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La présidence du Conseil de sécurité sera assurée par la France durant le mois d'octobre prochain. La question du Sahara sera au coeur de l'agenda de cette présidence, a assuré vendredi le porte-parole français des Affaires étrangères.
La France, qui présidera le Conseil de sécurité dès le début d'octobre, a assuré vendredi, via le Quai d'Orsay, que "la question du Sahara occidental" figure au centre des priorités inscrites à l'agenda du mois prochain.
La présidence française de l'instance décisive de l'ONU intervient alors que la partie adverse, le Polisario, galvanisé par Alger, lance une campagne haineuse à l'encontre du nouveau président français, Emmanuel Macron, et la France généralement, accusée de "constituer un obstacle au règlement de la question sahraouie"!
Il convient de souligner que la position de la France vis-à-vis de la question du Sahara est restée inchangée. Un soutien clair et net est apporté par Paris à l'offre d'autonomie prévoyant de larges prérogatives d'autogestion à la population des provinces sahariennes, dans le cadre de la souveraineté marocaine. Une position appuyée par le Conseil de sécurité, qui a salué le bien-fondé de la proposition d'autonomie, jugée "sérieuse" et "crédible".
L'offre d'autonomie est la seule alternative mise sur la table, sachant que la partie ennemi continue de se cramponner en vain à l'option éculée et impraticable du "référendm d'autodétermination" balayée d'un revers de la main par le Conseil de sécurité, dans sa résolution 2351, adoptée fin avril à l'unanimité de ses Quinze membres.
M'Hamed Hamrouch
La France, qui présidera le Conseil de sécurité dès le début d'octobre, a assuré vendredi, via le Quai d'Orsay, que "la question du Sahara occidental" figure au centre des priorités inscrites à l'agenda du mois prochain.
La présidence française de l'instance décisive de l'ONU intervient alors que la partie adverse, le Polisario, galvanisé par Alger, lance une campagne haineuse à l'encontre du nouveau président français, Emmanuel Macron, et la France généralement, accusée de "constituer un obstacle au règlement de la question sahraouie"!
Il convient de souligner que la position de la France vis-à-vis de la question du Sahara est restée inchangée. Un soutien clair et net est apporté par Paris à l'offre d'autonomie prévoyant de larges prérogatives d'autogestion à la population des provinces sahariennes, dans le cadre de la souveraineté marocaine. Une position appuyée par le Conseil de sécurité, qui a salué le bien-fondé de la proposition d'autonomie, jugée "sérieuse" et "crédible".
L'offre d'autonomie est la seule alternative mise sur la table, sachant que la partie ennemi continue de se cramponner en vain à l'option éculée et impraticable du "référendm d'autodétermination" balayée d'un revers de la main par le Conseil de sécurité, dans sa résolution 2351, adoptée fin avril à l'unanimité de ses Quinze membres.
M'Hamed Hamrouch
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