Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Pretoria et Alger menacent de faire capoter le Sommet UA-UE d’Abidjan

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Pretoria et Alger menacent de faire capoter le Sommet UA-UE d’Abidjan

    La session extraordinaire de l’Union africaine consacrée à l’examen de la préparation du Sommet UA-UA prévue à Abidjan les 29 et 30 novembre, tenue lundi 16 octobre au siège de l’organisation panafricaine à Addis-Abeba, a, sous la pression de l’Afrique du Sud et de l’Algérie, soutenu la participation du Polisario mise en ballotage par les instances européennes favorables au Maroc.

    Pretoria a ainsi, selon des sources proches d’Alger et du Polisario évoquées par ********, lancé un ultimatum à la Côte d’Ivoire, pour convier avant le 27 octobre tous les Etats reconnus comme tels par l’UA.

    L’Afrique du Sud a ainsi menacé de peser de tout son poids pour transférer le lieu du conclave à Addis-Abeba pour garantir la présence de la « RASD ».

    Contactées par Le Desk, des sources diplomatiques africaines attestent de l’offensive conjointe des deux poids lourds du continent en faveur de leurs protégés du Polisario, mais insistent à dire que la localisation du Sommet à Abidjan n’est pas remise en cause.

    ledesk
    "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
    Johann Wolfgang von Goethe

  • #2
    Pretoria et Alger menacent de faire capoter le Sommet UA-UE d’Abidjan
    ohhhhhh Nooooonnnnn .....!!!

    c'est balloooooo ca


    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

    Commentaire


    • #3
      Bizarre que Pretoria se mêle à cette affaire? Le pays de Mandela est loin du centre névralgique de ce conflit. Serait-ce toujours en raison du fait que le Maroc avait soutenu l'apartheid sud-africain?

      Commentaire


      • #4
        Le Desk perd de sa crédibilité en publiant un tel torchon.
        Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

        Commentaire


        • #5
          @ El Hour: " Le Desk perd de sa crédibilité en publiant un tel torchon."

          Toute la presse marocaine est un torchon sur l'affaire de la colonisation marocaine du Sahara Occidental et pour cause que le sujet est tabou. Il est lui même interdit de nommer le terme exact de Sahara Occidental.

          Dans le cas présent, Le Desk fait état d'un article du torchon ya.........bi.

          Commentaire


          • #6
            Il faut expulser le Maroc de l'UA: il a réintégré l'organisation en acceptant donc de siéger avec la RASD.
            Si c'est pour faire des magouilles à l'israélienne il faut que les Africains se débarrassent de ce régime à problème.

            Commentaire


            • #7
              Envoyé par Badis Voir le message
              Il faut expulser le Maroc de l'UA: il a réintégré l'organisation en acceptant donc de siéger avec la RASD.
              Si c'est pour faire des magouilles à l'israélienne il faut que les Africains se débarrassent de ce régime à problème.
              c'est juste impossible de l'expulser
              "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
              Johann Wolfgang von Goethe

              Commentaire


              • #8
                Afrique du Sud : la justice estime que le président Zuma peut être poursuivi pour corruption

                La justice a rouvert un dossier datant de 2009, dans lequel Jacob Zuma avait été inculpé pour avoir touché des pots-de-vin sur un contrat d'armement, avant que les poursuites ne soient abandonnées.

                La justice sud-africaine a confirmé vendredi que le président Jacob Zuma pouvait être poursuivi pour corruption dans un dossier relatif à des ventes d'armes ouvert contre lui il y a une dizaine d'années. Dans un jugement lu à l'audience par le juge Eric Leach, la Cour suprême d'appel de Bloemfontein a rejeté un appel du chef de l'État contre la décision de relancer contre lui 783 inculpations de corruption, fraude fiscale et extorsion de fonds.

                Vieille affaire de pots-de-vin. Cette décision renvoie la balle dans le camp du parquet général sud-africain, qui doit désormais décider de relancer ou non le dossier et, éventuellement, de renvoyer Jacob Zuma devant un tribunal. L'actuel chef de l'État est accusé d'avoir touché, alors qu'il était vice-président, des pots-de-vin pour un contrat d'armement de 4,2 milliards d'euros signé en 1999 par l'Afrique du Sud avec plusieurs entreprises européennes, dont la française Thales. Il avait alors été formellement inculpé, mais ces poursuites avaient été abandonnées en 2009 au motif qu'elles avaient été, selon le parquet général, motivées politiquement. Jacob Zuma était alors engagé dans une furieuse bataille politique avec le président de l'époque, Thabo Mbeki.
                Depuis 2009, le principal parti d'opposition, l'Alliance démocratique (DA), essaie d'obtenir la réouverture du dossier. Il a enfin obtenu satisfaction en 2016, lorsqu'un tribunal de Pretoria a jugé "irrationnel" l'abandon des poursuites engagées contre Jacob Zuma. Le parquet général et le président ont fait appel de cette décision. "Les appels sont rejetés", a estimé vendredi la Cour suprême d'appel dans son jugement. "Les raisons avancées pour interrompre les poursuites (…) ne résistent pas à l'examen", a justifié le juge Leach dans ses conclusions.

                Europe I (article d'il y' a 4 jours)
                Dernière modification par azed164, 17 octobre 2017, 11h42.

                Commentaire


                • #9
                  salam all

                  La vertu, aussi délicate qu'elle est belle, ne peut se mêler dans la foule, que sa constitution fragile et tendre n'en souffre. Il est rare qu'elle approche d'un monde impur, qu'elle le touche sans se salir. Edward Young

                  Donc commencer déjà par soi même, pour d'fendre les pauvres.
                  Dernière modification par azed164, 17 octobre 2017, 11h41.

                  Commentaire


                  • #10
                    [QUOTE]Dans le cas présent, Le Desk fait état d'un article du torchon ya./QUOTE]

                    Comme le dit hakimcasa , c'est a prendre ou a laisser.
                    Entre d'autres mots la presse marocaine peut polluer dans ses articles des fausses nouvellespar le billet de marocains de ce forum sans aucun inconvénient.
                    Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

                    Commentaire


                    • #11
                      @ Badis "Il faut expulser le Maroc de l'UA: il a réintégré l'organisation en acceptant donc de siéger avec la RASD.
                      Si c'est pour faire des magouilles à l'israélienne il faut que les Africains se débarrassent de ce régime à problème".

                      L'Union africaine connaît de graves problèmes de trésorerie et doit son existence que pour le soutien financier de l'Afrique du Sud et de l'Algérie et d'où les analystes supputent que les deux pays sont propriétaires de l'UA au sens que " qui paie...commande".

                      Ceci dit, la contribution financière du Maroc, à raison de 18 millions de dollars par année est la bienvenue. Ce d'autant que le royaume ne fait que de la figuration au sein de l'organisation panafricaine.

                      Commentaire


                      • #12
                        Voici un article de ya biladi, journal marocain pourtant, où il n'est nullement question de l'Algérie .

                        Alors cessez de rajouter cette Algérie , à tort et à travers .



                        Polisario et sommet UA-UE : Pretoria adresse un ultimatum à la Côte d’Ivoire


                        Après la colère du Polisario contre la France, c’est au tour de l’Afrique du sud de prendre le relais. Pretoria aurait menacé de changer le lieu du prochain sommet UE-UA au cas où la Côte d’Ivoire refuse d'adresser une invitation au Front.

                        Du nouveau dans la préparation du 5e sommet Union africaine-Union européenne. Apparemment, la session extraordinaire de l’UA consacrée à l’examen des documents du prochain conclave, qui s’est tenue lundi 16 octobre au siège de l’UA à Addis-Abeba, aurait appuyé la participation du Polisario à ce rendez-vous international.

                        Les médias du Front jubilent. En chœur, ils attribuent cette position au ferme soutien de l’Afrique du sud aux revendications des amis de Brahim Ghali de prendre part à la réunion internationale. Et de renchérir que Pretoria aurait même lancé un ultimatum à la Côte d’Ivoire, qui accueillera l’événement les 29 et 30 novembre prochain, pour envoyer avant le 27 octobre les invitations à l’ensemble des membres de l’organisation continentale, sans exception.
                        Dans le cas contraire, le pays de Jacob Zuma aurait menacé de changer le lieu du 5e sommet de la capitale économique ivoirienne, Abidjan, vers Addis-Abeba en Ethiopie. Par cette modification, l’Afrique du sud entend garantir une présence de la «RASD» au conclave.

                        L’Afrique du sud face à la France, un duel qui promet

                        Voilà une preuve de plus de l’influence grandissante de Pretoria sur le dossier du Sahara occidental, notamment sur la scène africaine. D’habitude ce rôle échoyait à l’Algérie.

                        Mais l’incertitude politique à Alger aggravée par la fonte rapide des milliards de dollars de réserves rend le soutien du voisin de l’Est au mouvement séparatiste plus délicat. A cela s’ajoute d’autres priorités régionales urgentes. La perspective de perdre le contrôle du Sahel mobilise la diplomatie algérienne.
                        Un vide que l’Afrique du sud comble parfaitement jusqu’à présent. Le gouvernement Zuma ne lésine pas sur les moyens pour offrir au Polisario des tribunes inespérées. La semaine dernière, il a réussi à imposer Brahim Ghali en tant qu'invité d'honneur lors d'une session du Parlement panafricain.

                        Mais la contre-offensive de Pretoria va se heurter à la position de Paris sur ce sujet. Lundi 10 octobre à Rabat, le chef de la diplomatie française a plaidé pour «une solution de consensus et que seuls les Etats souverains participent à cette réunion de partenariat UA-UE».

                        ya biladi

                        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

                        Commentaire


                        • #13
                          Envoyé par El_Hour1 Voir le message
                          Le Desk perd de sa crédibilité en publiant un tel torchon.
                          tu preferes lire la version de la poubelle? voilà

                          Le Conseil exécutif réaffirme le droit de tous les Etats membres de l'UA à prendre part aux activités et réunions de l'Organisation panafricaine

                          ADDIS-ABEBA - Le Conseil exécutif de l'Union africaine (UA), réuni lundi en session extraordinaire, a réaffirmé le droit de tous les Etats membres de l’UA à prendre part au 5ème Sommet Union africaine-Union européenne, prévu à Abidjan les 29 et 30 novembre 2017.

                          Cela a été rendu possible à travers l’adoption d’une décision qui réaffirme la nécessité du respect scrupuleux des décisions de l’Union africaine, en particulier la décision 942 de la 31ème session ordinaire du Conseil exécutif de juillet 2017, qui en plus de la réaffirmation du droit de tous les Etats membres à participer aux réunions où l’Union africaine est partie prenante, prévoit la sanction de priver les Etats membres qui ne s’y conforment pas, du droit d’abriter des réunions de l’Union.

                          Cette même décision mandate le Président de la Commission de l’Union africaine à poursuivre ses consultations de haut niveau pour débloquer cette situation, dans un délai de dix jours. Faute d’aboutissement de ces consultations sur la base du respect du droit de tous les Etats membres à prendre part au Sommet UA-UE, la décision prévoit la mise en oeuvre automatique des sanctions prévues par la décision 942, à savoir le transfert du Sommet vers le siège de l’Union africaine.

                          APS
                          "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
                          Johann Wolfgang von Goethe

                          Commentaire


                          • #14
                            " L’Afrique du sud face à la France, un duel qui promet"

                            Ne serait-ce rien que ce passage, l'article n'est pas crédible. Dès lors que le Sommet concerne l'Union européenne (UE) et l'Union africaine (UA), l'Hexagone n'est pas habilité à faire cavalier seul dans ce différend. Bien plus, il reviendrait à tous les membres de l'UE de tenter à bannir la RASD de ce Sommet. Or, connaissant les inimités entre les pays scandinaves et le Maroc, on peut difficilement croire que ceux-ci désirent exclure un membre fondateur de l'UA à ce Sommet.

                            En outre, l'envoi des invitations à ce Sommet revient au Secrétariat de l'Union africaine et non à la Côte d'Ivoire.

                            Pour preuve, Israël avait participé à la COPP22 au Maroc car c'était l'ONU qui était propriétaire de cette conférence et non le royaume car, il n'entretient pas de relations diplomatiques avec l'Etat hébreu et partant, Israël en aurait été exclu.

                            Commentaire


                            • #15
                              Le soutien marocain à l'apartheid ne pourrait-il pas s'estomper à l'instar de la complicité prouvée du Maroc lors du détournement de l'avion "marocain" devant amener la délégation algérienne à Tunis?

                              Il faut admettre la vérité et non de l'éluder.

                              - À la même période, une délégation marocaine parlementaire dirigée par Abdelkrim Khatib se rend en Afrique du Sud pour convaincre Mandela de la marocanité du Sahara. Pourtant, les deux pays solidaires dans leur indépendance vont se déchirer sur cette question.

                              La rupture se fait en 2004 quand l'Afrique du Sud, alors dirigée par Thabo Mbeki, reconnaît la RASD-.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X