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  • Total: bénéf de 13 000 000 000 €

    Bon les smicards et les salariés peuvent toujours attendre leur misérable salaire.
    Les actionnaires de Total vont avoir de superbes dividendes sur leurs actions.

    Il reste plus qu'à faire la révolution ou... acheter des actions Total.

  • #2
    la Révolution, Zoubir

    la Révolution


    mais le problème est que les gens sont comme des boeufs

    ils se laissent entrainer vers les abattoirs en léchant la main de ceux qui les y entrainent

    dommage

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    • #3
      Tout à fait. Le plus extraordinaire, c'est que les records de Total explosent l'année ou le prix du baril a lui aussi explosé.

      A part ça, des querielles de politocards viennent, statistiques tronquées à l'appui, expliquer que les français dont pour la plupart, les salaires ont été gelé il y a dix ans pour les 35h (malgré qu'ils remplissent les même tâches donc tout bénéf déjà pour les entreprises), pour lesquels le prix de l'immobilier a pris +100% durant ce lap de temps, n'ont pas subi de baisse de leur pouvoir d'achat...
      Dernière modification par Virginie, 16 février 2007, 08h44.

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      • #4
        Dany

        Dany, pour la révolution, il faut une avant garde
        c'est elle qui éclairera les masses qui se font exploiter

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        • #5
          C'est excellent ca!
          Vous voulez peut etre dépecer total et prendre tout son frique et le distribuer hein?
          13 Milliard ca tente hein?
          Ben 13 milliards tu les crames en un mois pour le fonctionnement de la france voir en moins de temps.
          Total a pas volé ce frique, elle a créé de la richesse, les actionaires se sont fait de l'argent, et ca a payé des taxes, qui paient l'APL du smicard.
          Vous voulez de l'argent, travaillez pour.

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          • #6
            Quas

            "Vous voulez de l'argent, travaillez pour."

            Mais les gens travaillent
            ils font des heures sup et ils n'y arrivent pas
            les chomeurs tu croient que ça leur plait leur situation
            c'est quoi ce dsicours sarkozien?

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            • #7
              Mais ils travaillent oui, et c'est tant mieux!
              Mais naissons nous tous égaux devant la nature?
              Non.
              On n'est pas tous athlete et on n'est pas tous intelligents.
              Il y'en a qui reussisse en montant leurs entreprises, il y en a qui n'ont pas de chance, mais rien ne les empeche de retenter le coup.
              C'est a force de perseverance qu'on perce.
              Pleurer et dire a bas les riches et les jalouser ne t'aidera en rien.

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              • #8
                Quasard

                on en reparlera quand tu auras autant travaillé que nous

                mais peut-être, quand avec ton futur bac + 15 tu gagneras à peine d quoi te loger et te nourrir, tu auras un avis plus éclairé

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                • #9
                  d'ailleurs, on ne dit pas à bas les riches du tout

                  on dit : levez-vous !
                  (aux pauvres )

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                  • #10
                    oui Quas tu fais quoi dans la vie?

                    Commentaire


                    • #11
                      Je suis etudiant en biologie et biotechnologie, et comme tous les etudiants je fais des petits jobs.
                      Je ne compte pas sur la fonction publique pour m'employer, vu qu'a mon retour au Maroc, mon diplome n'aura meme pas d'equivalent la bas.
                      Je ferai mon entreprise voila tout.

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                      • #12
                        UFC: taxer les profits pétroliers!!

                        Profits pétroliers réalisés en France
                        Acte 1 : 2003-2006 Le grand bond de la facture pétrolière

                        Le prix du panier des produits pétroliers a augmenté d'un tiers en trois ans




                        Prix 1er janvier 2004 (euros/litre) Prix 1er janvier 2007* (euros/litre) Variation

                        Essence SP 95 0,988 1,187 + 20,1 %
                        Gasoil 0,78 1,025 + 31,4 %
                        Total carburant - - + 26,1 %
                        Fioul domestique 0,386 0,586 + 51,8 %
                        Total produits pétroliers - - + 33,1 %
                        Inflation générale (indice) 108,0 113,57 + 5,1 %
                        * Sauf pour inflation générale (décembre 2006). Source : DGEMP




                        Le tableau ci-dessus propose l'évolution du prix de l'essence, du gasoil, du fioul domestique ainsi que l'évolution moyenne du panier carburant et du panier regroupant les produits pétroliers (carburant et fioul). Les paniers ont bien sûr été agrégés en fonction des niveaux de consommation de chaque produit.

                        Les résultats sont très éloquents : le panier du prix du carburant a augmenté de 26,1 % en trois ans avec une hausse encore plus marquée du gasoil (+ 31,4 %). Le fioul domestique, qui est assez peu taxé, suit plus fidèlement l'évolution du cours du baril et a donc connu une véritable flambée : + 51,8 % en trois ans !

                        Au total, le panier « produits pétroliers » a vu son prix augmenter d'un tiers en trois ans soit un rythme annuel proche de 10 %. Si on le compare à l'inflation générale, de 5,1 % en trois ans, on peut donc en conclure que le panier « pétrole » des ménages a vu son prix croître six fois plus que la moyenne générale. Nous sommes bien en présence d'une surinflation pétrolière.



                        L'impact sur le budget des consommateurs en 2006
                        7 milliards de plus qu'en 2003, un surcoût de 267 euros par ménage par rapport à 2003
                        En millions d'euros




                        2003 2006 Différentiel annuel 2006 - 2003

                        Essence 12 598 13 576 + 978
                        Gasoil 9 764 13 854 + 4 090
                        Total facture carburant ménages 22 362 27 430 + 5 068
                        Fioul domestique résidentiel 3 662 5 579 + 1 917
                        Total facture pétrole ménages 26 024 33 009 + 6 984
                        Source d'après DGEMP




                        Le tableau ci-avant propose de mesurer la facture pétrolière des ménages (1). En 2003, cette facture était de 22,2 milliards d'euros pour le carburant et de 3,6 milliards d'euros pour le fioul domestique. Entre 2003 et 2006, la facture d'essence a augmenté de façon relative car, d'une part la consommation a diminué, et d'autre part, le prix de l'essence a moins augmenté que la moyenne (20 % contre 31 % pour le gasoil). La facture globale du gasoil a pour sa part très fortement progressé. Sa consommation est en effet restée à peu près stable et le prix a bondit de plus de 30 %.

                        La facture annuelle de carburant des ménages est de 27,4 milliards d'euros en 2006 soit 5 milliards de plus que par rapport à 2003.

                        Le fioul domestique, qui ne concerne qu'une part mineure de la population, engage des dépenses moins importantes (3,6 milliards en 2003). Mais, malgré la baisse de consommation, notamment due à des changements d'équipement, la hausse de la facture a été très marquée : 5,5 milliards en 2006 soit 1,9 milliard de plus que pour l'année 2003. Cela est dû à l'inflation particulièrement élevée du fioul dont le prix a progressé de 51 % en trois ans.

                        Au total la facture « produits pétroliers » des ménages s'élève à 33 milliards en 2006 et a augmenté de près de 7 milliards relativement à l'année 2003. Le prélèvement sur le budget des consommateurs est donc extrêmement conséquent.

                        Ramené à un niveau plus individuel, cela signifie que la facture pétrolière 2006 d'un ménage a augmenté de 267 euros par rapport à celle de l'année 2003.

                        Bien entendu, il s'agit seulement d'une moyenne qui cache de très grandes disparités : un ménage qui vit en milieu rural avec deux voitures et un chauffage au fioul a certainement vu sa facture annuelle augmenter de 500 à 700 euros sur la même période, soit le prix d'achat d'un gros appareil ménager.


                        Il faut enfin préciser qu'il s'agit d'une estimation minimale car nous avons seulement traité des produits pétroliers directement achetés par les consommateurs.

                        Il a donc été écarté à la fois l'impact de l'augmentation du carburant aérien sur le prix des vols mais, surtout, l'ensemble des impacts du prix du pétrole sur les prix de très nombreux produits qui nécessitent du pétrole pour le transport ou pour leur fabrication. Cette évaluation se heurte en effet à des difficultés méthodologiques que nous ne pouvons pas résoudre (les industriels répercutent de façon très diverse la hausse des prix du pétrole).


                        Une estimation globale de la facture pétrolière des ménages conclurait certainement à une hausse de 9 à 10 milliards entre l'année 2003 et l'année 2006, soit un surcoût annuel moyen de 350 euros par ménage.

                        L'UFC-Que Choisir ne peut rester insensible à la question pétrolière qui, après le logement, a certainement engendré la plus forte hausse de la période récente dans le budget des consommateurs. L'envolée des prix du pétrole représente ainsi un grave problème de pouvoir d'achat.





                        (1) Il est à noter que nos chiffres ne correspondent pas aux données du rapport annuel du ministère de l'Industrie sur la facture énergétique de la France qui évalue par exemple à environ 31 milliards d'euros la facture pétrolière de la France (ménages, plus l'industrie, l'agriculture, etc). En fait, ce rapport dresse non pas la facture pétrolière des consommateurs mais le « solde pétrolier national » soit la différence entre le coût des importations de pétrole diminué par les recettes, faible en l'occurrence, des exportations. Notre chiffrage concerne le coût collectif réel pour la collectivité des consommateurs, ce qui intègre notamment les taxes qui ne sont pas prise en compte dans la facture énergétique du ministère de l'Industrie. Cela explique que notre estimation est bien plus élevée. Par contre notre estimation est assez proche du travail qu'avait mené l'INSEE pour évaluer l'impact du prix du pétrole sur le budget des ménages en 2005 (« un choc pétrolier assourdi » décembre 2005).

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