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L'investissement étranger booste l'investissement local et national, ça fait bouger le shmilblik, comme on dit.
Cinq nouveaux pôles touristiques identifiés,
DES groupes saoudien, qatari, koweitien et émirati sont candidats à l’investissement dans des projets touristiques en Algérie, a annoncé dimanche 28 janvier le ministre algérien du Tourisme Noureddine Moussa.
Moussa, qui était interrogé par la radio publique algérienne, a indiqué avoir reçu «une quarantaine de groupes étrangers désireux d’investir dans le tourisme en Algérie». Il a cité notamment le groupe émirati Emaar, le groupe saoudien Sidar, ainsi qu’un investisseur koweïtien et des investisseurs qataris, dont il n’a pas révélé les noms. Il n’a pas donné le montant de ces investissements.
Emaar est intéressé par la zone d’expansion touristique (ZET) de Douaouda (ouest d’Alger), l’investisseur koweïtien par une zone touristique à Aïn Taya (est d’Alger) et les Qataris par la zone de la Fontaine (Aïn Benian, ouest d’Alger).
Emaar a présenté en juillet dernier un projet d’aménagement d’Alger et de sa banlieue comprenant la construction d’un grand hôtel et d’un centre commercial.
Le ministre du Tourisme n’a pas précisé la nature du projet du saoudien Sidar, qui a déjà reçu l’accord de la commission nationale de l’investissement du ministère du Tourisme, a-t-il dit.
Moussa a indiqué que dans le cadre de sa stratégie du développement du tourisme saharien, dont il veut faire «la locomotive» touristique en Algérie, cinq nouveaux pôles touristiques ont été identifiés à Tamanrasset, Djanet, Gourara, la Saoura et la boucle des Oasis. Le ministère a fait appel à des spécialistes de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) pour l’étude de ces projets, a dit le ministre.
Moussa a par ailleurs indiqué que 231 projets algériens d’investissement touristique étaient en cours de réalisation pour un total de 30.000 lits. Les travaux sont avancés à 51%, a-t-il précisé. L’ensemble de ces investissements ont été estimés à 60 milliards de dinars (600 millions d’euros) par le ministre.
Huit cents autres demandes d’investissement émanant d’opérateurs algériens ont été enregistrées jusqu’à la fin de décembre, a-t-il indiqué.
Synthèse L’Economiste
14/2/2007
Cinq nouveaux pôles touristiques identifiés,
DES groupes saoudien, qatari, koweitien et émirati sont candidats à l’investissement dans des projets touristiques en Algérie, a annoncé dimanche 28 janvier le ministre algérien du Tourisme Noureddine Moussa.
Moussa, qui était interrogé par la radio publique algérienne, a indiqué avoir reçu «une quarantaine de groupes étrangers désireux d’investir dans le tourisme en Algérie». Il a cité notamment le groupe émirati Emaar, le groupe saoudien Sidar, ainsi qu’un investisseur koweïtien et des investisseurs qataris, dont il n’a pas révélé les noms. Il n’a pas donné le montant de ces investissements.
Emaar est intéressé par la zone d’expansion touristique (ZET) de Douaouda (ouest d’Alger), l’investisseur koweïtien par une zone touristique à Aïn Taya (est d’Alger) et les Qataris par la zone de la Fontaine (Aïn Benian, ouest d’Alger).
Emaar a présenté en juillet dernier un projet d’aménagement d’Alger et de sa banlieue comprenant la construction d’un grand hôtel et d’un centre commercial.
Le ministre du Tourisme n’a pas précisé la nature du projet du saoudien Sidar, qui a déjà reçu l’accord de la commission nationale de l’investissement du ministère du Tourisme, a-t-il dit.
Moussa a indiqué que dans le cadre de sa stratégie du développement du tourisme saharien, dont il veut faire «la locomotive» touristique en Algérie, cinq nouveaux pôles touristiques ont été identifiés à Tamanrasset, Djanet, Gourara, la Saoura et la boucle des Oasis. Le ministère a fait appel à des spécialistes de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) pour l’étude de ces projets, a dit le ministre.
Moussa a par ailleurs indiqué que 231 projets algériens d’investissement touristique étaient en cours de réalisation pour un total de 30.000 lits. Les travaux sont avancés à 51%, a-t-il précisé. L’ensemble de ces investissements ont été estimés à 60 milliards de dinars (600 millions d’euros) par le ministre.
Huit cents autres demandes d’investissement émanant d’opérateurs algériens ont été enregistrées jusqu’à la fin de décembre, a-t-il indiqué.
Synthèse L’Economiste
14/2/2007
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