Sa venue à Rabat provoque une levée de boucliers parmi ceux qui militent sans relâche contre la tentation monarchique insidieuse, et d’autant plus insupportable, de normaliser les relations avec Israël, Amir Peretz, l’ancien ministre israélien de la Défense, a fait son grand retour au Maroc, précédé par sa réputation glaçante de « criminel de guerre ».
A la tête d’une délégation représentant l’ultra-sionisme triomphant, l’ex-chef du Parti travailliste, qui avait été reçu en grande pompe par Mohammed VI en février 2006, a les honneurs de la Chambre des Conseillers, onze ans plus tard, au grand dam des membres de quatre groupes marocains (le Groupement national d’action pour la Palestine, le PJD, l’Union marocaine du travail et la Confédération démocratique du travail) qui ont fait part de leur plus vive réprobation via un communiqué cinglant.
Alors qu’Amir Peretz s’est vu dérouler le tapis rouge en sa qualité d’hôte de marque de la conférence intitulée « Faciliter le commerce et les investissements dans la région méditerranéenne et africaine », qui se tient actuellement à Rabat sous l’égide de l’Assemblée parlementaire de la Méditerranée en partenariat avec l’Organisation mondiale du commerce, sa présence dans les allées du pouvoir a été dénoncée comme une « violation de la décision de la Ligue arabe de boycotter Israël ».
Seul le Groupement national d’action pour la Palestine a appelé l’ensemble des parlementaires à observer des sit-in à l’intérieur de la Chambre des Conseillers, mais il y a fort à parier que la clameur de protestation sera vite étouffée et muselée dans l’enceinte du Parlement marocain.
A l’image de son pays où est instauré le plus cruel des régimes d’Apartheid, Amir Peretz jouit d’une prime à l’impunité insolente qui lui permet de fouler à nouveau le sol du royaume de l’Atlas, sous le regard bienveillant du souverain de la dynastie alaouite, après avoir échappé à la plainte pour “crimes de guerre” déposée contre lui en 2006, auprès de la Chambre criminelle près la Cour d’appel de Rabat, par trois avocats marocains : Mes Abderrahim Jamaï, Khalid Sefiani et Abderrahmane Benameur.
https://www.youtube.com/watch?time_c...&v=UZj4BFJj_3E
A la tête d’une délégation représentant l’ultra-sionisme triomphant, l’ex-chef du Parti travailliste, qui avait été reçu en grande pompe par Mohammed VI en février 2006, a les honneurs de la Chambre des Conseillers, onze ans plus tard, au grand dam des membres de quatre groupes marocains (le Groupement national d’action pour la Palestine, le PJD, l’Union marocaine du travail et la Confédération démocratique du travail) qui ont fait part de leur plus vive réprobation via un communiqué cinglant.
Alors qu’Amir Peretz s’est vu dérouler le tapis rouge en sa qualité d’hôte de marque de la conférence intitulée « Faciliter le commerce et les investissements dans la région méditerranéenne et africaine », qui se tient actuellement à Rabat sous l’égide de l’Assemblée parlementaire de la Méditerranée en partenariat avec l’Organisation mondiale du commerce, sa présence dans les allées du pouvoir a été dénoncée comme une « violation de la décision de la Ligue arabe de boycotter Israël ».
Seul le Groupement national d’action pour la Palestine a appelé l’ensemble des parlementaires à observer des sit-in à l’intérieur de la Chambre des Conseillers, mais il y a fort à parier que la clameur de protestation sera vite étouffée et muselée dans l’enceinte du Parlement marocain.
A l’image de son pays où est instauré le plus cruel des régimes d’Apartheid, Amir Peretz jouit d’une prime à l’impunité insolente qui lui permet de fouler à nouveau le sol du royaume de l’Atlas, sous le regard bienveillant du souverain de la dynastie alaouite, après avoir échappé à la plainte pour “crimes de guerre” déposée contre lui en 2006, auprès de la Chambre criminelle près la Cour d’appel de Rabat, par trois avocats marocains : Mes Abderrahim Jamaï, Khalid Sefiani et Abderrahmane Benameur.
https://www.youtube.com/watch?time_c...&v=UZj4BFJj_3E
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