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Algérie : Les prix d'un rêve irréalisable

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  • Algérie : Les prix d'un rêve irréalisable

    Alger - Rabeh Bouterfa
    12 Février 2007


    Les excédents financiers collectés ces dernières années des revenus pétroliers ont encouragé les dirigeants algériens à se rappeler leur éternel rêve de «puissance régionale». C’est dans cette perspective qu’ils ont ouvert, en même temps, plusieurs fronts. Les risques d’échec sont plus importants que les chances de succès.

    Les déclarations qui ne manquent pas de provocation, émanant de la majorité des ministres algériens ces derniers temps, montrent que le pouvoir en place n’arrive plus à se maîtriser. «Si le prix du baril du pétrole à 60 $, les a rendus arrogants, le rêve de participer à un cartel gazier avec les Russes les rapprochent de la folie des grandeurs». Telle est la remarque faite récemment par un ancien Premier ministre algérien en présence d’un Général à la retraite qui faisait un jour la pluie et le beau temps dans le pays. Pour ce dernier, les adversités qu’avait «acheté» le pouvoir, notamment depuis un peu plus d’un an aussi bien sur le plan régional maghrébin qu’international, ne ramèneront certainement pas des fins heureuses. Ceux qui ouvrent les fronts partout doivent mettre fin à ces aventures risquées, conclut-il. De leur côté, les analystes politiques soulignent que l’Algérie n’avait jamais vu, depuis l’indépendance en 1962, un tel nombre de litiges et de tensions avec les Etats voisins et lointains. Le pire, selon ces experts, c’est que les responsables ne sont pas conscients de la gravité de la situation. Ce qui incite à s’interroger sur les raisons pour lesquelles les plus avisés du système, l’éminence grise de la Grande muette comprise, s’abstiennent d’arrêter cette dérive politique. Les cercles proches de celle-ci laissent entendre que le moment n’est pas encore venu, d’autant que les lignes rouges sont loin d’être franchies. Ce n’est pas de l’avis des personnalités de l’opposition tels que les anciens Premiers ministres, Miloud Hamrouche ou Ahmed Benbitour, qui considèrent que se battre sur plusieurs fronts, en même temps, est une sorte de «guerre d’usure» pour l’Algérie. Celle-ci, qui n’est pas encore sortie de l’ornière, même si l’on fait entrer dans la tête de ses dirigeants, actuellement au pouvoir, qu’elle est retournée en force sur la scène internationale, et que, renforcée par ses revenus pétroliers, son «matelas de devises», et surtout, son surarmement en cours, elle pourra faire face à tous ceux qui s’opposeront à son éternel rêve de puissance régionale.

    Des fronts partout

    La tension qui monte chaque jour d’un cran entre la Libye et l’Algérie prouve que le conflit du Sahara n’est pas le seul que cette dernière ravive dans la région. En effet, depuis environ un an, on assiste à des «accrochages» médiatiques entre Tripoli et Alger. Tantôt à cause des Touaregs qui, selon les autorités algériennes, jouent un rôle perturbateur aux frontières avec le Mali, sur demande et soutien du Colonel Kadhafi en personne. Tantôt, en raison du sabotage par ce dernier de la tenue du sommet de l’UMA (Union du Maghreb Arabe) du fait qu’il s’est rangé aux côtés du Maroc dans l’affaire du Sahara. Ou bien, et c’est ce que les deux parties, hésitent à évoquer explicitement, à cause du conflit frontalier qui couve entre eux depuis des années sans arriver à un tracé qui met fin aux bombes à retardements. Ce qui, semble-t-il, monte aujourd’hui à la surface. Les responsables algériens avaient déclaré, en automne dernier, qu’ils ne permettront pas à la Libye de «pomper les nappes d’eau» situées dans les régions frontalières. Un autre haut responsable avait évoqué, il y a plus d’un an, lors de son passage à Paris, l’existence de l’uranium dans le couloir, objet du litige avec la Jamahiriya libyenne. Ce responsable a laissé entendre que son pays ne pourra pas resté les bras croisés et voir Kadhafi mettre la main sur cette matière première stratégique. Dans ce contexte, la récente déclaration dans ce sens du ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khélil, n’était pas spontanée. Mais, c’était plutôt un message dans lequel il anticipait sur cette richesse que possède son pays, sans pour autant la localiser.
    Le responsable algérien a indiqué, dans le cadre de sa révélation portant sur l’intention de son pays de lancer son programme nucléaire à des fins civiles, que son pays «possède des ressources d’uranium». Dernier accrochage médiatique, l’accusation par le ministre algérien de l’Intérieur, Yazid Zerhouni, d’avoir instauré le visa aux ressortissants maghrébins, ce qui n’aidera pas à la construction maghrébine. Vingt quatre heures plus tard, Tripoli a répondu que cette mesure ne s’applique pas aux Tunisiens, et ont laissé comprendre implicitement qu’elle ne s’appliquera pas aussi à d’autres, sauf bien entendu aux Algériens. Au même moment, le ministre libyen des Affaires étrangères, Abderrahmane Chalgham, n’a pas hésité à ironiser en déclarant : «celui qui refuse d’ouvrir ses frontières avec le Maroc, facilite vraiment l’instauration de l’édifice maghrébin?»
    Sans compter le front, d’une moindre importance certes, ouvert avec l’Arabie Saoudite après la fermeture par les Autorités algériennes de leur école, le pouvoir en place créa les provocations envers les occidentaux, y compris les Américains. La marche arrière effectuée vis à vis de la loi sur les hydrocarbures, suivie par les amendements et l’application de la Taxe sur les profits exceptionnels (TPE) des compagnies étrangères prouvent que les dirigeants algériens veulent montrer que leur pays est une puissance régionale, et à ces grands de ce monde de reconnaître ce fait. Dans ce même ordre d’ouverture des fronts, les autorités algériennes sont allées jusqu’à dissoudre la joint-venture algéro-américaine, Brown Root & Condor (BRC), il y a un mois, ce qui a fait monter la tension d’un cran, notamment après l’accord conclu entre le géant russe, Gazprom et le groupe algérien Sonatrach. Dans ce contexte, les observateurs estiment que ce virage du pouvoir algérien visant à passer un message à l’administration américaine n’aura pas les retombées souhaitées : la reconnaissance de la suprématie de l’Algérie dans son environnement régional.
    Parallèlement, les Français qui n’ont pas encore avalé le refus, à la dernière minute, de la signature du Traité de paix et d’amitié par Alger, et, par la suite, montrer qu’elle veut diversifier ses partenaires au détriment de Paris, prennent maintenant le pouvoir de Bouteflika comme cible. De plus, les Français n’apprécient guère l’ingérence d’Alger dans leurs élections présidentielles. Alors que la candidate, Ségolène Royal et les Socialistes, ont fait savoir qu’ils veulent faire des relations franco-algériennes une «référence» entre le Nord et le Sud, son principal concurrent, Nicolas Sarkozy, a fait, lundi dernier, l’éloge des Harkis qui sont morts pour la France. Dans les hautes sphères en France, on affirme que le pouvoir algérien n’ira pas très loin en ouvrant ce front avec la France.
    Dernier front en date qui s’est ouvert, c’est avec l’Espagne. Madrid qui n’a guère appréciée le chantage algérien, notamment dans le domaine des hydrocarbures et l’achat d’armement en contre partie d’une position soutenant le Polisario, commence déjà à contrecarrer les projets algériens. Les Espagnols qui craignent une dépendance significative envers le gaz algérien se sont lancés d’ores et déjà dans une opération pour rectifier les erreurs du passé. On apprend que Madrid s’apprête à promulguer une loi visant à endiguer la percée de la Sonatrach algérienne sur son marché. L’initiative est venue du Parti socialiste espagnol, au pouvoir. Il prend pour alibi, la fermeture du marché algérien devant l’investissement espagnol dans le secteur des hydrocarbures. Au niveau de la classe politique espagnole, on n’hésite pas à tirer la sonnette d’alarme à l’égard du danger concernant la sécurité énergétique du pays, notamment après l’axe construit avec le russe Gazprom.

    la Gazette du maroc

  • #2
    Parallèlement, les Français qui n’ont pas encore avalé le refus, à la dernière minute, de la signature du Traité de paix et d’amitié par Alger, et, par la suite, montrer qu’elle veut diversifier ses partenaires au détriment de Paris, prennent maintenant le pouvoir de Bouteflika comme cible. De plus, les Français n’apprécient guère l’ingérence d’Alger dans leurs élections présidentielles. Alors que la candidate, Ségolène Royal et les Socialistes, ont fait savoir qu’ils veulent faire des relations franco-algériennes une «référence» entre le Nord et le Sud, son principal concurrent, Nicolas Sarkozy, a fait, lundi dernier, l’éloge des Harkis qui sont morts pour la France. Dans les hautes sphères en France, on affirme que le pouvoir algérien n’ira pas très loin en ouvrant ce front avec la France.
    Dernier front en date qui s’est ouvert, c’est avec l’Espagne. Madrid qui n’a guère appréciée le chantage algérien, notamment dans le domaine des hydrocarbures et l’achat d’armement en contre partie d’une position soutenant le Polisario, commence déjà à contrecarrer les projets algériens. Les Espagnols qui craignent une dépendance significative envers le gaz algérien se sont lancés d’ores et déjà dans une opération pour rectifier les erreurs du passé. On apprend que Madrid s’apprête à promulguer une loi visant à endiguer la percée de la Sonatrach algérienne sur son marché. L’initiative est venue du Parti socialiste espagnol, au pouvoir. Il prend pour alibi, la fermeture du marché algérien devant l’investissement espagnol dans le secteur des hydrocarbures. Au niveau de la classe politique espagnole, on n’hésite pas à tirer la sonnette d’alarme à l’égard du danger concernant la sécurité énergétique du pays, notamment après l’axe construit avec le russe Gazprom.
    Ce journaliste est complètement timbré. Il construit un article sur du vent. Prenant ses espérances pour des réalités. Je me suis amusé à travestir son texte pour une meilleure lisibilité.

    Parallèlement, les Français qui j'espère n’ont pas encore avalé le refus, à la dernière minute, de la signature du Traité de paix et d’amitié par Alger, et, par la suite, montrer qu’elle veut diversifier ses partenaires au détriment de Paris, prennent j'espère maintenant le pouvoir de Bouteflika comme cible. De plus, les Français j'espère n’apprécient guère l’ingérence d’Alger dans leurs élections présidentielles. Alors que la candidate, Ségolène Royal et les Socialistes, ont fait savoir qu’ils veulent faire des relations franco-algériennes une «référence» entre le Nord et le Sud, son principal concurrent, Nicolas Sarkozy, a fait, lundi dernier, l’éloge des Harkis qui sont morts pour la France. Dans les hautes sphères en France, j'espère qu'on affirme pas que le pouvoir algérien n’ira pas très loin en ouvrant ce front avec la France.
    Dernier front en date qui s’est ouvert, c’est avec l’Espagne. Madrid qui j'espère n’a guère appréciée le chantage algérien, notamment dans le domaine des hydrocarbures et l’achat d’armement en contre partie d’une position soutenant le Polisario, commence j'espère déjà à contrecarrer les projets algériens. Les Espagnols qui craignent une dépendance significative envers le gaz algérien se sont lancés d’ores et déjà dans une opération pour rectifier les erreurs du passé. On apprendra j'espère que Madrid s’apprête à promulguer une loi visant à endiguer la percée de la Sonatrach algérienne sur son marché. L’initiative est venue du Parti socialiste espagnol, au pouvoir. Il prendra j'espère pour alibi, la fermeture du marché algérien devant l’investissement espagnol dans le secteur des hydrocarbures. Au niveau de la classe politique espagnole, j'espère qu'on n’hésitera pas à tirer la sonnette d’alarme à l’égard du danger concernant la sécurité énergétique du pays, notamment après l’axe construit avec le russe Gazprom.
    N'est ce pas plus clair maintenant.?!!!!

    PS: J'oubliais, l'article devrait être rebaptisé : L'Algérie : Le prix de mes rêves irréalisables ou inaccessibles.
    Dernière modification par jawzia, 16 février 2007, 09h07.

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    • #3
      Un article qui résume bien les pensées et les espérances de son auteur. Aucune d’objectivité
      "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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      • #4
        Quelle superbe analyse ! on voit que ce journaliste Marocain en herbe connaît bien la diplomatie Algérienne jusqu'à confondre la défense des intérêts du pays avec la soumission aux voisins et à l'occident. En 1995 on avait pas de quoi acheté un bateau du blé et on n'avait pas tendu la main à la troïka Européen quant elle est venue s'enquérir de la situation de notre à l'époque et elle nous avait demandé en quoi elle pouvait nous aider. Mr Ahmed, Attaf, Ministre des Affaires Etrangéres à l’époque leur a répondu, je cite " l'Algérie n'a pas besoin de rien et elle ne veut aucune ingérence dans ses affaires interne". Alors maintenant que les caisses sont pleines on ne va prendre des gants pour dire les choses quant ils ne vont pas dans le sens de nos intérêts.
        L'Algérie a toujours eu le souci de respecter ses voisins et en aucun cas elle n'a tenté de les déstabiliser, ni revendiquer un bout de leur territoire comme le font nos deux pays voisins que sont la Libye avec qui nous avons toujours eu des relations en dents de scie, et ce depuis 1980 a cause des élucubrations de son Guide sur la question des Touaregs et de la frontière entre Ghat et Djanet. Et son désir de créer une république du Sahara composé de Touareg de l’Algérie, du Niger et du Mali. Sauf qu'il oublie un peu vite que c'est l'Algérie qui l'a aidé le plus, lors de son embargo Internationale. Et enfin avec le Maroc que tout le monde connaît le pourquoi de notre différent. Donc c'est un article qui est fait sur la base de supputations et non sur des faits avérés. Et ce n’est sûrement pas les jeunes conseillers du Roi actuellement qui donneront des leçons de diplomatie aux vieux routiers qui tiennent la maison Algérie.

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        • #5
          Je pense que l'article est 100% algerien et le journal marocain n'a servit que de support. Le journaliste doit etre en algerie, donc il est en mesure de ce fait d'employer toutes les herbes de la saint Jean afin d'etayer ses dires. On ne peut pas lui nier une certaine verité dans son analyse des agissements du pouvoir, ce sont des faits qui ont été rapportés par les media et on peut ne pas etre d'accord avec ses reflexions.

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          • #6
            >>>Au niveau de la classe politique espagnole, on n’hésite pas à tirer la sonnette d’alarme à l’égard du danger concernant la sécurité énergétique du pays, notamment après l’axe construit avec le russe Gazprom.

            Oui c'est très possible qu'il s'agisse d'un journaliste algérien. Lorsqu'on lit une telle phrase on se doute bien qu'il s'agisse d'un algérien qui met en garde un autre pays sur les dangers (potentiels donc absoluement pas avérés) représentés par le commerce avec son propre pays.

            >>>On ne peut pas lui nier une certaine verité dans son analyse des agissements du pouvoir.

            Ca veut dire quoi une certaine vérité ? une vérité, une demi vérité ou simplement du mensonge..
            La gazette est journal affilié au makhzen et assimilé (un peu comme le MAP mais en moins ridicule, quoi que), il participe à l'effort du royaume pour discréditer comme il peut l'algérie..enfin ca fait toujours sourir ce genre d'articles dépuis les petites manifs contre les ambassades algériennes en europe on sait maintenant évaluer la capacité de nuisance des sujets à la solde de sa majesté. Elle fait à peine mal à une mouche enrhumée tout au plus.

            Moi je dis que c'est un article 100% commandé, reste à deviner combien il a couté au makhzen, c'est de çà dont on devrai débattre...
            Dernière modification par citoyen, 16 février 2007, 11h42.

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            • #7
              Non je regrette Messieurs l'article est un article Marocain pour des lecteurs marocains et tous les journalistes algériens qui se trouvaient en exil lors de la decennie noirs sont partis au Canada à cause de la pression des autorités marocaines et les autres sont retournés au pays aprés 1999.Mis à part deux journalistes qui travaillent pour la Radio Medi I entre autre kamel Alouani.

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              • #8
                coooooooooool
                on joue maintenant les perturbateurs, j'aime bien ça; mais la vérité: ça nous va bien
                ta3adadat el assbabo wal karhato wahidatton faman lam yakrah bi la routine kariha bi ssiwaha

                Commentaire


                • #9
                  en tout cas je le trouve super bon comme article, il peut pas etre au gout de tout le monde. il y a que le temps qui aportera la lumiere sur le degré d'objectivité du redacteur.
                  Exact l'ami,
                  L'histoire nous dira la vérité ..

                  Commentaire


                  • #10
                    >>>>l'article je l'ai lu ici , et non sur gazette du maroc

                    Un journaliste algérien ne s'amusera pas à remplacer : mouloud par miloud...ou bien il n'a jamais vécu en algérie ou bien il n'est pas algérien.

                    >>>en tout cas je le trouve super bon comme article

                    Maintenant on devine bien que çà plait à nos amis marocains, le contraire aurait était surprenant. Mais je ne sais pas s'il est vraiment réjouissant du poit de vue de la réalité.
                    En fait c'est comme les films qui se terminent bien, les films hindoux, ou les films westerns dont les têtes d'affiche qui ne meurent jamais malgré l'hostilité de plusieurs dizaines d'ennemis tous armés mais tous morts à la fin.
                    Ca fait plaisir de regarder ces héros ou même de se mettre dans leur peau le temps d'un film...belles émotions.
                    Dernière modification par citoyen, 16 février 2007, 12h00.

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                    • #11
                      Alger - Rabeh Bouterfa
                      oui mais a la fin de larticle sur se site on peut lire sa
                      12 Février 2007 - http://www.lagazettedumaroc.com .tu trouve que c'est un journal algerien sa ,mnt il faut vous melez de vous affaire,nous somme tres bien la on nous somme nous,lessenteil c'est quon est devenu une puissance economique en afrique,meme dans les autres domaine, meme en la plus grande societe dans lagriculture au maghreb est algerien!
                      Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

                      Commentaire


                      • #12
                        bien vue citoyen lol, les marocains vous m'etonerai toujours!!!
                        Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

                        Commentaire


                        • #13
                          En tapant "Rabeh Bouterfa" sur google voilà ce qu'on obtient comme résultat. En somme Si Rabeh ecrit exclusivement pour la Gazette du Maroc.
                          Conclusion : Ce rabeh Bouterfa (si tant est qu'il corresponde à une personne physique) est le correspondant de la gazette à Alger!!!!! Bizarre Non!!!!
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                          http://www.kabylienews.com/article.php3?id_article=4694

                          l'article je l'ai lu ici , et non sur gazette du maroc
                          Il aurait fallu lire l'article jusque la fin. Parce qu'il se termine ainsi :
                          Alger - Rabeh Bouterfa

                          12 Février 2007 - http://www.lagazettedumaroc.com/
                          En somme Kabylienews ne fait que reprendre l'article de la Gazetta.

                          Ma conviction est que (comme le dit citoyen) c'est un article commandé et qui dénote d'une panique .... qui d'ailleurs n'a pas lieu d'être.
                          Dernière modification par jawzia, 16 février 2007, 12h05.

                          Commentaire


                          • #14
                            j'aurai bien aimé que vous apportiez des contre arguments à cet article, au lieu de chercher la provenance ,la nationalité ou l'origine de l'auteur ,ce qui lui donne une certaine crédibilité ,moi au contraire je trouve que cet article ,est de loin le plus objectif ,concernant la politique extérieure menée par l'Algérie ces dernières années.
                            quant au conflit du S.O,on commence sérieusement à se ridiculiser au yeux du monde arabe et de l'opinion internationale, on dirait que cette situation nous arrange ,et il suffit de regarder le JT de l'unique, pour constater que y'a pas un seul jour ou on s'ingèrent pas directement dans le conflit ,alors qu'on ne cesse de clamer qu'on est pas concernés,alors de quel droit nous algériens on peut accepter ou refuser par exemple le plan marocain d'autonomie ,un refus du polisario aurait été suffisant,qu'on en finisse une fois pour toute avec cet histoire,car comme on avait nos harkis à l'époque de la guerre d'Algérie, le polisario aussi à ces harkis, seule différence ils sont nombreux ,alors comme on dit chez nous "rana nerebhou ghir fel3ib"..
                            from the cradle to the grave.

                            Commentaire


                            • #15
                              Ce n'est pas à l'Algérie d'accepter le plan d'autonomie presenté par le Maroc mais à la partie prenante du conflit qui est le Peuple Sahraoui dont ne nous ne sommes pas leur porte parole et aussi à l'Onu qui a fait voté une résolution pour l'organisation d'un Référundum que l'Algérie soutient et que le Maroc refuse d'appliquer.
                              Quant à la politique extérieure de l'Algérie qui est devenu agressive et surtout offensive depuis 1999 gêne beaucoup la diplomatie Marocaine et libyenne qui eux avaient le vent en poupe quant l'Algérie était perpétrée dans ses problémes internes dans les années noires de 90. Il faut faire cette lecture celle d'une Algérie qui dérange ses pays voisins de par sa diplomatie africaine, sa contribution dans le NEPAD et son ouverture pour tous l'occident et les pays du Moyen Orient et l'Asie. Voilà cette vérité que les Marocains n'arrivent a avaler car ils ne sont plus écoutés comme avant lorsqu'ils disaient de nous que nous étions fini et que nous étions la plaie du Maghreb, un repére de terroriste. Ce temps c'est fini et l'article de la Gazeette Marocaine confirme les craintes du Palais qui gesticule et crie au loup à chaque fois que l'Algérie donne son avis où prend position sans qu'il ne se croit visé. C'est vrai que l'on ne peut choisir son voisin comme on ne peut pas déménager dans notre contexte donc il faut dialoguer et débattre et essayer de s'entendre sans s'accuser de tout et de rien.

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