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Evénement d’Al Hoceima : Pas de liberté provisoire pour les accusés

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  • Evénement d’Al Hoceima : Pas de liberté provisoire pour les accusés

    La Chambre criminelle de la Cour d’appel de Casablanca a rejeté, jeudi, toutes les requêtes de liberté provisoire au profit des mis en cause dans les événements d’Al-Hoceima, poursuivis devant ce tribunal.

    Le Procureur général du Roi près cette juridiction avait annoncé, mardi, que cette audience allait être consacrée à l’examen de l’ensemble des requêtes de liberté provisoire présentées par les avocats de la défense.

    Il avait également annoncé le report au 17 octobre courant l’examen du dossier d’un groupe de 21 accusés, dont 3 sont poursuivis en état de liberté.

    Les prévenus ont comparu, pour la première fois, le 12 septembre dernier devant la première Chambre criminelle qui les poursuit pour divers chefs d’accusation.

    Cinq prévenus doivent répondre, chacun en ce qui le concerne, de plusieurs chefs d’inculpation, notamment « atteinte à la sécurité intérieure de l’État », « tentatives de sabotage, de meurtre et de pillage », « préparation d’une conspiration contre la sécurité intérieure » et « réception de fonds, de donations et d’autres moyens matériels destinés à mener et à financer une activité de propagande à même d’attenter à l’unité et la souveraineté du Royaume ».

    Ils sont également accusés « d’ébranler la loyauté des citoyens envers l’État marocain et les institutions nationales », « la participation à l’organisation d’une manifestation non autorisée », « la tenue de rassemblements publics sans autorisation » et « la participation à un attroupement armé ».

    En ce qui concerne les autres mis en cause, ils sont poursuivis, entre autres, pour les délits « d’offense et de violence à l’encontre des éléments des forces publiques, ayant causé des blessures avec préméditation, la désobéissance armée, la détérioration de véhicules et de biens publics ».

    ALM

  • #2
    Drôle de grief au Maroc afin d'emprisonner quiconque: Incitation à manifester!!-

    - Parmi les personnes poursuivies figurent des journalistes. Le cas le plus médiatisé est celui de Hamid Al-Mahdaoui, directeur du site d’information arabophone Badil. info, connu pour ses prises de position virulentes contre le pouvoir. D’abord condamné à trois mois de prison pour «*incitation à manifester*», il a vu sa peine alourdie en appel à un an de prison.

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    • #3
      alm le journal propagande au service du makhzen, un torchon de bas caniveau.

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