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Contrat juteux d’Alcaraz : Zetchi doit rendre des comptes à la FAF
DIA-28 septembre 2017: Le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, doit rendre compte aux membres du bureau fédéral mais aussi aux membres de l’assemblée générale de la FAF sur le contrat du sélectionneur national, l’Espagnol Lucas Alcaraz.
Le contrat d’Alcaraz qui prend fin en juin 2019, soit après la CAN de la même année, ne comprend que des avantages en faveur du technicien espagnol. A présent, Zetchi qui subit une forte pression de la part des Pouvoir publics, des membres du bureau fédéral et des supporters de l’équipe nationale, se trouve dans la contrainte de résilier ce contrat.
En ce sens, Zetchi a fait appel à des spécialistes en droit international et à des économistes dans l’espoir de trouver des failles dans ce contrat de manière à ne pas indemniser Alcaraz. Ces experts lui ont signifié que le contrat est plombé et toues les clauses sont favorables à Alcaraz.
Du coup, Zetchi se trouve dans un bourbier qui risque de l’emporter, même s’il espère que le bureau fédéral va le sauver en limogeant Alcaraz à sa place. Or, un des membres du BF a exigé des comptes de Zetchi, considérant que ce dernier a abusé de son autorité pour tailler un contrat sur mesure à Alcaraz. Pis encore, Zetchi est accusé d’avoir «dilapidé» l’argent de la FAF, dont les caisses ont été laissées bien remplies par l’ancien président Mohamed Raouraoua (700 milliards de centimes).
Pour la précision, l’indemnisation d’Alcaraz qui touche 60 000 euros par mois ainsi que ses deux adjoints (50 000 euros chacun) coutera très cher à la FAF en ces temps d’austérité et de crise financière que traverse l’Algérie.
Nassim Fateh
Le contrat d’Alcaraz qui prend fin en juin 2019, soit après la CAN de la même année, ne comprend que des avantages en faveur du technicien espagnol. A présent, Zetchi qui subit une forte pression de la part des Pouvoir publics, des membres du bureau fédéral et des supporters de l’équipe nationale, se trouve dans la contrainte de résilier ce contrat.
En ce sens, Zetchi a fait appel à des spécialistes en droit international et à des économistes dans l’espoir de trouver des failles dans ce contrat de manière à ne pas indemniser Alcaraz. Ces experts lui ont signifié que le contrat est plombé et toues les clauses sont favorables à Alcaraz.
Du coup, Zetchi se trouve dans un bourbier qui risque de l’emporter, même s’il espère que le bureau fédéral va le sauver en limogeant Alcaraz à sa place. Or, un des membres du BF a exigé des comptes de Zetchi, considérant que ce dernier a abusé de son autorité pour tailler un contrat sur mesure à Alcaraz. Pis encore, Zetchi est accusé d’avoir «dilapidé» l’argent de la FAF, dont les caisses ont été laissées bien remplies par l’ancien président Mohamed Raouraoua (700 milliards de centimes).
Pour la précision, l’indemnisation d’Alcaraz qui touche 60 000 euros par mois ainsi que ses deux adjoints (50 000 euros chacun) coutera très cher à la FAF en ces temps d’austérité et de crise financière que traverse l’Algérie.
Nassim Fateh
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