Alors que les hommes perdaient progressivement de leur droit en tant que père, naissait parallèlement le féminisme et le combat, nécessaire, des violences faites aux femmes. On voit progressivement apparaître l’image de l’homme prédateur face à la femme fragile. Comme le disait Elisabeth Badiner dans « XY de l’identité masculine, l’homme est associé à « prendre, pénétrer, dominer et s’affirmer, si nécessaire par la force », et la femme est associée à « être possédée, docile, passive et soumise ».
De cet image de l’homme prédateur en découle une approche du père, père incompétent, voire défaillant si ce n’est néfaste ; mauvais père, père alcoolique père violent, père abandonnique, père incestueux,…
Elisabeth Badinter, interviewée dans le Marianne.net le 21 janvier 2016 au sujet de la réaction des féministes face aux femmes violées à Colonne insiste sur le fait « … que le féminisme, depuis une dizaine d'années, a pour principal objet, pour leitmotiv même, la lutte contre les violences faites aux femmes, ici, en France ». Ce nouveau féminisme induit donc l’idée que l’homme est la cause de la condition des femmes et donc de celle des enfants et des familles.
Les professionnels de l’enfance, déjà formés et marqués par des théories de la petite enfance qui « excluent le père », se voient prendre le relais sur le mauvais père.
Dans « l’amour en plus », E. Badiner nous montre comment les professionnels de l’enfance s’intéressent de plus en plus au père dès lors qu’il s’agit d’expliquer l’enfant délinquant, victime ou démuni. Au départ, les psychiatres, pédopsychiatres, assistantes sociales, éducateurs se focalisent sur l’absence du père puis de plus en plus sur l’idée que le père est nocif par sa violence.
On ne trouve pas dans les commissariats d’affiches de « violences intrafamiliales », ni de « violences faites aux hommes » alors qu’en 2013, 25 hommes mouraient sous les coups de leurs femmes. Une vidéo virale faite par l’association anglaise "Mankind Initiative" (https://www.youtube.com/watch?v=SzfLVyNHJgQ) montrait que lorsqu’une femme était agressée par son compagnon dans la rue, les passants intervenaient. Mais lorsqu’un homme se faisait agresser par sa femme, les passants souriaient, moqueur, ou s’éloignaient.
La violence n’est jamais présentée dans son intégralité. Elle est toujours amenée sous l’angle de la violence sur les femmes par les hommes. On méconnaît ou ignore la violence des femmes, des mères, des enfants, des personnes âgées, des handicapés. On ne parle que de celles des hommes.
En conclusion, l’homme n’a jamais pu être un père, soit despote au passé, soit maltraitant dans l’imaginaire d’aujourd’hui.
Nous continuons à percevoir les pères selon cette représentation et on en est à se questionner sur ce qu’est un père ? Un géniteur, un éducateur, un père légal ? La psychologie, principalement d'orientation psychanalytique n'aide pas les pères à trouver une place
ces femmes qui ont des enfants mâle savent-elles qu'elles ne jouiront peut etre pas du fait d'être grand mère ? eh oui un jour l'epouse de leur fils lui confisquera ses petits enfants a mediter chere droguées du feminisme
source: Blog : psy-conseil-divorce
De cet image de l’homme prédateur en découle une approche du père, père incompétent, voire défaillant si ce n’est néfaste ; mauvais père, père alcoolique père violent, père abandonnique, père incestueux,…
Elisabeth Badinter, interviewée dans le Marianne.net le 21 janvier 2016 au sujet de la réaction des féministes face aux femmes violées à Colonne insiste sur le fait « … que le féminisme, depuis une dizaine d'années, a pour principal objet, pour leitmotiv même, la lutte contre les violences faites aux femmes, ici, en France ». Ce nouveau féminisme induit donc l’idée que l’homme est la cause de la condition des femmes et donc de celle des enfants et des familles.
Les professionnels de l’enfance, déjà formés et marqués par des théories de la petite enfance qui « excluent le père », se voient prendre le relais sur le mauvais père.
Dans « l’amour en plus », E. Badiner nous montre comment les professionnels de l’enfance s’intéressent de plus en plus au père dès lors qu’il s’agit d’expliquer l’enfant délinquant, victime ou démuni. Au départ, les psychiatres, pédopsychiatres, assistantes sociales, éducateurs se focalisent sur l’absence du père puis de plus en plus sur l’idée que le père est nocif par sa violence.
On ne trouve pas dans les commissariats d’affiches de « violences intrafamiliales », ni de « violences faites aux hommes » alors qu’en 2013, 25 hommes mouraient sous les coups de leurs femmes. Une vidéo virale faite par l’association anglaise "Mankind Initiative" (https://www.youtube.com/watch?v=SzfLVyNHJgQ) montrait que lorsqu’une femme était agressée par son compagnon dans la rue, les passants intervenaient. Mais lorsqu’un homme se faisait agresser par sa femme, les passants souriaient, moqueur, ou s’éloignaient.
La violence n’est jamais présentée dans son intégralité. Elle est toujours amenée sous l’angle de la violence sur les femmes par les hommes. On méconnaît ou ignore la violence des femmes, des mères, des enfants, des personnes âgées, des handicapés. On ne parle que de celles des hommes.
En conclusion, l’homme n’a jamais pu être un père, soit despote au passé, soit maltraitant dans l’imaginaire d’aujourd’hui.
Nous continuons à percevoir les pères selon cette représentation et on en est à se questionner sur ce qu’est un père ? Un géniteur, un éducateur, un père légal ? La psychologie, principalement d'orientation psychanalytique n'aide pas les pères à trouver une place
ces femmes qui ont des enfants mâle savent-elles qu'elles ne jouiront peut etre pas du fait d'être grand mère ? eh oui un jour l'epouse de leur fils lui confisquera ses petits enfants a mediter chere droguées du feminisme
source: Blog : psy-conseil-divorce
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