"Après sa démission de la mission parlementaire sur la Nouvelle-Calédonie présidée par Manuel Valls, Jean-Luc Mélenchon ne décolère pas. Dans son édition de cette semaine, le Canard enchaîné rapporte une nouvelle altercation entre les deux députés. Cette fois-ci, la scène se déroule dans le cadre restreint de la commission des Lois de l'Assemblée. Le 3 octobre dernier, le leader de La France Insoumise refuse de s'asseoir à côté de l'ancien Premier ministre.
"T'es vraiment un connard"
"Moi, je ne m'assieds pas à côté de ce nazi", lance Mélenchon à son confrère sous les yeux du député Nouvelle gauche David Habib qui raconte l'anecdote à l'hebdomadaire. "Mais tu es complètement fou! Tu vas te calmer!", rétorque Valls.
Habid enchaîne et vise alors Mélenchon: "Arrête ton numéro. T'es vraiment un connard". Chaude ambiance dans les rangs. Il faudra l'arrivée des autres députés de la commission pour mettre un terme à cette scène.
Dans un courrier écrit par Mélenchon à l'intention du président de l'Assemblée, François de Rugy, le député des Bouches-du-Rhône dénonce "la proximité [de Valls] avec les thèses ethnicistes de l'extrême droite et avec des dirigeants de l'extrême droite israélienne". Des propos qualifiés "d'ignobles et outranciers" par le président du Perchoir."
l'Express.fr
"T'es vraiment un connard"
"Moi, je ne m'assieds pas à côté de ce nazi", lance Mélenchon à son confrère sous les yeux du député Nouvelle gauche David Habib qui raconte l'anecdote à l'hebdomadaire. "Mais tu es complètement fou! Tu vas te calmer!", rétorque Valls.
Habid enchaîne et vise alors Mélenchon: "Arrête ton numéro. T'es vraiment un connard". Chaude ambiance dans les rangs. Il faudra l'arrivée des autres députés de la commission pour mettre un terme à cette scène.
Dans un courrier écrit par Mélenchon à l'intention du président de l'Assemblée, François de Rugy, le député des Bouches-du-Rhône dénonce "la proximité [de Valls] avec les thèses ethnicistes de l'extrême droite et avec des dirigeants de l'extrême droite israélienne". Des propos qualifiés "d'ignobles et outranciers" par le président du Perchoir."
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