Doux rivage où se berce le murmure de ses eaux
Lorsque se pointe en elle de l'écume aux bateaux
Dans un ciel sans romance que caressé des yeux
sinon la prunelle d'or ou les vagues d'un aveu
Je reprise sans trêve tout l'espoir d' étacher
qui gémit et qui crève tout ce noir exilé
Mais que bruine aux aurores tel soleil en son jour
pour que brille en son corps la lumière de l'Amour
Dans ce chant d'espérance, je viens te retrouver
comme si l'age et le tort ne savaient exister
À mon oiseau de passage
Lorsque se pointe en elle de l'écume aux bateaux
Dans un ciel sans romance que caressé des yeux
sinon la prunelle d'or ou les vagues d'un aveu
Je reprise sans trêve tout l'espoir d' étacher
qui gémit et qui crève tout ce noir exilé
Mais que bruine aux aurores tel soleil en son jour
pour que brille en son corps la lumière de l'Amour
Dans ce chant d'espérance, je viens te retrouver
comme si l'age et le tort ne savaient exister
À mon oiseau de passage
fado