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Entretien avec Adlène Meddi: 1994, des mots pour les années de folie et de terreur

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  • Entretien avec Adlène Meddi: 1994, des mots pour les années de folie et de terreur

    HuffPost Algérie | Par Ghada Hamrouche

    Il suffit parfois d'un voyage pour vous pousser à remonter le temps et à libérer vos fantômes. C'est le cas du Journaliste- romancier Adlène Meddi. Dans cet entretien au HuffPost Algérie, Meddi parle de son retour à Had Ch'kala et comment ce voyage sur les lieux d'un massacre a réussi à le tirer de sa bulle. Dans ce village où tout pouvait rappeler la mort, l'appel à la vie a été le plus fort. Ce voyage l'a transformé. Il n'était plus le même. Obligé à se regarder en face, il décide alors d'aller au plus profond de lui même à surmonter ses obstacles et à coucher tout cela sur du papier.

    Sa quête d'une "guérison" ou du moins de la "cicatrisation de ses blessures" et celles des Algériens de sa génération lui a permis de tisser les fils d'un roman aussi noir que l'époque qu'il décrit.

    Lutte anti-terroriste, guerre de libération nationale, années de lycées, amours, escadrons de la mort et services secrets, Adlène avait tous les ingrédients pour parler de 1994.

    Dans cet entretien, il parle surtout de ce que représentait cette année pour lui, pour son entourage. Il ne cache pas son obsession et aussi sa fascination pour les services secrets. Il évoque aussi la part de la fiction et du réel dans son roman. Il explique aussi le choix du style littéraire qu'il a adopté.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    ...


    Que faut-il offrir et/ou partager au peuple pour qu'il s'estime uni (sans être ébloui ni étourdi...) ...beaucoup vous répondront pour ne point correspondre à la raison primitive des sens dramatiques de l'amertume et pour ne guère confondre le trouble de la vision exclusive des pensées idéologiques de l'injustice, qu'aucunes facultés qu'aucunes valeurs humaines ne puissent ni être ni demeurer facultatives à toutes consciences, peut être parce que ne pas savoir ou ne pas vouloir ou ne pas pouvoir, offrir et/ou partager, ici ou là, l'ensemble intemporel et universel d'une réalité nouvelle et consensuelle, indiffère et propage les sommes, individuelles et impersonnelles, physiques et psychologiques, évidentes et intolérantes, de toutes invectives autrement persuasives...

    D'une ville, d'une région, d'un pays, il y a, comme il y aura toujours au cœur des naissances et et des silences, autant d'espace que de possibilité à ne jamais renoncer à la brillance unie des consciences et des intelligences...

    merci...
    ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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