La société algérienne et son hypocrisie “religieuse” :
Le regard très critique d’un homme politique
C’est un livre très osé. Son auteur est Soufiane Djilali, le président de Jil Jadid.
La Société Algérienne, Choc de la Modernité, crise des valeurs et des croyances, cet ouvrage ne manquera pas de susciter la polémique car il dissèque la société traditionnelle algérienne et porte un regard très critique sur les dérives du conservatisme religieux de nos compatriotes.
Une contribution de très grande facture intellectuelle pouvant aider «à comprendre une réalité algérienne complexe et en crise, pour tenter de profiler un projet de société». Ecriture déchiffrée très facilement.
Citations :
Entretien avec Soufiane Djilali à propos de son livre très critique
Le regard très critique d’un homme politique
La société Algérienne : Choc de la modernité, Crise des valeurs et des croyances
C’est un livre très osé. Son auteur est Soufiane Djilali, le président de Jil Jadid.
La Société Algérienne, Choc de la Modernité, crise des valeurs et des croyances, cet ouvrage ne manquera pas de susciter la polémique car il dissèque la société traditionnelle algérienne et porte un regard très critique sur les dérives du conservatisme religieux de nos compatriotes.
Une contribution de très grande facture intellectuelle pouvant aider «à comprendre une réalité algérienne complexe et en crise, pour tenter de profiler un projet de société». Ecriture déchiffrée très facilement.
Citations :
- «On ne peut concevoir un projet de société sans d'abord analyser et même psychanalyser la société elle -même» (p.15),
- «Le «bien» ne résulte pas de l'éradication des pulsions fondamentales de l'humain mais de leur délicat et fragile équilibre et de leur sublimation en actes créateurs grâce à la raison, l'intelligence et l'intuition» (p.8) ,
- «Lorsque la nation est consolidée, elle peut donner naissance à une civilisation» (p.41),
- «L'homme de la tradition ne peut vivre qu'une seule alternative : dominer et ou être dominé» (p.67),
- «De moins en moins, l'Algérien accepte le rapport de force. Il appelle au rapport de raison. Mais ces notions sont confuses. Tout en refusant la relation dominant-dominé, il n'a aucun modèle de rechange. Les conflits deviennent de plus en plus durs» (p.117),
- «L'exercice de la responsabilité pour l'homme suppose celui de la liberté. Mais, une liberté sans responsabilité deviendrait vite une source de désordre dans la société» (p.184).
Entretien avec Soufiane Djilali à propos de son livre très critique
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