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La Syrie veut expulser "israël" du Golan

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  • La Syrie veut expulser "israël" du Golan

    Par tourtaux-jacques
    Le 20/10/2017

    "La Syrie est résolue à récupérer ses terres et émanciper ses citoyens" (Bachar al-Jaafari)

    Le représentant de la Syrie auprès des Nations unies a reproché à certains membres permanents du Conseil de sécurité leur soutien à Israël qui encourage ce régime à commettre des crimes de guerre.

    Bachar al-Jaafari a déclaré, jeudi 19 octobre, lors d'une session du Conseil de sécurité sur le Moyen-Orient, que le soutien indéfectible qu'apportaient certains membres permanents du Conseil de sécurité à Israël exhortait ce dernier à commettre des "crimes" de guerre et des "crimes contre l'humanité".

    Il a ensuite réservé à la Syrie le droit de prendre le contrôle des hauteurs du Golan, occupées actuellement par Israël. "C'est un droit incontestable qui ne peut faire l'objet de négociations", a-t-il martelé.

    Bachar al-Jaafari a souligné que "toutes les régions occupées et tous les droits confisqués par le régime d'Israël devront définitivement être récupérés et rendus à leurs propriétaires légaux".

    "Les colons israéliens devront quitter le Golan, tôt ou tard", a-t-il souligné.
    Le représentant permanent de la Syrie auprès de l'ONU a ajouté que son pays ne reculerait devant rien pour reprendre ses territoires et émanciper ses citoyens vivant actuellement au Golan, sous l'occupation du régime israélien. "Cela relève des lois internationales et des résolutions du Conseil de sécurité", a-t-il indiqué.

    Et de préciser: "L'étrange silence de plomb de la communauté mondiale vis-à-vis des politiques de Tel-Aviv, lui laisse champ libre pour violer les résolutions du Conseil de sécurité et soutenir les groupes terroristes actifs au Golan, dont le Front al-Nosra et Daech."

  • #2
    "La Syrie est résolue à récupérer ses terres et émanciper ses citoyens"(Bachar al-Jaafari)
    C'est du blabla.
    N'est pas Nasrallah qui veut !

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    • #3
      Ensuite après la récupération du Golan, les Palestiniens expulseront "israel" de Palestine ?

      Commentaire


      • #4
        @lalfisiste

        C'est du blabla.
        N'est pas Nasrallah qui veut !
        Assad et Nasrallah ensemble luttent contre les takfiristes de l'entité sioniste, les deux, avec l'appui de leurs alliés, surtout de l'Iran, vont expulser l'entité sioniste du Golan, ensuite de la Palestine !!

        Le sort des pieds noirs attend les sionistes.

        Commentaire


        • #5
          Même avant la guerre civile la Syrie n'avait pas les moyens militaire de récupérer le Golan.

          Cette armée c'est une grosse blague qui ne doit sa survie qu'aux groupuscules armées tel que le Hezbollah.

          Depuis des temps immémoriaux l'espace aérien syrien se fait impunément violer par Israel ,et ils n'ont jamais pu s'en prémunir.

          Rien que la dernière fois ils ont ciblés avec leur système de DAT des avions militaire israéliens survolant le Liban , aucune cible ne fut atteinte mais encore , Israel à riposter en toute tranquillité en bombardant les positions des systèmes de DAT sans que l'armée arabe syrienne ne puisse contre-riposter.

          Commentaire


          • #6
            Depuis des temps immémoriaux l'espace aérien syrien se fait impunément violer par Israel ,et ils n'ont jamais pu s'en prémunir.
            Au delà de la censure: la première mission de combat du F-35 pas très convaincante…

            21 Octobre 2017

            Quel est l’intérêt de développer un avion de combat à coups de centaines de milliards de dollars US si ce dernier s’avère:

            1- Incapable de faire face à un volatile, en l’occurrence un oiseau migrateur qui aurait quitté les lieux il y a un mois (cela en dit long sur le choix de la communication de crise);
            2- Inapte à échapper aux capteurs et radars adverses;
            3- Avoir des systèmes opto-électroniques tellement fragiles qu’à la première vibration 40% des commandes de vol est en statut: HS (que dire alors en cas d’EMP?);
            4- Vulnérable à l’explosion d’un missile de l’ère soviétique (amélioré) à proximité;
            5- totalement inapte à atterrir en extrême urgence sans briser ses trains roulants et sortir de la piste…

            Ce n’est pas exhaustif mais c’est, selon toute vraisemblance, la mésaventure survenue à l’un des premiers F-35 opérationnels en zone de combat (bon en pré-zone car le Liban ne dispose d’aucune défense aérienne).

            A ce rythme, va falloir soit allonger la note déjà salée et remédier aux carences, soit revenir aux Mustang P-51, aux Spitfire, aux Messerschmitt et aux Mitsubishi Zéro (aux moins ces zincs là étaient bien plus fiables que cet avion de 5ème génération…)
            strategika51.wordpress




            Damas cible des avions israéliens au dessus du Liban

            17.10.2017

            La décision de cibler avec des missiles SAM des avions de combat israéliens violant l’espace aérien du Liban fut ordonnée directement par la présidence syrienne.

            Cette décision a été prise en concertation avec l’allié iranien au lendemain d’un bombardement aérien israélien ayant visé des cibles militaires syriennes à partir du Liban et se veut comme un avertissement adressé par l’axe Damas-Téhéran à Tel-Aviv.

            C’est la première fois depuis 1983 que les défenses antiaériennes syriennes entrent en action contre des cibles aériennes israéliennes évoluant au dessus du Liban.

            D’après les informations disponibles, il ne s’agissait pas d’un vol de reconnaissance mais d’une formation en ordre de combat. Les Israéliens ont d’ailleurs riposté en tirant des missiles anti-radar (ARM) sur une batterie de missiles Sol-Air syrienne située à 50 km à l’Est de Damas. Un avion de combat de type F-35 aurait été gravement endommagé lors d’une manœuvre d’esquive après l’échec des contre-mesures électroniques.

            Cependant, de source militaire syrienne, la batterie SAM ayant ouvert le feu sur les avions israéliens au dessus du Liban était située au Golan et n’aurait donc pas été touchée. A Damas, on s’interroge sur la réaction très limitée des Israéliens, lesquels ont probablement voulu éviter une escalade tant que les motivations réelles de l’adversaire ne sont pas connues.

            Les Israéliens ont tiré « plusieurs » missiles anti-radiation et l’un d’eux s’est abattu sur une station d’écoute Radio de l’armée de l’air situées à l’est de Damas, causant des dommages matériels.

            Selon les informations publiques, la batterie visée, un système SA-5 (S-200)/Gammon, aurait tiré une salve de missiles en direction d’au moins quatre avions de combat israéliens en mission au dessus du territoire libanais. Les Syriens indiquent que l’expérience récente leur a appris que l’usage du S-200 n’est pas approprié dans de tels cas de figure. Ce qui laisse penser à un autre système d’armes.

            Côté israélien, on affirme qu’une mission de reconnaissance de routine au dessus du Liban a été ciblée par un ou deux missiles SA-5 syriens et que les avions de combat de Tsahal ont riposté en détruisant la batterie ayant lancé ces missiles. Tous les appareils sont rentrés intacts à leur base de départ.

            D’une manière assez étonnante, c’est du côté de la rébellion syrienne soutenue par Washington, notamment l’Armée syrienne libre, qu’on affirme qu’un F-35 israélien aurait été touché par un missile SAM syrien tiré à partir d’une position située sur la partie du plateau du Golan non occupée par Israël.

            Quoi qu’il en soit, un pays affaibli par une terrible guerre de plus de six années, dont les forces armées seraient fortement affaiblies, a lancé des missiles Sol-Air en direction d’avions de combat israéliens violant l’espace aérien du Liban à des fins dissuasives. Un message lourd de sens.

            strategika51.wordpress

            Quelques heures après l’incident de missile avec la Syrie, les médias israéliens ont rapporté que le chasseur multirôle furtif F-35 de l’armée de l’air israélienne était devenu inutilisable suite à une collision d’oiseaux présumée pendant un vol d’entraînement.
            Cependant, les sources israéliennes n’ont pas pu montrer une photo de l’avion de combat F-35 après la « collision d’oiseaux ».

            Ainsi, selon la version israélienne, l’avion de combat ne serait plus opérationnel après la collision avec les oiseaux, bien que le F-35 ait déjà obtenu la certification des impacts d’oiseaux avec d’excellents résultats ( informations officielles consultables ).

            Par conséquent, qu'est-ce qui a vraiment touché le F35 ?

            Le F-35 est l’avion le plus cher du monde. Le prix du développement du F-35 est maintenant d’environ 406,5 milliards de dollars.

            Israël achète activement le chasseur le plus avancé du monde autoproclamé en payant environ 100 millions de dollars pour chaque avion.

            southfront.org
            Dernière modification par choucha, 22 octobre 2017, 06h37.

            Commentaire


            • #7
              Tel-Aviv visait une cible mouvante du Hezbollah, mais s’est buté aux nouvelles « règles d’engagement » : préparez-vous à la guerre

              20.10.2017

              Par Elijah J. Magnier

              Il y a quelques jours, des avions à réaction israéliens ont violé l’espace aérien libanais (ce n’était pas les « vols de reconnaissance habituels », comme l’a prétendu le porte-parole officiel d’Israël) pour aller bombarder un convoi du Hezbollah (les camions chargés d’armes habituels) se dirigeant de la Syrie au Liban, selon une source bien informée. L’armée syrienne a alors utilisé un vieux système de missiles sol-air SA-5 (S-200) pour lancer un missile contre les avions israéliens dans le ciel libanais, afin de détourner leur attention de la cible mouvante. Cette réaction syrienne constituait une menace directe, ressentie comme telle par le commandement israélien, contre les avions israéliens qui ont réussi à éliminer le missile. L’armée de l’air israélienne a ensuite ordonné aux avions de retourner à leur base aux fins d’évaluation. Une heure plus tard, Tel-Aviv a ordonné que des avions survolent les hauteurs du Golan occupé et visent un poste militaire syrien fixe en guise de représailles, en ne prêtant plus attention au convoi du Hezbollah.

              Le commandement syrien n’a pas décidé sur-le-champ de prendre pour cible des avions israéliens au-dessus du Liban ce jour-là. Cette décision a été prise lors d’une réunion des dirigeants de la Syrie, du Hezbollah et de l’Iran, qui ont convenu d’adopter des mesures graduelles contre Israël pour qu’il comprenne le message.

              Il y a une dizaine de jours, les batteries antiaériennes syriennes ont tiré sur des avions israéliens qui violaient l’espace aérien syrien. Quelques jours plus tard, la Syrie a abattu un drone israélien. Dernier élément, mais pas le moindre, la Syrie a lancé un missile SA-5 (retiré du service par la Russie depuis des décennies) contre des avions israéliens.

              C’est ainsi que le Hezbollah procède (qu’on pourrait qualifier « d’effet boule de neige ») à chaque bataille ou guerre contre Israël, afin d’éviter de brûler des ponts et d’évaluer la réaction de l’ennemi. Aujourd’hui, la même tactique est employée en Syrie, où l’expérience acquise par le Hezbollah, qui ne cesse d’augmenter, est mise aussi à profit par le haut commandement syrien qu’il a intégré. Pour combattre Israël, les obstacles frontaliers entre le Liban et la Syrie ont été levés, probablement pour de bon.

              Le premier message est on ne peut plus clair : selon la source, s’il y a une nouvelle confrontation ou guerre entre le Hezbollah et Israël, le ciel au-dessus du Liban et ses frontières avec Israël et la Syrie formeront un même front. Le second message, qui est le plus important, c’est que l’armée syrienne est plus sûre que jamais de sa victoire : la Russie a établi des zones de désescalade, Al-Qaeda est contenu pour le moment et Daech (le groupe armé « État islamique) ne détient plus qu’un parcelle du territoire qu’il occupait, en étant confiné au nord-est le long de la frontière entre la Syrie et l’Irak.

              Pour le moment, la puissance de l’armée syrienne semble pratiquement illimitée. Elle compte plus de 200 000 hommes (armée, forces nationales et alliés y compris), pour la plupart des combattants d’expérience bien entraînés. Après six ans de guerre dévastatrice, ils donneront sûrement leur assentiment à Damas s’il s’engage contre Israël au moment jugé propice à toute bataille à venir, peu importe les conséquences. La Syrie est déterminée à libérer les hauteurs du Golan et se tiendra aux côtés du Hezbollah (et vice versa) dans toute guerre future.

              La Russie a annoncé la mise à jour du système de défense antiaérienne de la Syrie. Israël a entendu le message que ce système pourrait être utilisé à tout moment, à la discrétion des Syriens. La Russie a également fait savoir qu’elle n’avait pas l’intention d’intervenir dans toute guerre entre la Syrie et Israël et que, par conséquent (notez le message subtilement confus qui suit!), elle ne voit rien de mal à ce que Damas utilise des missiles russes pour se défendre, de la même façon qu’Israël frappe la Syrie et le Hezbollah en invoquant « sa légitime défense et sa sécurité nationale ».

              Quant au président syrien Bachar al-Assad, il est convaincu que la présence russe contribue à maintenir l’unité de la Syrie et il compte sur le Hezbollah et le Corps des Gardiens de la révolution islamique, qui l’ont appuyé durant la guerre, pour qu’ils l’aident à reprendre l’ensemble du territoire syrien. Assad attend avec impatience le moment où il se retrouvera aux côtés de « l’axe de la résistance » (dont il fait partie), en cas de menace. Ce qu’a fait Assad en ouvrant ses magasins d’armes au Hezbollah en 2006 peut maintenant être perçu comme un petit geste appartenant au passé. Dans la prochaine lutte contre Israël, Assad va engager toute l’armée syrienne dans la bataille, pour faire la guerre côte à côte avec le Hezbollah (secrétaire général Sayyed Hassan Nasrallah).

              De son côté, Israël tentera de maintenir le « ciel ouvert » et d’empêcher l’existence même d’un espace libanais distinct. La Syrie va persévérer dans sa volonté de tirer sur des avions israéliens (quand il seront à portée du système de défense antiaérienne syrien) et les prendra pour cibles même si elle a peu de chance de les abattre.

              La décision est prise : si on en vient à la guerre, la Syrie et le Liban vont s’engager dans une guerre à grande échelle et sans merci contre Israël. C’est une décision politique et militaire qui émane des dirigeants syriens et de leurs alliés. Cette décision traduit le refus de Damas de tendre la joue gauche vers Israël (comme par le passé), même si cela porte atteinte à la sécurité de la Syrie et rend son territoire et son espace aérien vulnérables, y compris l’espace aérien libanais, qui entre maintenant dans la balance. Pour sa part, Israël estime que toute guerre future contre le Hezbollah embrasera tout le Liban et la Syrie et engagera toutes les forces de ses alliés actives au Levant. La Syrie, qui est en meilleure posture que jamais depuis les six dernières années, peut aujourd’hui de façon réaliste et explicite considérer toute menace contre le Liban comme une menace contre Damas.

              Israël a compris les nouvelles règles d’engagement et a lancé ses roquettes à partir des territoires qu’il occupe sur les hauteurs du Golan, plutôt qu’au-dessus du ciel syrien ou libanais. Ce qui ne veut pas dire qu’Israël n’essayera pas de nouveau. Sauf que ses dirigeants savent que dorénavant, la « promenade » est terminée. D’ailleurs, à la suite du lancement du missile syrien, Israël a aussitôt déclaré qu’il n’avait « aucun intérêt à pousser à une escalade ».

              C’est aussi une indication qu’Israël n’est pas prêt. Israël n’est pas préparé sur le front interne. Le Hezbollah a pris énormément d’expérience de guerre en Syrie et le Corps des Gardiens de la révolution islamique maintient ouvertement une présence en Syrie (une présence opérationnelle, avec ses drones armés modernes et ses forces terrestres). Mais il y a plus encore. Donald Trump n’a pas l’intention de s’engager dans une guerre au Moyen-Orient, ni pour les Kurdes (qui veulent leur indépendance), ni pour les Arabes, ni pour Israël (qui veulent désespérément une défaite de l’Iran et du Hezbollah).

              La guerre en Syrie est sur le point de se terminer après six longues années. La nouvelle équation qui en découle ne favorise pas Israël. Tel-Aviv va continuer de vociférer contre l’Iran et le Hezbollah. Mais ses actions se limiteront à des opérations de sécurité et à des frappes sporadiques, car il y en a qui ont le doigt sur la gâchette et qui sont prêts à user de représailles, tout en prenant de la force. Lorsque Nasrallah a dit « il y a des centaines de milliers d’hommes prêts à combattre Israël si une guerre est engagée », il savait qu’il est parvenu à établir un front uni avec la Syrie et tous ses alliés, prêt à combattre comme un seul corps. Il est certain qu’Assad et Nasrallah voudront reprendre les territoires syriens et libanais sous occupation israélienne. Sauf qu’ils ont dorénavant de plus en plus les moyens d’y parvenir.

              elijahjm.wordpress

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              • #8
                C'est que du blabla , tant que les arabes ne s'entendront jamais , il ne faut pas trop rêvasser
                Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
                (Paul Eluard)

                Commentaire


                • #9
                  C'est que du blabla , tant que les arabes ne s'entendront jamais , il ne faut pas trop rêvasser
                  Qui parle d'Arabes ici ?? Il s'agit de Perses en l’occurrence les Iraniens !

                  Commentaire


                  • #10
                    Qui parle d'Arabes ici ?? Il s'agit de Perses en l’occurrence les Iraniens !
                    Et des russes également, pour qui la Syrie représente l'axe central d'une zone "amie" et dont le perte signifie celle de sa présence militaire et, par la même, son éjection du jeu politique dans la région. Pour ces raisons, il est plus que probable que la réaction de la Syrie ait reçu l'assentiment préalable de la Russie.
                    ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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                    • #11

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