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Vivant près de la forêt urbaine d'accord avec notre interface de l'amygdale.
TOM JACOBS OCT 20, 2017
Que des images de la Californie du Nord encore confirmer les feux, vivant sur le bord d'une forêt est livré avec des dangers considérables. Mais de nouvelles recherches de l'Allemagne suggère la proximité d'un paysage boisé peut également avoir un avantage énorme.
Dans une étude des plus urbains, il a trouvé la vie à proximité de terres forestières est liée à une forte, bon fonctionnement d'une partie clé du cerveau. Ceci indique que, par rapport à ceux qui vivent dans un environnement à l'homme pour la plupart, les gens qui habitent sur la frontière entre ville et forêt peut être mieux en mesure de faire face au stress.
Les conclusions suggèrent "forêts dans et autour des villes sont une ressource précieuse qui doit être promu," écrit une équipe de recherche dirigée par Simone Kuehn de l'Institut Max Planck pour le développement humain à Berlin. Ses recherches sont publiées dans le journal Rapports scientifiques.
Les chercheurs ont analysé des données sur 341 participants à l'étude de vieillissement Berlin II, qui tous vivaient dans la ville et étaient âgés entre 61 et 82. Ils ont spécifiquement examiné "trois types d'indicateurs de l'intégrité structurale du cerveau", "qui ont tous offert des informations distinctes" sur plusieurs régions du cerveau.
Ils ont également noté la quantité de terres forestières dans un rayon d'un kilomètre de chaque participant et son adresse personnelle. (Un grand nombre d'entre eux vivaient à la périphérie de la ville, à proximité de zones boisées.)
"Nos résultats révèlent une association positive significative entre la couverture de l'intégrité des forêts et de l'amygdale," le rapport des chercheurs. L'amygdale est la mise en forme d'amande de neurones qui joue un rôle clé dans le traitement des émotions, y compris la peur et l'anxiété.
Peut-être étonnamment, Kuehn et ses collègues n'ont trouvé aucune association de ce genre de vie en étroite relation avec les espaces verts tels que les parcs, ou près de plans d'eau. Seule la proximité de terres forestières avaient cette apparente effet positif.
Les chercheurs soulignent que ces résultats ne sont pas à prouver la causalité*; il est possible que, pour quelque raison, les personnes atteintes de l'amygdale en meilleure santé choisissent de vivre près des forêts. Mais cela semble improbable, que l'on puisse dire.
L'étude complète le déjà-psychologique forte preuve des avantages de la vie proche de la nature. Des recherches antérieures ont aussi accès à des espaces verts pour plus longtemps, l'abaissement des niveaux d'agression, et kids' le développement cognitif. Une étude suggère même qu'il rend plus agréable pour les gens.
En outre, une autre étude publiée récemment suggère les futurs voyages spatiaux devrait comprendre la vie des plantes. Il constate que, pour les astronautes, l'interaction avec verdure peut aider à réduire les problèmes sociaux et cognitifs associés aux voyages dans l'espace.
Plus de recherches seront nécessaires pour confirmer que les terres forestières a une plus forte, une incidence mesurable sur la santé du cerveau que l'exposition à d'autres formes de la nature. Mais la preuve que, dans le montage permet des périodes stressantes, il y a beaucoup à gagner à vous entourer avec plantes et arbres.
PAR TOM JACOBS
TOM JACOBS OCT 20, 2017
Que des images de la Californie du Nord encore confirmer les feux, vivant sur le bord d'une forêt est livré avec des dangers considérables. Mais de nouvelles recherches de l'Allemagne suggère la proximité d'un paysage boisé peut également avoir un avantage énorme.
Dans une étude des plus urbains, il a trouvé la vie à proximité de terres forestières est liée à une forte, bon fonctionnement d'une partie clé du cerveau. Ceci indique que, par rapport à ceux qui vivent dans un environnement à l'homme pour la plupart, les gens qui habitent sur la frontière entre ville et forêt peut être mieux en mesure de faire face au stress.
Les conclusions suggèrent "forêts dans et autour des villes sont une ressource précieuse qui doit être promu," écrit une équipe de recherche dirigée par Simone Kuehn de l'Institut Max Planck pour le développement humain à Berlin. Ses recherches sont publiées dans le journal Rapports scientifiques.
Les chercheurs ont analysé des données sur 341 participants à l'étude de vieillissement Berlin II, qui tous vivaient dans la ville et étaient âgés entre 61 et 82. Ils ont spécifiquement examiné "trois types d'indicateurs de l'intégrité structurale du cerveau", "qui ont tous offert des informations distinctes" sur plusieurs régions du cerveau.
Ils ont également noté la quantité de terres forestières dans un rayon d'un kilomètre de chaque participant et son adresse personnelle. (Un grand nombre d'entre eux vivaient à la périphérie de la ville, à proximité de zones boisées.)
"Nos résultats révèlent une association positive significative entre la couverture de l'intégrité des forêts et de l'amygdale," le rapport des chercheurs. L'amygdale est la mise en forme d'amande de neurones qui joue un rôle clé dans le traitement des émotions, y compris la peur et l'anxiété.
Peut-être étonnamment, Kuehn et ses collègues n'ont trouvé aucune association de ce genre de vie en étroite relation avec les espaces verts tels que les parcs, ou près de plans d'eau. Seule la proximité de terres forestières avaient cette apparente effet positif.
Les chercheurs soulignent que ces résultats ne sont pas à prouver la causalité*; il est possible que, pour quelque raison, les personnes atteintes de l'amygdale en meilleure santé choisissent de vivre près des forêts. Mais cela semble improbable, que l'on puisse dire.
L'étude complète le déjà-psychologique forte preuve des avantages de la vie proche de la nature. Des recherches antérieures ont aussi accès à des espaces verts pour plus longtemps, l'abaissement des niveaux d'agression, et kids' le développement cognitif. Une étude suggère même qu'il rend plus agréable pour les gens.
En outre, une autre étude publiée récemment suggère les futurs voyages spatiaux devrait comprendre la vie des plantes. Il constate que, pour les astronautes, l'interaction avec verdure peut aider à réduire les problèmes sociaux et cognitifs associés aux voyages dans l'espace.
Plus de recherches seront nécessaires pour confirmer que les terres forestières a une plus forte, une incidence mesurable sur la santé du cerveau que l'exposition à d'autres formes de la nature. Mais la preuve que, dans le montage permet des périodes stressantes, il y a beaucoup à gagner à vous entourer avec plantes et arbres.
PAR TOM JACOBS