Cevital est un ensemble industriel intégré, concentré en première partie dans le secteur de l’agroalimentaire. L’ensemble industriel a connu, depuis sa création en 1998, une croissance importante et a consolidé sa position de leader dans le domaine agroalimentaire et entend poursuivre sa croissance et exploiter les synergies en poussant l’intégration des activités agroalimentaires et en développant des activités dans le secteur à fort potentiel de croissance du verre plat ainsi que dans la production de bâtiments préfabriqués en béton.
Cevital a réalisé un chiffre d’affaires de près de 40 milliards de dinars en 2004 et un résultat net de 7,6 milliards de dinars. Pour les 10 premiers mois de 2005 (du 1er janvier au 31 octobre 2005) Cevital a réalisé un chiffre d’affaires de 42 milliards (TTC) et un résultat brut de 7,5 milliards de dinars. Au 31 octobre 2005, ses fonds propres finançaient 83% de ses actifs.
D’après le classement 2006 des 500 plus grandes entreprises africaines publié par Jeune Afrique, l’Intelligent, Cevital est la 6e entreprise algérienne en termes de chiffre d’affaires. Si l’on considère comme critère de classement le résultat net plutôt que le chiffre d’affaires, Cevital se hisse au 4e rang des entreprises algériennes, juste après Sonatrach, Sonelgaz et SNTA.
Toujours d’après Jeune Afrique, l’Intelligent, au classement africain des entreprises du secteur agro-industrie, Cevital est au 9e rang en termes de chiffre d’affaires. Si l’on considère comme critère de classement le résultat net plutôt que le chiffre d’affaires, Cevital se hisse au 3e rang après 2 entreprises sud-africaines.
Le plan d’affaires de Cevital comprend des investissements de plus de 90 milliards de dinars entre 2005 et 2010.
Une partie des investissements sont destinés à diversifier les activités dans le domaine agroalimentaire :
— Intégration en amont : trituration des graines oléagineuses (tournesol, colza et soja)
— Production d’aliments de bétail dont les intrants sont des sous-produits de la trituration, de la mélasse et des acides gras.
— Intégration en aval : développement de la distribution
— Acquisition des eaux minérales Lala Khadidja avec un plan de redressement gagnant (construction d’une unité de production moderne et nouvelle stratégie de commercialisation).
Une autre partie des investissements consiste à développer des industries à fort potentiel de croissance :
— Production de verre plat
— Production de bâtiments préfabriqués en béton
Cevital a réalisé un chiffre d’affaires de près de 40 milliards de dinars en 2004 et un résultat net de 7,6 milliards de dinars. Pour les 10 premiers mois de 2005 (du 1er janvier au 31 octobre 2005) Cevital a réalisé un chiffre d’affaires de 42 milliards (TTC) et un résultat brut de 7,5 milliards de dinars. Au 31 octobre 2005, ses fonds propres finançaient 83% de ses actifs.
D’après le classement 2006 des 500 plus grandes entreprises africaines publié par Jeune Afrique, l’Intelligent, Cevital est la 6e entreprise algérienne en termes de chiffre d’affaires. Si l’on considère comme critère de classement le résultat net plutôt que le chiffre d’affaires, Cevital se hisse au 4e rang des entreprises algériennes, juste après Sonatrach, Sonelgaz et SNTA.
Toujours d’après Jeune Afrique, l’Intelligent, au classement africain des entreprises du secteur agro-industrie, Cevital est au 9e rang en termes de chiffre d’affaires. Si l’on considère comme critère de classement le résultat net plutôt que le chiffre d’affaires, Cevital se hisse au 3e rang après 2 entreprises sud-africaines.
Le plan d’affaires de Cevital comprend des investissements de plus de 90 milliards de dinars entre 2005 et 2010.
Une partie des investissements sont destinés à diversifier les activités dans le domaine agroalimentaire :
— Intégration en amont : trituration des graines oléagineuses (tournesol, colza et soja)
— Production d’aliments de bétail dont les intrants sont des sous-produits de la trituration, de la mélasse et des acides gras.
— Intégration en aval : développement de la distribution
— Acquisition des eaux minérales Lala Khadidja avec un plan de redressement gagnant (construction d’une unité de production moderne et nouvelle stratégie de commercialisation).
Une autre partie des investissements consiste à développer des industries à fort potentiel de croissance :
— Production de verre plat
— Production de bâtiments préfabriqués en béton
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