Changer de modèle de développement : c’est aujourd’hui le challenge auquel doivent faire face les responsables gouvernementaux. Car, comme l’a dit le Roi Mohamed IV dans son dernier discours, le modèle de développement national «s’avère aujourd’hui inapte à satisfaire les demandes et les besoins des citoyens, à réduire les disparités catégorielles et les écarts territoriaux et à réaliser la justice sociale».
Ce constat fait, le Roi Mohamed IV appelle dès lors «le gouvernement, le parlement et les différentes institutions ou instances concernées, chacun dans son domaine de compétence, à reconsidérer notre modèle de développement pour le mettre en phase avec les évolutions que connaît le pays».
Ce constat amer, plusieurs observateurs avertis de la scène économique, l’avaient déjà fait, sans pour autant avoir une oreille attentive de la part des gouvernements en place.
Aujourd’hui, la donne a visiblement changé. Les consciences ont subi un électrochoc qui risque de changer profondément la conduite des affaires du Royaume, d’autant que le pays aspire à donner un sérieux coup de fouet à son processus de développement, mais, surtout, jouer un rôle autrement plus important sur la scène économique nationale.
Faut-il dès lors réinitialiser les compteurs et repartir de zéro en bâtissant de nouvelles fondations ? Ou faut-il, au contraire, capitaliser sur l’existant ? Les avis sont à l’évidence partagés. Quand bien même il faut reconnaître que le Maroc a initié, ces dernières années, un processus de transformation économique qui, certes, n’a pas atteint tous ses objectifs, mais produit in fine quelques résultats probants.
C’est le cas notamment des nouveaux métiers mondiaux du Maroc, avec en tête de liste les industries automobile et aéronautique. Néanmoins, il faut convenir d’une chose : quelle que soit l’approche choisie pour mettre en place un nouveau modèle de développement, son efficacité se mesurera à l’aune de sa capacité à générer de la richesse au bénéfice de tous les citoyens, dans le cadre citoyens, dans le cadre notamment d’une croissance inclusive.
Africain/financenew
Ce constat fait, le Roi Mohamed IV appelle dès lors «le gouvernement, le parlement et les différentes institutions ou instances concernées, chacun dans son domaine de compétence, à reconsidérer notre modèle de développement pour le mettre en phase avec les évolutions que connaît le pays».
Ce constat amer, plusieurs observateurs avertis de la scène économique, l’avaient déjà fait, sans pour autant avoir une oreille attentive de la part des gouvernements en place.
Aujourd’hui, la donne a visiblement changé. Les consciences ont subi un électrochoc qui risque de changer profondément la conduite des affaires du Royaume, d’autant que le pays aspire à donner un sérieux coup de fouet à son processus de développement, mais, surtout, jouer un rôle autrement plus important sur la scène économique nationale.
Faut-il dès lors réinitialiser les compteurs et repartir de zéro en bâtissant de nouvelles fondations ? Ou faut-il, au contraire, capitaliser sur l’existant ? Les avis sont à l’évidence partagés. Quand bien même il faut reconnaître que le Maroc a initié, ces dernières années, un processus de transformation économique qui, certes, n’a pas atteint tous ses objectifs, mais produit in fine quelques résultats probants.
C’est le cas notamment des nouveaux métiers mondiaux du Maroc, avec en tête de liste les industries automobile et aéronautique. Néanmoins, il faut convenir d’une chose : quelle que soit l’approche choisie pour mettre en place un nouveau modèle de développement, son efficacité se mesurera à l’aune de sa capacité à générer de la richesse au bénéfice de tous les citoyens, dans le cadre citoyens, dans le cadre notamment d’une croissance inclusive.
Africain/financenew
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