Tweet
Cette chanson issue du patrimoine judéo-marocain, Apparue approximativement vers la fin du XIXe siècle, "Hak a mama" a été enregistrée en studio pour la première fois au début des années 20 par Zahra El Fassia, icone de la chanson isrélite marocaine et genre Chgouri, qui est un chant juif marocain qui constitue jusqu'aujourd'hui une composante essentielle du x répertoire musical marocain.
C'est Tayeb Saddiki qui ressuscite la chanson pour les besoins de sa pièce de théâtre "El Harraz", dans laquelle Nass El Ghiwane reprennent la chanson. Une pièce qui fera donc connaître ce bijou au grand public, mais contribuera également à faire monter la notoriété de ce qui sera le groupe marocain populaire le plus respecté.
Plusieurs chanteurs marocains se sont appropriés la chanson, tels Fayçal Azizi, Asma Lmnawar et Nass El Ghiwane La version du Chanteur juif Botbol reste la plus connue.
C'est Tayeb Saddiki qui ressuscite la chanson pour les besoins de sa pièce de théâtre "El Harraz", dans laquelle Nass El Ghiwane reprennent la chanson. Une pièce qui fera donc connaître ce bijou au grand public, mais contribuera également à faire monter la notoriété de ce qui sera le groupe marocain populaire le plus respecté.
Plusieurs chanteurs marocains se sont appropriés la chanson, tels Fayçal Azizi, Asma Lmnawar et Nass El Ghiwane La version du Chanteur juif Botbol reste la plus connue.