentaire


              • #8
                Parfois, la palpation des seins n'est pas suffisante.
                Seule une mammographie ou une écho peuvent déceler des microcalcifications qui peuvent muter en un cancer du sein.
                On ne dira jamais assez que la prévention et une surveillance régulière sont les meilleures armes pour se prémunir, autant que faire se peut, du cancer du sein.

                Commentaire


                • #9
                  Cancer du sein : Quel type de dépistage selon les femmes?

                  Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme dont plusieurs facteurs de risque jouant un rôle important ont été identifiés. C'est pourquoi plusieurs types de dépistage sont recommandés en fonction de leur poids dans le développement de la maladie.

                  Le 27 septembre, l'illumination de la Tour Eiffel en rose a marqué le lancement de la 24ème campagne d'Octobre Rose. Un événement dédié à la sensibilisation à la lutte contre le cancer du sein. Parmi les thèmes abordés pendant cette campagne figure notamment celui du dépistage précoce. En effet, le cancer du sein est le cancer féminin le plus diagnostiqué dans le monde et en France, avec 54 062 nouveaux cas par an.

                  Outre le sexe et l’âge, les facteurs de risque sont multiples: ils peuvent être d’origine hormonale et reproductive, liés aux modes de vie ou à l’environnement, ou encore par prédisposition génétique ou antécédent personnel de pathologie mammaire. Chaque situation est donc unique et c'est pourquoi le médecin détermine les modalités de dépistage ou de suivi les mieux adaptées au cas de la patiente.

                  Selon l'institut national du cancer (Inca), il existe trois niveaux de risque: "moyen", "élevé" et "très élevé". A noter qu'il n'existe pas de niveau de risque "faible" qui dispense de tout dépistage car toutes les femmes, quel que soitleur niveau de risque, doivent réaliser un examen clinique des seins (palpation) une fois par an à partir de 25 ans. "Cet examen indolore permet de détecter une éventuelle anomalie et peut être réalisé par un généraliste, un gynécologue ou une sage-femme.", explique l'Inca.

                  La moitié des femmes concernées participent au dépistage organisé

                  Le niveau de risque "moyen" comprend les femmes qui présentent les deux facteurs de risque que sont l'âge (80% des cancers du sein touchent des personnes de plus de 50 ans) et le fait d'être une femme (plus de 99% des cancers du sein touchent des femmes). En revanche, ces femmes ne présentent aucune histoire personnelle ou familiale concernant cette maladie, ni symptôme pouvant évoquer un cancer du sein.
                  C'est à ces dernières que s'adresse le dépistage organisé du cancer du sein, tous les deux ans à partir de 50 ans et jusqu'à 74 ans. Ces dernières sont ainsi invitées à faire pratiquer gratuitement une mammographie et un examen clinique chez un radiologue agréé. "En 2015, 51,5% des femmes âgées de 50 à 74 ans ont participéau dépistage organisé.", affirme l'association Le Cancer du Sein Parlons-en ! L'Inca indique que d'autres facteurs de risque pourraient jouer un rôle "mais ne justifient pas de modalités de dépistage particulières".
                  Il s'agit d'une densité mammaire importante après la ménopause, de la prise de traitements hormonaux (pilule contraceptive, traitement de la ménopause) et du mode de vie (tabagisme, alcool, surpoids ou l'obésité, pas ou peu d'activité physique.) Le niveau de risque "élevé" concerne quant à lui les femmes présentant une probabilité plus importante que la moyenne d'être atteintes d'un cancer du sein.

                  Un test génétique pour les mutations familiales

                  Il s'agit de femmes "qui ont des antécédents de cancer du sein, de l'utérus et/ou de l'endomètre ou certaines affections du sein et qui ont été exposées à une irradiation thoracique à haute dose avant l'âge de 30 ans, par exemple pour le traitement d'un lymphome de Hodgkin.", indique l'Inca. Ces femmes ne sont alors pas concernée par le programme de dépistage organisé même si elles ont entre 50 et 74 ans, puisqu'une surveillance spécifique leur sera proposée suivant leur situation et leur âge.

                  Les modalités de suivi peuvent consister à la réalisation des mêmes examens de dépistage que ceux du dépistage organisé, mais débutés à un âge différent et selon des intervalles plus rapprochés. Les médecins peuvent également préconiser d’autres techniques de détection en complément ou à la place de la mammographie, comme une échographie ou une IRM. Enfin, certaines prédispositions génétiques, notamment les mutations BRCA 1 ou BRCA 2, exposent les femmes qui en sont porteuses à un risque dit "très élevé" de cancer du sein.

                  L'institut Gustave Roussy précise que "5% des cancers du sein sont réellement héréditaires et résultent d’une anomalie génétique, notamment une mutation des gènes BRCA1 ou BRCA2. Ces anomalies peuvent être détectées grâce à une analyse génétique. Un suivi très spécifique est alors proposé et des mesures de prévention." Si le niveau de risque est effectivement "très élevé", les patientes font l'objet d'une surveillance clinique dès 20 ans et radiologique dès 30 ans.

                  Elles non plus ne sont donc pas concernées par le programme de dépistage organisé. "Dans certains cas, il se peut qu'une consultation d'oncogénétique soit également proposée à d'autres femmes de la famille proche (filles, sœurs, ...).", conclut l'Inca. Selon la Haute Autorité de Santé (HAS), une femme sur 8 sera confrontée au cancer du sein au cours de sa vie en France. Mais détectée à un stade précoce, cette maladie peut toutefois être guéri dans plus de 90% des cas et donc être soignée par des traitements moins agressifs.


                  Source: santé magazine
                  Dernière modification par Megane, 28 septembre 2017, 21h17.
                  Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

                  Commentaire


                  • #10
                    Pour Epstein, ajoutées à une angoisse inutile, les mammographies répétées augmentent les risques de cancer. « Des études récentes basées sur les dix années précédentes indiquent une augmentation très nette des cancers quelques années après le début de ces examens fréquents, ce qui confirme la grande sensibilité des seins en pré-ménopause et l’effet carcinogène des radiations ».

                    La dose moyenne de rads reçus en mammographie pour deux images par sein est de 1 à 4 unités, mais d’après le Pr Epstein, la dose peut parfois être dix fois supérieure. Et Rosalie Bertell, l’une des autorités les plus respectées internationalement en ce qui concerne les dangers des radiations, affirme que chaque rad augmente de 1 % les risques de cancer du sein et correspond à une année de vieillissement. Ces deux spécialistes du cancer ont réitéré leur avertissement dans un article très détaillé et édité par le prestigieux International Journal of Services en2001 (31(3) : 605-615), intitulé « Les dangers et la non-fiabilité des Mammographies », avec le concours de Barbara Seaman, fondatrice et directrice du Women’s breast cancer movement. L’article explique que la plupart des cancers ont été détectés par les malades eux-mêmes et que rien ne vaut la palpation mensuelle de leurs seins par les sujets à risque, « une pratique alternative efficace et sans danger ».

                    Le Pr Epstein est loin d’être le seul à critiquer cette habitude et le NCI (National Cancer Institute) a publié des statistiques qui montrent que chez les femmes de moins de 35 ans, les mammographies peuvent provoquer 75 cancers pour 15 cancers correctement diagnostiqués.

                    Après avoir passé en revue toute la littérature mondiale disponible sur le sujet, les docteurs Wright et Muller, de l’Université de Colombie Britannique, ont recommandé l’annulation du financement public des mammographies parce que le « bénéfice obtenu est minime et le mal causé est important. » D’après le Lancet du 1er juillet 1995, les études les plus complètes ne montrent pas de taux de survie accru grâce aux mammographies de routine.
                    Le NIH (National Institute of Health) estime que ces examens occultent 10 % des tumeurs malignes chez les femmes de plus de 50 ans. À son tour, une étude suédoise menée sur 60 000 femmes a démontré que 70 % des tumeurs détectées par mammographie n’étaient pas des tumeurs. Or, outre le stress émotionnel causé par ces diagnostics erronés, ces femmes ont aussi subi des biopsies toujours dangereuses.

                    Quant au Dr James Howenstine, médecin américain qui a 34 ans de pratique privée et hospitalière, il signale que « des campagnes massives encouragent les femmes à avoir une mammographie chaque année. Ce rituel annuel génère des résultats faux positifs et faux négatifs qui mènent à des opérations inutiles et une considérable anxiété chez les femmes incorrectement diagnostiquées. »

                    Enfin, le 8 janvier 2000, The Lancet publiait une étude danoise qui réduisait à néant l’espoir des cancérologues qui croyaient alors qu’en dépistant plus précocement les cancers du sein par mammographie, on réussirait à faire baisser leur incidence et leur mortalité. Le journal concluait qu’en termes de mortalité, une politique de dépistage du cancer du sein « ne serait pas justifiée ».

                    Une étude publiée en 2005 par le New England Journal of Medicine, confirme que 30 % des cancers chez les femmes de 40 ans ne sont pas détectés par les mammographies.

                    Et en mars 2006, le mensuel La Recherche signalait à son tour, dans son numéro 395, que « la mortalité par cancer du sein a très peu diminué depuis 20 ans », alors que « les cas diagnostiqués, eux, explosent ». Le journal ajoutait que certains experts dénonçaient les effets pervers du dépistage qui « conduirait à détecter et à traiter des tumeurs mammaires qui n’auraient pas mis la vie de la patiente en danger ».

                    Le Dr Ken Walker, gynécologue à Toronto, mais aussi le plus célèbre des journalistes médicaux canadiens sous le pseudonyme de « Dr Gifford-Jones », partage son avis : « Les femmes de 40 à 49 ans qui subissent régulièrement des mammographies, sont deux fois plus susceptibles de mourir d’un cancer trois ans plus tard que celles qui gardent leurs seins sous leurs chemisiers ». Ce médecin diplômé d’Harvard estime lui aussi que les diagnostics précoces constituent un mensonge car « il faut huit ans pour qu’une tumeur soit assez importante pour être décelée, ce qui laisse le temps aux cellules cancéreuses de se propager dans l’organisme. Cela n’est pas vraiment un diagnostic précoce ».

                    D’après Diana Hunt, diplômé du centre médical d’UCLA, spécialiste des rayons X, « les radiations reçues par le sein au cours d’une seule mammographie correspondent à 11,9 fois la dose absorbée annuellement par le corps entier ».

                    La pratique annuelle de deux mammographies sur chaque sein pendant une période de dix ans provoque une exposition à 5 rads pour chaque sein, En conséquence, si une femme commence à subir des mammographies annuelles dès l’âge de 55 ans, à 75 ans elle aura reçu 20 rads. Évidemment, ce pourcentage est proportionnel à l’âge du début des mammographies, ce qui est effarant à l’heure actuelle où elles sont pratiquées de plus en plus tôt. En comparaison, les femmes qui ont survécu aux bombardements de Hiroshima ou Nagasaki ont absorbé 35 rads.

                    Et plus les cellules du sein sont jeunes, plus leur ADN est endommagé par les radiations. En outre, ce risque est multiplié par 4 chez les femmes porteuses du gène A-T, soit environ 1,5 à 2 % des sujets. Le pourcentage peut sembler minime, mais on estime qu’aux États-Unis environ 10 000 cancers par an sont dus aux mammographies chez les femmes porteuses de ce gène. Une seule mammographie augmente de 4 à 6 fois leur risque de cancer.

                    Commentaire


                    • #11
                      Task Force (groupe de travail) du ministère de la santé des États-Unis qui recommande de retarder les mammographies jusqu’à l’âge de 50 ans, lorsque la poitrine est moins sensible aux radiations. La coalition nationale du Cancer du sein s’est jointe à ces conseils qui s’appuient sur l’augmentation de ce cancer de 20 % depuis 1975 malgré la multitude de mammographies et les milliards dépensés par les assurances.
                      Pour les jeunes femmes, les chiffres sont encore plus inquiétants, car une étude du Canadian National Breast Cancer, qui date de 1992, a démontré une augmentation de 52 % de la mortalité par cancer du sein chez les jeunes femmes qui subissent des mammographies. En outre, les femmes enceintes exposées aux radiations mettent leur fœtus en danger avec des risques de leucémies ou de malformations, et les enfants exposés aux radiations peuvent à leur tour développer un cancer du sein à l’âge adulte. Ajoutons à ce terrifiant constat que depuis l’introduction des mammographies, l’incidence d’un certain carcinome du sein aurait augmenté de 328 %.

                      Le DrWilliam
                      John Gofman, professeur émérite de biologie moléculaire et cellulaire à Berkeley et chargé de cours à l’école de médecine de l’université de Californie à San Francisco, spécialiste des effets biologiques des rayons X et des dangers nucléaires, lauréat du prix Nobel, estimait que 75 % des nouveaux cas de cancer étaient provoqués par les irradiations médicales comme les rayons X, scanners, mammographies, tomographies et fluoroscopies. Il leur imputait également la responsabilité de nombreux cas de maladies coronariennes

                      conscience du peuple

                      Commentaire

                      Chargement...
                      X