Slim Chaker avait couru dimanche matin quelque 500 mètres d'une course servant à collecter des fonds pour construire un hôpital destiné aux enfants cancéreux.
L'événement était organisé au profit d'une association luttant contre le cancer. Le ministre Tunisien de la Santé Slim Chaker, 56 ans, est décédé dimanche après avoir fait un malaise cardiaque lors d'un marathon. «J'ai perdu un frère et un collègue», écrit le Premier ministre Youssef Chahed sur sa page Facebook. «Il est parti (...) en faisant son devoir, et il est mort en faisant un noble acte humanitaire», ajoute-t-il.
Le ministre avait couru dimanche matin quelque 500 mètres d'un marathon organisé à Nabeul par une association collectant des fonds pour construire un hôpital destiné aux enfants cancéreux, selon le service de communication du ministère de la Santé. Le ministre a fait un discours puis il est monté dans sa voiture où il a fait un malaise, selon la même source, et il est mort à l'hôpital militaire de Tunis où il avait été transporté.
Nommé au gouvernement en septembre
Médias et réseaux sociaux ont rendu hommage à cet ancien conseiller du président Béji Caïd Essebsi, nommé au gouvernement lors du remaniement de septembre 2017. «Il aura payé de son sang le prix de son engagement patriotique», a notamment souligné sur Twitter le magazine tunisien Leaders. D'autres internautes voulaient voir en lui une victime des défaillances du système de santé tunisien, qui n'est pas parvenu à le sauver.
leparisien.fr
L'événement était organisé au profit d'une association luttant contre le cancer. Le ministre Tunisien de la Santé Slim Chaker, 56 ans, est décédé dimanche après avoir fait un malaise cardiaque lors d'un marathon. «J'ai perdu un frère et un collègue», écrit le Premier ministre Youssef Chahed sur sa page Facebook. «Il est parti (...) en faisant son devoir, et il est mort en faisant un noble acte humanitaire», ajoute-t-il.
Le ministre avait couru dimanche matin quelque 500 mètres d'un marathon organisé à Nabeul par une association collectant des fonds pour construire un hôpital destiné aux enfants cancéreux, selon le service de communication du ministère de la Santé. Le ministre a fait un discours puis il est monté dans sa voiture où il a fait un malaise, selon la même source, et il est mort à l'hôpital militaire de Tunis où il avait été transporté.
Nommé au gouvernement en septembre
Médias et réseaux sociaux ont rendu hommage à cet ancien conseiller du président Béji Caïd Essebsi, nommé au gouvernement lors du remaniement de septembre 2017. «Il aura payé de son sang le prix de son engagement patriotique», a notamment souligné sur Twitter le magazine tunisien Leaders. D'autres internautes voulaient voir en lui une victime des défaillances du système de santé tunisien, qui n'est pas parvenu à le sauver.
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