Annonce

Réduire
Aucune annonce.

MAROC: Le premier satellite marocain Sat1, rebaptisé Mohammed VI-A

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • MAROC: Le premier satellite marocain Sat1, rebaptisé Mohammed VI-A

    Communiqué 17-46

    Pour son dixième lancement de l’année, et le onzième avec le lanceur Vega depuis le début de son exploitation au Centre spatial guyanais en 2012, Arianespace mettra en orbite le satellite MOHAMMED VI - A

    Le lancement sera effectué depuis le Site de Lancement Vega (SLV) à Kourou en Guyane française.

    Le satellite MOHAMMED VI - A est un satellite d’observation de la Terre réalisé par le consortium Thales Alenia Space en tant que mandataire et Airbus en co-maîtrise d’œuvre pour le Royaume du Maroc.

    Le satellite MOHAMMED VI - A servira notamment aux activités cartographiques et cadastrales, à l’aménagement du territoire, au suivi des activités agricoles, à la prévention et à la gestion des catastrophes naturelles, au suivi des évolutions environnementales et de la désertification ainsi qu’à la surveillance des frontières et du littoral.

    Lieu de lancement
    - Centre spatial guyanais
    - Lanceur Vega
    - Masse au décollage: 1110 Kg

    Satellite MOHAMMED VI - A
    - Modèle: Pléiades
    - Résolution d'images: 70 cm
    - Altitude: 694 Km
    - Durée de vie: 5 ans

    Décollage du lanceur est prévu le mardi 7 novembre 2017, à précisément :
    > 22h42 min 31s, Heure de Kourou,
    > 01h42 min 31s, Heure de Rabat, le 8 novembre
    > 02h42 min 31s, Heure de Paris, le 8 novembre


    Source: Arianespace

  • #2
    Modèle d'image satellite de la France Pléiades 1B d'une résolution de 70 cm
    Image Centre national d'études spatiales (CNES)



    .

    Commentaire


    • #3
      Le satellite MOHAMMED VI - A servira notamment aux activités cartographiques et cadastrales, à l’aménagement du territoire, au suivi des activités agricoles, à la prévention et à la gestion des catastrophes naturelles, au suivi des évolutions environnementales et de la désertification ainsi qu’à la surveillance des frontières et du littoral.
      j'avais cru comprendre que c'etait satellite djassouss....?
      le satellite MOHAMMED VI*
      pourquoi il l'a paye de sa poche ? quel megalo celui la...!
      ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
      On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

      Commentaire


      • #4
        tayabtouna b had satellite,

        et marocains et algériens,


        t'imagines si on l'avait développé nous même et fabriqué nous même...:22:

        pourquoi il l'a paye de sa poche ? quel megalo celui la...!
        comme son père....

        Commentaire


        • #5
          la carte GPS algérie est prête pour janv 2018

          les satellites lancés par l'algérie.
          le dernier est produit à 100% par l'agence spaciale algérienne active depuis 1980

          Alsat-1

          Le premier satellite algérien mis sur orbite est Alsat-1, un micro-satellite de cartographie, visant principalement à la gestion des ressources naturelles et à la prévention des catastrophes naturelles comme les inondations et les tremblements de terre.
          Il a été intégré par des ingénieurs algériens et britanniques chez SSTL, au Royaume-Uni. La mise sur orbite a été réalisée par un lanceur russe Cosmos-3M, le 28 novembre 2002, de la base de Plesetsk en Russie.
          Alsat-1 fait partie du programme Disaster Monitoring Constellation (DMC), visant à prévenir les catastrophes naturelles dans le monde. DMC comprend l'Algérie, le Royaume-Uni, la Chine, le Nigeria et la Turquie. Alsat-1 est le premier satellite lancé de la constellation.
          Le satellite est arrivée en fin de vie le 15 août 2010.
          Missions en cours

          Cartographie

          Alsat-2

          Le deuxième satellite algérien mis en orbite est Alsat-2A, un satellite d'observation de la Terre à haute résolution. Il a été intégré et testé en France, dans les locaux d'EADS Astrium avec la participation de 29 ingénieurs algériens.
          Alsat-2A a été lancé par une fusée PSLV le 12 juillet 2010 depuis le Centre spatial de Satish Dhawan situé à Sriharikota près de la métropole de Chennai (sud de l'Inde). Avec une résolution au sol de 2,5 m en mode panchromatique et de 10 m en mode multispectral, il sert à différentes applications notamment la topographie, l'agriculture, la cartographie, le suivi de l'environnement...
          Alsat-1B

          Alsat-1B est le troisième satellite algérien d'observation de la terre à moyenne résolution. Placé en orbite à 670 km d’altitude, il fournit des images en mode multispectral (visible et proche infrarouge) et panchromatique.
          Il a été lancé le 26 septembre 2016 à 04 h 43’ heure algérienne [9 h 13’ heure indienne] par le lanceur indien PSLV C-35 et ce, depuis le site de Sriharikota du Centre Spatial de Satish Dhawan, situé dans la région du Chennaï au Sud-Est de l’Inde.
          L’exploitation de ces images Alsat-1B répond entre autres à des objectifs liés à la protection de l’environnement et des différents écosystèmes naturels, à L’observation des phénomènes de la désertification et à leurs cartographies, à la cartographie de l’occupation des sols, à l’aménagement des territoires et du littoral et à la prévention et la gestion des risques naturels.
          Alsat-1B fait également partie de la constellation internationale DMC (Disaster Monitoring Constellation).
          Alsat-2B

          Alsat- 2B est le quatrième satellite d'observation de la terre à haute résolution, placé sur une orbite située à 670 km d’altitude et ce, après Alsat -2A en orbite depuis juillet 2010.
          Ce satellite a été lancée le 26 septembre 2016 à 04 h 43’ heure algérienne [9 h 13’ heure indienne] par le lanceur indien PSLV C-35 et ce, depuis le site de Sriharikota du Centre Spatial de Satish Dhawan, situé dans la région du Chennaï au Sud-Est de l’Inde4.
          Les images prises par Alsat-2B dans les modes multispectral (visible et proche infrarouge) et panchromatique, permettent d'augmente la fréquence des prises de vue et de renforcer les capacités de couverture du territoire algérien.
          L’exploitation des images Alsat-2B à 2.5 m en mode panchromatique et en mode couleur rehaussé permettra d’investir des domaines thématiques et économiques importants tels, la planification et l’aménagement urbains et agricoles des territoires et du littoral, la cartographie et le suivi des infrastructures et des ouvrages d’art, l’établissement et la mise à jour du cadastre steppique et saharien et la prévention et la gestion des risques naturels (inondations, feux des forêts…).
          Recherche scientifique

          Alsat 1N

          Alsat-1N (ou Alsat Nano) est un nanosatellite à mission scientifique et de démonstration technologique développé dans le cadre de la mise en œuvre de l’accord de coopération entre l'Agensce spatiale algérienne et l’Agence spatiale du Royaume-Uni (UKSA), par une équipe mixte d'ingénieurs algéro-britannique.
          Ce satellite a été lancée le 26 septembre 2016 à 04 h 43’ heure algérienne [9 h 13’ heure indienne] par le lanceur indien PSLV C-35 et ce, depuis le site de Sriharikota du Centre Spatial de Satish Dhawan, situé dans la région du Chennaï au Sud-Est de l’Inde.
          Ce satellite est destiné à l’analyse du comportement de trois charges utiles innovantes (caméra, mesure de radiation/magnétomètre et film solaire), ainsi que l’exploitation des données géomagnétiques terrestres et des images de la terre, fournies à titre démonstratif. L’exploitation de ces données sera réalisée par des équipes composées de chercheurs et universitaires algériens.
          Projets en cours de développements

          Alcomsat-1

          Le satellite de télécommunications Alcomsat-1, sera lancé mi-2017 en Chine par une fusée Chang Zheng 3 dans la base de Xichang et sera donc le premier satellite de ce genre en Algérie5.


          Il fait partie de la gamme des Dong Feng Hong 4, qui a une masse de 5 200 kg et qui fait 26 mètres d’envergure pour une durée de 15 ans en orbite géostationnaire.
          Il emportera des transpondeurs en bande KU, pour la télévision, en bade KA pour le V-Sat et les transmissions internet ainsi que des transpondeurs en bandes X, EHF et UHF pour les besoins de l’armée et des secteurs stratégiques de l’État.
          Les deux stations de contrôle au sol ont été construites, l’une à Médéa et la seconde à Ouargla. Elles permettront de contrôler le satellite, de le maintenir et de le mettre à jour. Elles seront opérées par un personnel algérien qui a été formé en Chine.
          La longitude d'Alcomsat-1 est de 24.8°W.

          Commentaire


          • #6
            pourquoi il l'a paye de sa poche ? quel megalo celui la...!
            l'elegance voudrait deja qu'on attende de clamser et que les vers de terre commencent à te bouffer, et laisser le successeur s'occuper de donner ton nom à des toilettes publiques ......
            " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

            Commentaire


            • #7
              Est ce-que le satellite finga 6 peut repérer les pois chiche jardin d'Oum Traki ?
              Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

              Commentaire


              • #8
                le dernier est produit à 100% par l'agence spaciale algérienne active depuis 1980

                une agence qui exploite des satellites importés devient par magie producteur de satellites.....

                Commentaire


                • #9
                  l’œil du roi du Maroc survolant,observant,scrutant l’Algérie,a chaque instant,tout les instants.
                  suprême affront,en effetoeilfermé.
                  "7ad maykhle3na" est un gros mensonge de massahel.

                  Commentaire


                  • #10
                    el hour1 c autre chose que des pois chiches

                    L’Agence Spatiale Algérienne est constituée d’une structure centrale et de quatre entités opérationnelles.
                    Organisation administrative

                    L'agence est dotée d'un Conseil d'administration et d'un conseil scientifique et technique, avec à sa tête un directeur général nommé par le président. Les membres du Conseil d'administration sont, outre le directeur général et un représentant du chef du gouvernement, les ministres détenant les principaux portefeuilles susceptibles d'être concernés par les applications satellitaires représentant 15 départements ministériels. L'agence comprend un comité scientifique composé d’experts dans les domaines des technologies et applications spatiales.
                    Entités opérationnelles

                    Centre des Techniques Spatiales (CTS)

                    Le Centre des Techniques Spatiales (CTS) est chargé de mener toutes les actions d’études et de recherches scientifiques et techniques dans les domaines :
                    • de la technologie spatiale, notamment les techniques liées aux capteurs, aux radiomètres, aux télécommunications spatiales, aux stations terriennes de réception et de contrôle ainsi qu’aux engins et instruments d’observation de la terre et de l’atmosphère ;
                    • de la physique de la télédétection aérospatiale, du bilan d’énergie au sol et de la physique de l’atmosphère ;
                    • de la méthodologie de traitement des images satellitaires et du traitement des banques de données images ;
                    • de la géodésie spatiale et des systèmes de références, des techniques et systèmes de navigation par satellites, de la radio-astronomie et l’altimétrie spatiale, de la détermination du champ de pesanteur et du géoïde, et des applications géodynamiques ;
                    • de la géomatique, des bases de données et systèmes d’informations géographiques, des méthodes d’acquisition (topographique, photogrammétrie, télédétection et cartographie), de traitement et de restitution des données géographiques.

                    Centre des Applications Spatiales (CAS)

                    Le Centre des Applications Spatiales (CAS) est chargé de mettre en œuvre les actions d’exploitation des satellites et des systèmes découlant des programmes spatiaux, en relation avec les différents secteurs utilisateurs. Le centre assure la réalisation des projets opérationnels sectoriels et intersectoriels basés sur la télédétection et les systèmes d’information géographique, particulièrement dans les domaines de l’environnement et des risques naturels, de l’agriculture et des ressources en eau, de l’aménagement du territoire et de l‘urbanisme ainsi que de la géologie et des sciences de la terre.
                    Centre de Développement des Satellites (CDS)

                    Le Centre de Développement des Satellites (CDS), implanté dans la commune de Bir El Djir, dans la wilaya d’Oran, est une entité opérationnelle de l’Agence Spatiale Algérienne dont la réalisation est une action planifiée dans le Programme Spatial National horizon 2020. Construit sur une superficie de 4,7 hectares, et pourvu d’un espace vie comprenant des logements de fonction et des terrains de sport, le CDS apportera une impulsion certaine au processus de maitrise des technologies spatiales en Algérie.
                    Le CDS est constitué d’infrastructures modernes (ateliers et laboratoires) dédiés à la conception, l’assemblage des satellites ainsi que des moyens de test et d’essais d’environnement. Le Centre de Développement des Satellites (CDS) est chargé de la conception, du développement et de la réalisation des systèmes spatiaux prévus dans le cadre du programme spatial national, notamment :
                    • la mise à contribution de l’industrie nationale dans les domaines connexes des technologies spatiales, notamment les domaines de la mécanique, de l’électronique, de l’optique, de l’informatique et des télécommunications.

                    • la réalisation des satellites, la conduite des tests fonctionnels sur les satellites (essai d’Interférence et de compatibilité électromagnétique, essai de vide thermique, essai de vibration et essai acoustique); l’assurance qualité des activités d’intégration et d’essai sur les systèmes spatiaux; l’émergence d’un tissu industriel dans les domaines connexes des technologies spatiales, notamment dans les domaines de l’électronique, l’informatique, la mécanique, l’optique et des télécommunications.

                    Le CDS a été inauguré le 23 février 2012 et il est situé à Oran3.
                    Centre d’exploitation des Systèmes de Télécommunications (CEST)

                    Le Centre d’Exploitation des Systèmes de Télécommunications (CEST) est chargé de la gestion, de l’exploitation et de la commercialisation des produits et services de satellites de télécommunications prévus dans le cadre du programme spatial national, notamment :
                    • la gestion technique des infrastructures terrestres de réception et de contrôle ;
                    • la prise en charge des produits et services des satellites en relation avec les secteurs utilisateurs concernés ;
                    • la définition et la mise en œuvre d’une politique de commercialisation des produits et services.

                    Commentaire


                    • #11
                      Le satellite MOHAMMED VI - A
                      J'y crois pas. C'est un fake !

                      Commentaire


                      • #12
                        J'y crois pas. C'est un fake !
                        Pourquoi pas Jawz , il est allé moins loin que son grand pére .......
                        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

                        Commentaire


                        • #13
                          Pourquoi pas Jawz , il est allé moins loin que son grand pére .......
                          Son grand père n'a pas débaptisé la "lune" en M5 !

                          Commentaire


                          • #14
                            Envoyé par cell
                            Pourquoi pas Jawz , il est allé moins loin que son grand pére .......
                            mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

                            Commentaire


                            • #15
                              Modèle d'image satellite de la France Pléiades 1B d'une résolution de 70 cm
                              donc il peut détecter et voir bouteflika entrain de faire ses besoins!!
                              beurk,
                              pas trop intéressant ce satellite tout de même.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X