Annonce

Réduire
Aucune annonce.

penser à autre (président) que Bouteflika est haram

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • penser à autre (président) que Bouteflika est haram

    abdelkader Bassine est le président de l’Organisation nationale des zaouïas (Onza). Dans cet entretien, il explique les raisons à l’origine de la création d’un nouveau pôle national de soutien au président Abdelaziz Bouteflika.
    Vous avez lancé un appel aux Algériens pour participer aux prochaines élections locales. Appréhendez-vous une forte abstention ?

    Non, nous n’avons pas d’appréhensions par rapport à l’abstention. Les zaouïas ont appelé tous leurs adeptes à participer aux élections avec force pour plusieurs raisons. La première consiste à répondre à l’appel du gouvernant, le président de la République, qui a convoqué le corps électoral pour le 23 novembre. La deuxième est de protéger l’unité nationale qui se manifeste notamment dans la fraternité et la solidarité.

    Avez-vous donné des consignes de vote ?

    Nous avons mis en garde toutes les zaouïas et les adeptes pour qu’ils se tiennent à équidistance des différents candidats sans discrimination. Les zaouïas ne soutiendront pas et ne plébisciteront pas un candidat (au détriment d’un autre). Ils (les candidats) sont tous des adeptes (de zaouïas). Donc les zaouïas resteront à leurs côtés en priant pour eux, en les orientant et en les conseillant. Les adeptes sont appelés à participer avec force aux élections. Mais le choix du candidat leur revient.
    Vous avez annoncé la constitution prochaine d’un pôle national permanent pour soutenir le programme du président de la République. Quand verra-t-il le jour ?

    Nous avons commencé depuis une semaine à contacter certaines personnalités nationales et des symboles actifs dont les Moudjahidine, les intellectuels, les politiques et les diplomates, des chefs de partis politiques et d’autres personnalités pour construire un pôle national qui va rester aux côtés du président de la République. Ce n’est pas un pôle politique mais national qui rassemble toutes les compétences et les catégories de la société et qui sera lancé avant la fin du mois de décembre. C’est-à-dire avant la fin de l’année.
    Ce pôle ne sera donc pas composé seulement des zaouïas ?

    Non, il sera ouvert à toutes les catégories de la société algérienne dont les agriculteurs, des organisations de femmes, de jeunes et d’étudiants, des investisseurs. En fait, il sera ouvert à tous ceux qui ont la volonté de servir le pays et son président. Le président a travaillé et travaille toujours au service de l’Algérie. Il a encore besoin de soutien. Ce pôle le soutiendra donc dans le processus de développement lancé depuis 1999 et dont les fabuleuses réalisations ne peuvent être contestées que par un ingrat.
    Pouvez-vous nous citer les noms de certaines personnalités qui feront partie de ce pôle ?

    Le pôle national sera lancé avant la fin de l’année en présence de toutes les personnalités et organisations (concernées). Nous nous sommes mis d’accord pour ne rien annoncer avant le jour j.
    Avez-vous constitué ce pôle dans la perspective de l’élection présidentielle de 2019 ?

    Pour l’élection présidentielle, nous avons dit et répété que nous sommes avec le président aujourd’hui et demain. Nous sommes à ses côtés depuis 1999. Pour nous, tant que le président est présent et exerce normalement ses fonctions, penser à autre (président) que Bouteflika est haram. Tant qu’il est là et que Dieu lui donne la santé, on ne pense à personne d’autre.
    Pourquoi cela serait-il haram ?

    Pour nous, c’est haram parce que nous avons un engagement éthique avec le président. Depuis 1999, nous sommes à ses côtés. Nous n’allons pas le trahir.
    Est-ce que les zaouïas vont appeler à un cinquième mandat ?

    Bien sûr ! Nous sommes avec lui depuis 1999 et à chaque fois, on lui a demandé de se représenter. Aujourd’hui encore, nous lui demandons de se présenter pour un nouveau mandat.
    Malgré son état de santé ?

    Ceux qui disent que le président est malade n’ont rien d’autre à faire. L’homme exerce ses fonctions normalement et il reçoit des responsables. Le 1er novembre dernier, il a fait plusieurs activités et tout le monde l’a vu. Nous le soutenons pour un nouveau mandat.

    source : TSA
    La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.

  • #2
    abdelkader Bassine

    En même temps avec un nom pareil
    Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

    Commentaire


    • #3
      megane

      schhhhtt haram
      La vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.

      Commentaire


      • #4
        C'est la bassine du président.

        Commentaire


        • #5
          C'est absolument inimaginable que de recourir à la croyance afin de sortir telle sottise.

          Commentaire


          • #6
            Punaise...

            Commentaire


            • #7
              On s'éloigne un peu de l'intelligence artificielle et de la technologie.

              Retour sur Abdelhamid Benbadis et sa guerre contre l'obscurantisme des zaouias de l'époque.
              Dommage que Benghabrit a failli dans son projet de daridja à l'école, ça aurait été l'image parfaite de l'ère coloniale du début du siècle dernier.
              وإن هذه أمتكم أمة واحدة

              Commentaire


              • #8
                certaines alliances sont un coup dur pour la crédibilité des zaouïa , qui ne sont pas sensés se rapprocher du pouvoir ( quelque chose de mal vu au sein du soufisme )
                وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

                Commentaire

                Chargement...
                X