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CIA: les derniers jours de Boumediène

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  • CIA: les derniers jours de Boumediène

    derniers mots de Boumediène au Conseil de la Révolution

    Inédit. Des documents secrets de la CIA révèlent les derniers moments de Boumediène


    La Central intelligence agency (CIA), l’agence du renseignement des États-Unis, a rendu publique une nouvelle série de documents déclassifiés, datant de la période de la guerre froide, et plus exactement des années 1977 à 1980, sous la présidence de Jimmy Carter.

    Parmi ces documents déclassifiés consacrés à l’Afrique du Nord, un document daté du 24 octobre 1978 relate les derniers moments de l’ancien chef de l’État Houari Boumediène avant qu’il ne tombe dans le coma, un peu plus de deux mois avant son décès le 27 décembre 1978. « Le président Houari Boumediène a fait l’objet d’une évacuation médicale de l’hôpital Maillot à Alger vers Moscou au début d’octobre 1978 dans un état comateux et au seuil de la mort » relate le document.

    « Plusieurs jours auparavant, réalisant qu’il était sérieusement malade, Boumediène a convoqué le Conseil de la révolution », ajoute le document qui précise que le ministre de l’Intérieur de l’époque Mohamed Benahmed Abdelghani, ainsi que l’actuel chef de l’État et ministre des affaires étrangères de l’époque, Abdelaziz Bouteflika, ont assisté à cette réunion. Les anciens ministres Ahmed Draia, Tayeb Larbi et Ahmed Cherif, qui occupaient les postes respectifs de ministre des transports, de l’agriculture et de l’hydraulique étaient également présents au côtés du chef du FLN Mohamed Salah Yahiaoui et des commandants de la première et deuxième région militaire, Abdallah Belhouchet et Chadli Bendjedid. « Je suis très malade, je vais partir et je vous laisse le soin de gouverner l’Algérie » aurait déclaré Boumediène au cours de cette réunion, toujours selon le document de la CIA qui affirme que l’ancien chef de l’État aurait désigné Mohamed Benahmed Abdelghani pour prendre la tête du pays en son absence.

    Par ailleurs, des rapports de la CIA de l’époque sur la situation politique en Algérie décrivent l’actuel chef de l’État Abdelaziz Bouteflika comme quelqu’un qui montrait de l’intérêt à entretenir de bonnes relations avec l’Occident et qui faisait l’objet de « méfiance » de la part des responsables soviétiques.

    observalgerie
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    « Je suis très malade, je vais partir et je vous laisse le soin de gouverner l’Algérie » aurait déclaré Boumedièn
    ...et le peuple compte pour du beurre comme de coutume avec les dictateurs!oeilfermé
    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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    • #3
      Je ne vois rien de secret !!
      Qu'y a-t-il d'inédit dans cet article là ?..

      « Je suis très malade, je vais partir et je vous laisse le soin de gouverner l’Algérie » aurait déclaré Boumediène au cours de cette réunion, toujours selon le document de la CIA qui affirme que l’ancien chef de l’État aurait désigné Mohamed Benahmed Abdelghani pour prendre la tête du pays en son absence
      Mdrrr.. ça fait 30 ans qu'on le sait

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      • #4
        quel scoop!
        La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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        • #5
          Inédit. Des documents secrets de la CIA révèlent les derniers moments de Boumediène
          "CIA", "SECRETS", "INEDIT", tout celà pour dire ce que tout monde sait depuis un tiers de siècle, des derniers moments qui sont vécus par tout citoyen lamba parceque, au final, il n'y a rien de spécial et/ou de particulier dans les derniers moments de feu Boumèdiène (Allah Yarahmou).

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          • #6
            quel scoop!
            Pour les scoops il faut revenir au témoignage de Said Chekrabi responsable de la sous région de la basse-Kabylie pendant la révolution.
            Il cite Said Bouzourene se rendant chez Houari Boumediene pour refuser son offre de partenaire politique et le fustiger pour s'être entouré de ''la clique de France'', dont Bouteflika qu'on savait sa mère '' khamdja'' (pu...).




            « Je suis très malade, je vais partir et je vous laisse le soin de gouverner l’Algérie »
            Et dire qu'il s'adressait aux agents de l'ancien occupant !
            وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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