IRAN - Emmanuel Macron "envisage" de se rendre en Iran, à l'invitation du président Rohani, a annoncé l'Elysée, ce qui serait la première visite d'un chef d'Etat ou de gouvernement français en Iran depuis 1971.
Les deux présidents se sont entretenus ce vendredi 13 octobre par téléphone, Emmanuel Macron rappelant "l'attachement de la France" à l'accord sur le nucléaire iranien, que Donald Trump a décidé vendredi ne pas certifier.
"Un déplacement en Iran du président, à l'invitation du Président Rohani, a été envisagé", annonce l'Elysée. La présidence iranienne a elle évoqué sur son site une visite "l'année prochaine".
La dernière visite à un si haut niveau remonte à 1971, quand le Premier ministre Jacques Chaban-Delmas était venu pour la célébration des 2500 ans de la Perse par le Chah.
Emmanuel Macron a rappelé que les décisions des Etats-Unis "ne mettraient pas fin à l'accord sur le nucléaire iranien, et qu'avec l'ensemble des parties la France et ses partenaires européens continueraient à mettre en oeuvre leurs engagements".
La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni se sont dits vendredi soir "préoccupés par les implications" de la décision du président américain Donald Trump de ne pas "recertifier"
huffingtonpost
Les deux présidents se sont entretenus ce vendredi 13 octobre par téléphone, Emmanuel Macron rappelant "l'attachement de la France" à l'accord sur le nucléaire iranien, que Donald Trump a décidé vendredi ne pas certifier.
"Un déplacement en Iran du président, à l'invitation du Président Rohani, a été envisagé", annonce l'Elysée. La présidence iranienne a elle évoqué sur son site une visite "l'année prochaine".
La dernière visite à un si haut niveau remonte à 1971, quand le Premier ministre Jacques Chaban-Delmas était venu pour la célébration des 2500 ans de la Perse par le Chah.
Emmanuel Macron a rappelé que les décisions des Etats-Unis "ne mettraient pas fin à l'accord sur le nucléaire iranien, et qu'avec l'ensemble des parties la France et ses partenaires européens continueraient à mettre en oeuvre leurs engagements".
La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni se sont dits vendredi soir "préoccupés par les implications" de la décision du président américain Donald Trump de ne pas "recertifier"
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