Plus d'un million de fonctionnaires ont été condamnés pour avoir accepté, entre autres, des pots-de-vin.
Près de 1,34 million de responsables subalternes chinois ont été sanctionnés depuis le lancement, en 2013, de la campagne de lutte contre la corruption, a annoncé dimanche l'agence chargée de lutter contre la corruption. Le président Xi Jinping en a fait l'un de ses principaux combats.
Il a promis dès son investiture de pourchasser autant les «tigres» que les «mouches», les plus hauts dirigeants que les employés subalternes.
Si cette campagne a surtout visé des responsables soupçonnés de faits mineurs à l'échelle locale, elle a également permis l'arrestation de fonctionnaires de haut rang et de cadres du parti communiste chinois.
En août, un ancien haut responsable du secteur bancaire d'Etat chinois a été condamné à quatorze ans de prison pour avoir accepté des pots-de-vin.
Le mois dernier, c'est un gardé de l'armée chinoise, membre de la commission centrale de l'armée placée sous la supervision de la présidence, qui a été arrêté et interrogé sur des soupçons de corruption.
20 minutes
Près de 1,34 million de responsables subalternes chinois ont été sanctionnés depuis le lancement, en 2013, de la campagne de lutte contre la corruption, a annoncé dimanche l'agence chargée de lutter contre la corruption. Le président Xi Jinping en a fait l'un de ses principaux combats.
Il a promis dès son investiture de pourchasser autant les «tigres» que les «mouches», les plus hauts dirigeants que les employés subalternes.
Si cette campagne a surtout visé des responsables soupçonnés de faits mineurs à l'échelle locale, elle a également permis l'arrestation de fonctionnaires de haut rang et de cadres du parti communiste chinois.
En août, un ancien haut responsable du secteur bancaire d'Etat chinois a été condamné à quatorze ans de prison pour avoir accepté des pots-de-vin.
Le mois dernier, c'est un gardé de l'armée chinoise, membre de la commission centrale de l'armée placée sous la supervision de la présidence, qui a été arrêté et interrogé sur des soupçons de corruption.
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