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L’ÉTÉ EN AUTOMNE: LE MAROC SUBIT LES EFFETS DE L'OURAGAN OPHELIA
L'ouragan Ophelia ne touchera pas directement le Maroc. Mais les effets de cette tempête observée au large des Açores sont néanmoins perceptibles dans le royaume, et notamment la hausse des températures sur la majeure partie du pays.
L’ouragan Ophelia se trouve au large des Açores. Sur les réseaux sociaux, des rumeurs font état de son arrivée sur le Maroc. Mais elles sont fausses. Dans une intervention sur le plateau de 2M, le climatologue Mohamed Saïd Karrouk, professeur à l’université de Casablanca, a certifié qu’Ophelia n’atteindrait pas le royaume.
Néanmoins, il faut rester vigilant. «Prochainement, les cyclones commenceront à s’approcher des côtes atlantiques, nous devons assumer nos responsabilités», a déclaré le climatologue.
Mohammed Saïd Karrouk a ajouté que depuis 2005, le Maroc vit sous l'influence d'un nouveau climat et que les hausses de températures auxquelles nous assistons ne sont plus exceptionnelles. «On ne devrait plus les considérer comme un phénomène nouveau ou exceptionnel, c’est devenu une normalité et il faudra dorénavant apprendre à s’adapter.»
le360
L'ouragan Ophelia ne touchera pas directement le Maroc. Mais les effets de cette tempête observée au large des Açores sont néanmoins perceptibles dans le royaume, et notamment la hausse des températures sur la majeure partie du pays.
L’ouragan Ophelia se trouve au large des Açores. Sur les réseaux sociaux, des rumeurs font état de son arrivée sur le Maroc. Mais elles sont fausses. Dans une intervention sur le plateau de 2M, le climatologue Mohamed Saïd Karrouk, professeur à l’université de Casablanca, a certifié qu’Ophelia n’atteindrait pas le royaume.
Néanmoins, il faut rester vigilant. «Prochainement, les cyclones commenceront à s’approcher des côtes atlantiques, nous devons assumer nos responsabilités», a déclaré le climatologue.
Mohammed Saïd Karrouk a ajouté que depuis 2005, le Maroc vit sous l'influence d'un nouveau climat et que les hausses de températures auxquelles nous assistons ne sont plus exceptionnelles. «On ne devrait plus les considérer comme un phénomène nouveau ou exceptionnel, c’est devenu une normalité et il faudra dorénavant apprendre à s’adapter.»
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