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Le criminel de guerre Amir Peretz au Maroc

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  • Le criminel de guerre Amir Peretz au Maroc

    A cette occasion, le Maroc osera t-il arrêter le bourreau des Palestiniens? Pas sûr malheureusement.

    - Maroc/Israël : Amir Peretz conduit une délégation parlementaire à Rabat

    Amir Peretz est de nouveau au Maroc. Reçu, le 17 février 2006, par le roi Mohammed VI, le voilà qui conduit une délégation israélienne venue participer à une conférence à Rabat.

    Les militants anti-normalisation avec Israël sont vent debout contre la présence au siège de la Chambre des conseillers d’Amir Pertez, considéré comme «criminel de guerre» par plusieurs associations marocaines, arabes et internationales.
    L’ancien ministre de la Défense conduit une délégation israélienne qui prend part, ce dimanche et demain, à une conférence organisée par l’Assemblée parlementaire de la Méditerranée en partenariat avec l’Organisation mondiale du commerce sur le thème : «Faciliter le commerce et les investissements dans la région méditerranéenne et africaine»-.

    Source: Ya............bi

  • #2
    Les marques de stylo rouge sur les murs symbolisent le sang des Palestiniens que l’armée israélienne (Tsahal) fait couler à Gaza, cette bande de terre de 360 km2.

    Un million et demi d’habitants entassés dans une sorte de ghetto où les privations et le blocus ont fait revenir le choléra et où la pénurie de soins fait voisiner Israël, l’un des pays les plus riches du monde, avec un territoire où l’indice du développement humain ne dépasse pas celui du Gabon.

    Alors que l’offensive terrestre fait rage depuis le 27 décembre et que le bilan côté palestinien s’élevait mardi à plus de 600 morts (dont 159 enfants) et 2780 blessés, la Cisjordanie pro-Fatah, séparée de ses frères ennemis du Hamas, redonne de la voix. «Nous manifestons tous les jours», confirme Leila, étudiante en droit. Ce matin, dans le hall, des étudiants musulmans et chrétiens préparent la démonstration du jour. Khaled montre son tract. Son message: pour une solidarité entre Palestiniens et la restauration immédiate de l’Autorité palestinienne.

    Vu de Jérusalem-Est, la zone palestinienne de la capitale, on se fiche bien des factions, Fatah et Hamas, qui se déchiraient voici peu encore. «On est des Palestiniens, point final», explique Khaled. A Jérusalem-Est, pas de débordement, ou si peu. «La police nous arrêterait aussitôt», explique un commerçant de la vieille ville.

    «On ne peut rien dire, on ne peut rien faire. Notre rage, nous devons la garder en nous!» Alors, la guerre de Gaza, «on la vit sur Aljazeera». Pour s’informer sur le drame qui touche leurs proches à 50 km à vol d’oiseau, les Palestiniens n’ont d’autres options que de se brancher sur la chaîne du Qatar… Impossible aussi de joindre leurs parents à Gaza. «Les communications sont coupées et les familles se terrent. Alors, on communique par SMS.»

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    • #3
      -L'opération "Plomb durci" a commencé avec des vagues de bombardements ininterrompues, sur le modèle de l'opération américaine "Choc et effroi", menée en prélude à l'invasion de l'Irak en 2003. Entre autres cibles, dont des bases de miliciens palestiniens, ces frappes ont pulvérisé des dizaines d'édifices publics, comme ceux de la présidence palestinienne, du Parlement, du conseil des ministres et du ministère de l'Education.

      Le gouvernement israélien affirme, sans fournir de preuves, que ces bâtiments étaient réquisitionnés par la branche militaire des islamistes du Hamas; ils avaient été construits dans les années 1990, grâce aux fonds de la communauté internationale, pour servir d'ossature au futur Etat palestinien-. *

      Source: L'Express.fr

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      • #4
        Notons que ce n'est pas la première fois que le Maroc se fasse affidé d'Israël. Ce fut aussi le cas avec la sinistre Tzipi Livni.

        - Sur les marches de l'Elysée, le 1er*janvier, à la sortie de son rendez-vous avec Nicolas Sarkozy, la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, l'a encore redit: après l'évacuation des colonies juives de la bande de Gaza durant l'été 2005, les Palestiniens de Gaza avaient l'opportunité de poser les fondations de leur futur Etat, au lieu de quoi ils ont choisi d'élire le Hamas et de lancer des roquettes sur l'Etat juif...

        Cet argument, leitmotiv de la diplomatie israélienne ces trois dernières années, omet un élément crucial. Le retrait de Gaza n'était pas destiné à faciliter l'accession des Palestiniens à l'indépendance. Au contraire même. Dès octobre*2004, dans une interview au quotidien israélien Haaretz, Dov Weisglass, chef de cabinet du Premier ministre d'alors, Ariel Sharon, avait prévenu: "Le désengagement fournit la dose de formol nécessaire pour qu'il n'y ait pas de processus politique avec les Palestiniens." *

        De fait, avant même la victoire électorale du Hamas en janvier*2006, les Palestiniens de Gaza ont été privés des moyens de se gouverner. Tout en maintenant son emprise sur les points de passage, bouclés à la moindre alerte, le gouvernement israélien dénia à l'Autorité palestinienne le droit de bâtir un port, de rouvrir son aéroport ou d'aménager un couloir routier avec la Cisjordanie. Ce simple remodelage du système d'occupation empêcha toute reprise économique à Gaza et accéléra le discrédit du Fatah-.

        Source: L'Express.fr

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        • #5

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          • #6
            Faut-il en déduire que les Marocains soient opposés à l'affranchissement du peuple palestinien? Sans généraliser, la réponse est malheureusement affirmative.

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