J'apprécie ce genre d'initiative qui permet de débattre sur la place de la femme dans la société et le droit. C'est novateur et cela démontre aussi que la place de la femme est toujours en constante évolution en Algérie et c'est plutôt encourageant.
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Dans le cadre de la sensibilisation sur les questions féminines, une rencontre organisée par le Centre d’information et documentation sur les droits de l’enfant et les droits des femmes (Ciddef), avec les représentantes des partis politiques, sous le thème " La place de la femme dans la société et le droit ", a eu lieu hier, à l’Institut national de la santé publique.
Cette rencontre est la première du genre, selon Mme Nadia Ait Zaî, directrice du Ciddef :
"C’est une première expérience engagée avec les partis politique dont le but est d’initier les femme à un vrai débat politique pour une vision d’avenir du statut de la femme dans la société ".
Parmi les partis politiques conviés à ce rendez-vous, seuls le RND, le MDS, le FNA et le RCD ont répondu présents. La représentante du RND, Mme Fatma-Zohra Flici a repris la revendication de son parti en disant que " le secrétaire général exige au minimum 20% de représentation féminine au Conseil national ". Elle a estimé que l’égalité entre la femme et l’homme (égalité de sexe ou de droit) est encore loin d’etre une réalité. "Il reste beaucoup à faire" , a-elle déclaré et d’ajouter qu’ " on doit se soutenir et être solidaire pour avoir une place dans la société ".
De son côté, Mme Samia Kaid a incité la femme à se présenter au différents rendez-vous électoraux pour avoir sa place sur la scène politique. En outre, Mme Aouicha Bakhti s’est basée lors de son intervention sur la citoyenneté de la femme et de l’homme elle dira qu’ " il n’y a pas de différence entre eux”. " Le combat qu’on mène n’est pas seulement un combat de collectifs de femmes mais de tout un parti politique " a-t-elle ajouté. A la question du quotidien de la femme, concernant la violence et le harcèlement verbal ou sexuel, et les moyens de les combattre, la représentante du FNA a tenu à signaler que " pour arriver à arrêter ce phénomène, cela doit commencer, en premier lieu, au niveau de la famille pour s’étendre ensuite aux écoles et à la société en dernier lieu ".
Par ailleurs, les représentantes des partis politiques présents sont revenues sur " l’affaire de Hassi Messaoud ", en la qualifiant " d’horrible et d’injuste " elles préciserant que c’est grâce aux associations qui ont réagi pour informer l’opinion publique que la prise en charge des victimes est devenue effective. Un travail pas uniquement de changement de mentalité des hommes au sein des partis politique reste le seul objectif pour le moment et puis on entamera les autres secteurs ", a affirmé, Mme Nafissa Lahreche, présidente de l’association Femmes en communication, dans son intervention. Pour terminer, toutes les représentantes étaient unanimes pour avancer que " cela reste avant tout un combat social et pas uniquement politique ".
Par la dépêche de Kabylie
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Dans le cadre de la sensibilisation sur les questions féminines, une rencontre organisée par le Centre d’information et documentation sur les droits de l’enfant et les droits des femmes (Ciddef), avec les représentantes des partis politiques, sous le thème " La place de la femme dans la société et le droit ", a eu lieu hier, à l’Institut national de la santé publique.
Cette rencontre est la première du genre, selon Mme Nadia Ait Zaî, directrice du Ciddef :
"C’est une première expérience engagée avec les partis politique dont le but est d’initier les femme à un vrai débat politique pour une vision d’avenir du statut de la femme dans la société ".
Parmi les partis politiques conviés à ce rendez-vous, seuls le RND, le MDS, le FNA et le RCD ont répondu présents. La représentante du RND, Mme Fatma-Zohra Flici a repris la revendication de son parti en disant que " le secrétaire général exige au minimum 20% de représentation féminine au Conseil national ". Elle a estimé que l’égalité entre la femme et l’homme (égalité de sexe ou de droit) est encore loin d’etre une réalité. "Il reste beaucoup à faire" , a-elle déclaré et d’ajouter qu’ " on doit se soutenir et être solidaire pour avoir une place dans la société ".
De son côté, Mme Samia Kaid a incité la femme à se présenter au différents rendez-vous électoraux pour avoir sa place sur la scène politique. En outre, Mme Aouicha Bakhti s’est basée lors de son intervention sur la citoyenneté de la femme et de l’homme elle dira qu’ " il n’y a pas de différence entre eux”. " Le combat qu’on mène n’est pas seulement un combat de collectifs de femmes mais de tout un parti politique " a-t-elle ajouté. A la question du quotidien de la femme, concernant la violence et le harcèlement verbal ou sexuel, et les moyens de les combattre, la représentante du FNA a tenu à signaler que " pour arriver à arrêter ce phénomène, cela doit commencer, en premier lieu, au niveau de la famille pour s’étendre ensuite aux écoles et à la société en dernier lieu ".
Par ailleurs, les représentantes des partis politiques présents sont revenues sur " l’affaire de Hassi Messaoud ", en la qualifiant " d’horrible et d’injuste " elles préciserant que c’est grâce aux associations qui ont réagi pour informer l’opinion publique que la prise en charge des victimes est devenue effective. Un travail pas uniquement de changement de mentalité des hommes au sein des partis politique reste le seul objectif pour le moment et puis on entamera les autres secteurs ", a affirmé, Mme Nafissa Lahreche, présidente de l’association Femmes en communication, dans son intervention. Pour terminer, toutes les représentantes étaient unanimes pour avancer que " cela reste avant tout un combat social et pas uniquement politique ".
Par la dépêche de Kabylie
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